Bon, alors comme il y en a qui lisent trop vite, je décode.
On n'a pas besoin d'avoir une vision utopique pour faire le bien: on peut trouver son compte (le sien à soi-même) en faisant des choses bien.
À Abgech, je ne suis pas trop d'accord à propos de ce que tu dis de l'utopie: c'était un espoir possible à la fin du XXème siècle, plus du tout aujourd'hui. Ma génération n'a pas l'espoir d'atteindre le niveau de vie de la tienne. (sauf Ktran qui en écrase)
Par contre, c'est bien évident que traiter avec justice et respect des gens à qui on apporte du travail vaut mille fois la charité avec ce qu'elle porte de condescendance.
Pour Ktran, on dit la même chose, si tu sais lire. Et je le démontre, moi. nananère. Bien la peine d'avoir pris des cours de psycho et de management hmm?
Kim Sang, comment peut-on être dans des associations d'entr'aide et en même temps prôner le dur marché financier? Es-tu bien la même personne?
Celui qui va chercher son bénéfice au-delà du blé, il a dépassé le deuxième étage selon Maslow, qui a trait à la pérennité des moyens de survie. Celui qui va chercher toujours plus de blé non, même en faisant la charité. La règle du toujours plus, c'est celle qui fait vivre les cellules cancéreuses. Ce sont elles qui ont le plus de succès dans le corps du malade: il y en a toujours plus. Jusqu'à ce que le corps en crève et elles aussi avec. La morale de l'histoire c'est que s'occuper des autres, c'est aussi un peu nécessaire pour son propre bien.