Bonjour Chantalngoc,
C'est gentille de ta part.Et merci pour ta proposition, j'ai reçu l'aide de NVTL déjà. Ses explications m'ont aidé bcp pour mieux comprendre les cours.
Merci et bonne soirée
Chichbong
Bonjour Chantalngoc,
C'est gentille de ta part.Et merci pour ta proposition, j'ai reçu l'aide de NVTL déjà. Ses explications m'ont aidé bcp pour mieux comprendre les cours.
Merci et bonne soirée
Chichbong
Au Royaume-Uni, les primes dans le secteur de la finance ont dépassé 20 milliards d'euros en 2008
LEMONDE.FR avec AFP | 17.10.08 | 19h59 •
es primes versées aux employés dans le secteur financier au Royaume-Uni ont grimpé à 16 milliards de livres cette année, soit plus de 20 milliards d'euros, selon des estimations publiées vendredi 17 octobre par l'Office national des statistiques. Ces primes, ou "bonus", qui sont versées chaque année entre décembre et avril, ont plus que doublé en sept ans, selon les calculs de l'institut.
"Ces chiffres sont tout simplement hallucinants. Cela représente plus de 250 livres (environ 320 euros) pour chaque homme, femme et enfant de ce pays", a relevé Brendan Barber, le secrétaire général de la confédération des syndicats britanniques, le TUC.
"Les 'fat cats' (gros chats, sobriquet dont sont affublés en Angleterre les financiers accusés de s'être indûment enrichis) ont reçu ces sommes colossales pour bâtir un système financier qui s'est révélé tellement risqué que le contribuable a dû verser des milliards pour le sauver, et qui met maintenant en danger l'emploi et le logement des gens ordinaires", a-t-il ajouté.
voilà ce que j' ai reçu ce matin;cette vidéo est vraiment pédagogique;elle est aussi sur you tube.Si quelqu'un pouvait la télécharger;;en attendant bonne leçon d'économie et j'espère des critiques s'il y a lieu.
Arrêt sur images - L'argent-dette, vidéo économico-pédago ...
Une vidéo d'animation, réalisée en 2006 par un artiste canadien, connaît un franc succès sur le net depuis la crise financière. Et pour cause : Money as debt explique, de manière très ludique, le mécanisme par lequel les banques privées créent "de l'argent qui n'existe pas".
@si vous propose un parcours guidé à travers cette vidéo, et un portrait express de son auteur, Paul Grignon.
Cette version de Money as debt est une adaptation française du film original de Paul Grignon, réalisée par Bankster.tv, site qui souhaite le "droit régalien à la création monétaire" pour le "peuple souverain".
Arrêt sur images - L'argent-dette, vido conomico-pdago ...
Extraits d'un très long article du Monde de l'Economie sur les pays émergents et la Crise Financière
De la Russie à la Thaïlande, comment la crise s'étend
LE MONDE ECONOMIE | 13.10.08 | 12h53 •
uspension temporaire des cotations boursières à Bangkok et à Sao Paulo après une chute de plus de 10 %, décisions des autorités de ne pas ouvrir la Bourse à Moscou, report de l'ouverture dans l'après-midi à Bucarest, plongeon à deux chiffres sur les places financières de Prague, Budapest ou Zagreb et de près de 10 % à Bombay à la mi-journée : vendredi 10 octobre, les espoirs selon lesquels les marchés financiers émergents pouvaient rester à l'écart de la tempête de Wall Street se sont évanouis.
Déjà, depuis l'été, les brutales répliques boursières enregistrées de Shanghaï à Moscou ou les tensions ressenties sur les marchés des emprunts d'Etat émergents laissaient peu de doute...
La baisse des marchés boursiers n'a pas un impact aussi fort sur la demande interne dans les pays émergents que dans les pays développés : les placements en actions y sont moins répandus. Mais le mal est plus profond.
Le "credit crunch", le rationnement du crédit, s'étendant au-delà des économies occidentales, le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé, jeudi 9 octobre, la réactivation d'une procédure de prêts d'urgence aux Etats qui en feraient la demande afin de "répondre aux problèmes qui pourraient intervenir dans certains pays émergents", a indiqué son directeur général Dominique Strauss-Kahn.
A court terme, les pays les plus menacés par la crise financière sont ceux qui dépendent le plus des entrées de capitaux étrangers et affichent de très forts déficits des paiements courants : "Avant la crise, ils finançaient facilement leur boom interne par l'augmentation de la dette de leurs entreprises et de leurs banques auprès des banques des pays industrialisés", explique Yves Zlotowski, économiste en chef de Coface, établissement spécialisé dans la gestion des risques commerciaux.
Avec la crise, cette mécanique se grippe car "le crédit est plus rare et plus cher : Roumanie, Bulgarie, Afrique du Sud, Vietnam risquent un ralentissement brutal.
Ce scénario se matérialise déjà dans les pays baltes", juge-t-il. La Turquie, l'Inde et la Corée du Sud sont ajoutées à la liste par Sébastien Barbe, économiste du Crédit agricole, car elles présentent "des faiblesses au niveau de leur balance des paiements" ou qu'elles ont fait "récemment appel au financement externe à court terme".
Tirant les leçons des crises précédentes, la Chine ou la Russie ont, elles, accumulé de confortables réserves de change depuis les années 2000 afin de se protéger contre de nouvelles bourrasques. Il n'empêche : les deux Etats sont aussi très secoués. "Les actifs russes sont passés du statut de chéris des investisseurs des marchés émergents à celui de belle-mère antipathique", constate Michael Ganske, analyste de la Commerzbank, tout en jugeant ce revirement exagéré. ... ...
Si la crise financière et économique des pays développés se transmet "évidemment" aux pays émergents, c'est par plusieurs canaux, analyse Jean-Paul Betbèze, économiste en chef du Groupe Crédit agricole : les exportations, "puisque la demande des grands pays fléchit" ; le financement extérieur, plus difficile à obtenir et moins bon marché car la confiance se réduit ; et, in fine, le canal bancaire, la solidité des établissements de crédit étant partout l'objet de doutes. L'Asie et l'Europe de l'Est devraient perdre entre 1,5 et 2 points de croissance du produit intérieur brut (PIB) en 2008-2009 par rapport à 2007, compte tenu de leur dépendance aux exportations, selon le Crédit agricole. .....
La thèse dite du "découplage", présentant le dynamisme économique des pays émergents comme immunisé contre la crise américaine et européenne, est donc malmenée. Mais le monde émergent n'est pas pour autant entré aujourd'hui en récession. Au premier semestre, en tout cas, l'activité "a très bien résisté", note M. Zlotowski :.......
Face à la crise, les grands pays ont les moyens de développer la demande interne, d'accélérer les investissements publics, de soutenir leurs banques, comme la Russie a déjà commencé à le faire en leur prêtant 36 milliards de dollars... Le Mexique a annoncé un plan de soutien aux infrastructures, tandis que l'Inde pourrait relever les salaires des fonctionnaires.
Et la Chine ne peut laisser tomber la croissance sous les 9 % en rythme annuel, selon Christine Peltier, économiste de BNP Paribas, car ce taux est nécessaire pour créer chaque année les dix millions d'emplois "qui permettent d'absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail". "Le ralentissement de la croissance et la chute des prix des actifs boursiers pourraient avoir des implications sociales et inquiètent le gouvernement, qui a clairement assoupli sa politique économique depuis juin 2008", explique-t-elle. Fait inédit, mercredi 8 octobre, la Banque centrale chinoise a suivi, quelques minutes après, l'action coordonnée de baisse des taux d'intérêt décidée par les grandes banques centrales des pays développés (Réserve fédérale américaine et Banque centrale européenne en tête). Il s'agit, pour la Banque centrale chinoise, de la deuxième baisse en un mois tandis que ses consoeurs coréenne, taïwanaise et hongkongaise ont toutes trois réduit le loyer de l'argent jeudi 9 octobre.
Les pays émergents et les pays développés sont dans le même bateau, qui prend l'eau.
Adrien de Tricornot
Article paru dans l'édition du 14.10.08
Un autre article intéressant, que je limite volontairement à son début et à la partie Asie
Les pays émergents réagissent en ordre dispersé
LE MONDE ECONOMIE | 13.10.08 | 12h53 •
orts de leurs milliards de dollars de réserves de change, accumulés grâce à leurs exportations de pétrole, de matières premières minières et agricoles ou de biens manufacturés, les pays émergents (Chine, Brésil, pays du Golfe...) auraient dû, espéraient les économistes, mieux résister au choc de la crise. Mais le même scénario s'est pourtant répété aux quatre coins de la planète : les banques, plus ou moins exposées aux risques qui ont emporté certaines de leurs homologues américaines, ont perdu beaucoup d'argent ; puis, les investisseurs occidentaux ont rapatrié leurs capitaux, faisant plonger les Bourses locales et menaçant d'assécher le crédit ; les pouvoirs publics ont alors volé au secours des banques afin de conserver la liquidité de leur économie. Mais, comme en Europe, ces interventions se sont faites en ordre dispersé. Les institutions et accords régionaux existants s'effacent devant les politiques nationales.
Asie
"L'Asie de l'Est détient les plus importantes réserves au monde en devises étrangères ; (la Corée du Sud, la Chine et le Japon) peuvent surmonter la crise financière s'ils unissent leurs forces", a déclaré lundi 6 octobre le président sud-coréen Lee Myung-bak, proposant de discuter la tenue d'un sommet avec ses homologues japonais et chinois. Les ministres des finances des trois pays devaient se rencontrer lundi 13 octobre à Washington en marge de l'Assemblée générale du Fonds monétaire international (FMI). La Chine a répondu qu'elle accueillait favorablement cette proposition, mais sans donner encore son accord officiel, tandis que le Japon cherche des solutions dans le cadre du G7.
Seule l'Association des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) fournit à l'Asie une ébauche d'institution régionale. Ses membres pourraient accélérer les discussions sur le lancement du Fonds monétaire asiatique décidé en mai 2007 à Kyoto, a également suggéré le président sud-coréen. La prochaine rencontre sur la question est prévue pour mai 2009. Doté de 80 milliards de dollars, dont 80 % apportés par le Japon, la Corée et la Chine, ce fonds institutionnalisera l'initiative de Chiangmai - un mécanisme de prêts automatiques entre banques centrales créé en 2000 après la "crise des devises" de 1997.
... .... ...
Annie Gasnier (Rio de Janeiro), Brice Pedroletti (Shanghaï) et Antoine Reverchon
Article paru dans l'édition du 14.10.08
* ps : pour ceux qui souhaitent lire l'article complet , c'est ici
Le Monde.fr : Imprimez un élément
Dernière modification par robin des bois ; 18/10/2008 à 10h23.
merci Robin des Bois, étant devenue sceptique sur la compétence des économistes puisqu'ils n'ont rien vu venir je m'en tiens désormais à ceux qui nous avaient prévenu (une minorité semble t-il ne comprenant que quelques individus et qui plus est un non économiste,un anthropologue (Paul Jorion Vers la crise du capitalisme américain ? (La Découverte, 2007)Celui ci avait accordé une interview à Media en 2007
des extraits dans la rubrique commentaire de l'article suivant
Petit cours d’économie politique en temps de crise | AgoraVox par Goodtime samedi 18 octobre 2008http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=45510
Petit cours d’économie politique en temps de crise:
extrait de l'article sur les économistes:"Il faut admettre que l’économie n’est pas une science. C’est un art, au sens où la médecine aussi est un art plutôt qu’une science. Le médecin n’applique pas un corps de connaissance, il soigne des gens. Il fait appel pour cela à un savoir-faire qui peut être rationalisé sous une forme théorique mais en dérive rarement. La même chose est vraie pour l’économie (politique) : elle vise à améliorer le bien-être d’une société ou d’une fraction de cette société. En l’occurrence l’économie libérale vise à améliorer le bien-être des détenteurs de capitaux (les actionnaires) et, dans une moindre mesure, de ceux qui les servent (dirigeants, économistes, journalistes, etc., bref ceux que Marx appelaient les « valets du capital »). Il faudrait faire passer un serment aux économistes, et il commencerait comme celui d’Hippocrate : Primum non nocere…)
C'est ainsi que j'en suis venue à m'intéresser à lire un autre économiste qui avait prévu la crise (2007)et qui l'annonçait dans le désert(même de son propre parti le P.S)
ContreInfo :: Larrouturou : Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie
ContreInfo :: Larrouturou*: Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie**********
Extrait:"Si une récession éclate en Amérique et que l’Europe adopte une politique bêtement protectionniste, le risque est grand de voir renaître en Asie la barbarie que nous avons connue en Europe dans les années 1940. C’est en puisant dans son histoire que l’Europe doit engager un vrai dialogue avec la Chine et négocier des montants compensatoires sociaux, écologiques et monétaires, pour l’inciter et l’aider à construire rapidement un modèle de croissance plus durable."
autre citation:" Ce qui est très inquiétant aujourd’hui, c’est la situation sociale aux Etats-Unis ou en Europe, mais surtout ce qui se passe en Chine. Tous les couillons qui nous disaient depuis des années qu’il n’y avait aucun risque de récession aux Etats-Unis affirmaient avec le même entrain que, en cas de ralentissement, la Chine prendrait le relais. Hélas, on constate aujourd’hui que la croissance ralentit assez nettement en Chine (baisse des exportations et éclatement de la bulle immobilière). Or la situation sociale est déjà assez tendue. En huit ans, la Chine a doublé son budget militaire. Et la semaine dernière, les Etats-Unis ont vendu plus de 6 milliards d’armes à Taiwan.
"http://www.lesinrocks.com/index.php?id=125&tx_article[notule]=208307&cHash=cbda3febf5
Comprendre la crise Lundi 20 Octobre 2008 09:11
"la Chine sera conduite à trancher le dilemme qui s’offre à elle : ou bien renflouer les Etats-Unis et maintenir la parité avec le dollar (elle verra son capital s’envoler), ou bien se désolidariser et perdre son débouché extérieur (elle entrera en surproduction)."
Dans un premier temps, le salut des Etats-Unis dépend donc désormais… de la Chine. Mais les Chinois n’ont rien à gagner dans cette affaire : ou bien ils renflouent les Américains, et cela signifie qu’ils plongent avec eux ; ou bien ils refusent, et de toute façon, ils auront une crise de surproduction, des centaines de millions de chômeurs. Dans les deux cas, on peut s’attendre à d’importants troubles sociaux, voire à une phase de décadence avec perte de la maîtrise par le pouvoir central.
Larrouturou : Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie
28 mars 2007 ContreInfo :: Larrouturou*: Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie**********
Mais ce qui m’inquiète le plus c’est ce qui se passerait en Asie. En Chine il y a déjà une crise sociale larvée. Bien que l’on n’en parle pas beaucoup, il y a des émeutes sociales terribles en Chine, que l’armée réprime. D’après le gouvernement et les chiffres officiels, il y a des émeutes sociales qui augmentent de manière considérable, alors qu’ils ont pour le moment 10% de croissance.
Que se passerait-il en Chine si la croissance se plante aux USA ? L’essentiel de la croissance en Chine vient de la consommation américaine. La Chine est l’atelier des américains. Les américains consomment à crédit et ce sont les chinois qui travaillent. Si la croissance se plante aux USA la Chine va se planter aussi. Il y a donc le risque d’une explosion sociale. Hélas, quand un pays connaît une explosion sociale, on trouve souvent le moyen de faire une guerre de diversion.
Larrouturou : Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie
28 mars 2007 ContreInfo :: Larrouturou*: Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie**********
ContreInfo :: Larrouturou : Le risque d’une récession mondiale et du retour de la barbarie
Mes citations s'en tiennent à ce que cet économiste dit sur la Chine et peut être me suis je un peu mélangée les pinceaux comme on dit.En tout cas s'il continue de dire vrai,le danger est grand.
Un sommet Europe-Asie consacré à la crise financière
NOUVELOBS.COM | 24.10.2008 | 08:15
La quasi-totalité des chefs d'Etat ou de gouvernement des pays de l'Asem, qui pèsent 60% du PIB mondial, assisteront au sommet. L'Union européenne souhaite rallier les puissances en développement à son projet de régulation du système économique.
Le drapeau chinois hissé place Tiananmen (le 19 mai 2008) (c) AFP
Le sommet Europe-Asie, l'Asem, qui débute vendredi 24 octobre à Pékin, est une fois de plus consacré en priorité à la crise financière internationale, alors que l'Union européenne souhaite rallier les puissances en développement à son projet de régulation du système économique.
Ce sommet s'ouvre au lendemain de l'attribution par le Parlement européen de son Prix Sakharov 2008 au dissident emprisonné chinois Hu Jia, une récompense fatalement très irritante pour la Chine qui avait lancé une mise en garde sur une détérioration des relations avec l'Europe
A l'exception du Britannique Gordon Brown, quasiment tous les chefs d'Etat ou de gouvernement des pays de l'Asem, qui pèsent 60% du PIB mondial, assisteront au sommet de deux jours dans le cadre solennel du Palais du peuple, place Tiananmen.
Quarante-trois chefs d'Etat et de gouvernement des 27 pays de l'UE, des dix membres de l'Asean (Association des Nations d'Asie du Sud-Est) et six autres pays asiatiques dont les poids lourds économiques -Chine, Inde et Japon- se retrouvent à Pékin qui accueille sa plus grande réunion diplomatique depuis les jeux Olympiques.
"Nous avons besoin de l'Asie"
L'Europe, emmenée par le président français Nicolas Sarkozy, qui milite pour la "refondation du capitalisme", doit profiter de ce 7e sommet pour demander à l'Asie de s'impliquer dans une solution à la crise mondiale, au moment où les Bourses restent très fragilisées et où de nombreux pays sont menacés par la récession.
"Nous avons besoin de l'Asie et plus particulièrement de pays comme la Chine, l'Inde et le Japon", a déclaré jeudi le président de la Commission européenne José Manuel Barroso à Pékin.
La Chine a salué la proposition d'un sommet du G20 aux Etats-Unis le 15 novembre pour tenter de parer au risque d'une récession mondiale, affirmant étudier "favorablement" sa participation, sans donner encore une réponse qu'elle pourrait réserver à l'Asem.
L'Asem est une instance de dialogue biannuel créée en 1996 qui permet des discussions informelles entre chefs d'Etat ou de gouvernement.
Notre super-papy de la Finance, le pape du Néo ou Ultra-Libéralisme américain, est lui aussi en profonde dépression. Il en a pris, semble-t-il, un grand coup derrières ses oreilles (en chou-fleur pourtant !)
Lisez plutôt .. (et c'est à peine croyable la "bêtise de certaines gens", avouée aussi ingénuement... car çà fait quand même très très cher du gramme de cervelle !!):
- sur ce lien :
Les cordons de la Bourse: Alan Greenspan en plein "désarroi": il y a une grosse "faille" dans le capitalisme...
- cet article :
Alan Greenspan en plein "désarroi": il y a une grosse "faille" dans le capitalisme...
La dernière crise de foi quant aux "bienfaits" du marché fait la une des médias américains. Et pour cause. Elle provient d'Alan Greenspan (photo), l'ex-président de la Federal Reserve, qui a professé pendant 18 ans à la tête de la banque centrale américaine la supériorité du marché sur la régulation.
Interrogé jeudi par le président démocrate de la commission de contrôle d'action gouvernementale à la Chambre des représentants, Henry Waxman, qui était particulièrement mordant, Greenspan a, comme l'écrit le New York Times, "admis qu'il avait eu tort de faire confiance au marché pour réguler le système financier sans un contrôle supplémentaire du gouvernement".
Lisez les déclarations de Greenspan. Elles révèlent un homme totalement désemparé par la crise financière.
"J'ai fait une erreur en comptant sur l'intérêt privé des organisations, principalement des banquiers, pour protéger leurs actionnaires."
"Ceux d'entre nous qui comptaient sur l'intérêt des établissements de crédit pour protéger les actionnaires (en particulier moi-même) sont dans un état de choc et d'incrédulité".
"La crise a pris une dimension beaucoup plus grande que ce que j'avais imaginé".
"J'ai trouvé une faille dans l'idéologie capitaliste. Je ne sais pas à quel point elle est significative ou durable, mais cela m'a plongé dans un grand désarroi."
"La raison pour laquelle j'ai été choqué, c'est que l'idéologie du libre marché a fonctionné pendant 40 ans, et même exceptionnellement bien".
"J'ai eu en partie tort en n'essayant pas de réguler le marché des Credit Default Swaps"
"Le modèle de gestion des risques tenait depuis des décennies. Mais l'ensemble de cet édifice intellectuel s'est effondré l'été dernier."
"Ah le con !" .. comme dirait notre défunt Coluche ! A qui se fier alors?
Dernière modification par robin des bois ; 25/10/2008 à 09h44.
A peine incroyable en effet!
J'imagine sans peine si je faisais montre de pareille ignorance dans mon boulot je serais vire sur le champ, et sans indemmnites en plus! Ou alors il se fout de nous apres s'etre bien gave...je ne sais pas pourquoi mais je pencherais plutot pour la 2eme solution..Et si on ressortait la guillotine?
Peintures lacquées du Vietnam sur www.galerie-xc.fr
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