› Divers › Discussion Libre › urgent : La tanière de la bête (arte) jeudi, 21 juillet 2011 à 23:45
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21 juillet 2011 à 12h34 #9360
arte diffuse le jeudi la nuit des films asiatiques anciens et rigolo
Vous avez peut être raté
– La trilogie de la luxure
– la femme scorpionmalheureusement, ya pas de rediffusion
Alors ne ratez pas celui là !
La tanière de la bête
Troisième volet de la série des Sasori, cocktail délirant et beau de sexe et de violence, porté par une actrice sublime.
jeudi, 21 juillet 2011 à 23:45
Rediffusions :
06.08.2011 à 00:50
La tanière de la bête
(Japon, 1973, 87mn)
ARD
Réalisateur: Shunya Ito
Montage: Osuma Tanaka
Acteur: Meiko Kaji, Mikio Narita, Takashi Fujiki, Tomoko Mayama, Yayoi Watanabe
Auteur: Hiroo Matsuda
Compositeur: Shunsuke Kikuchi
Production: Toei Company
VOST 16 / 9Troisième volet de la série des Sasori, cocktail délirant et beau de sexe et de violence, porté par une actrice sublime.
Matsu, toujours habitée par le désir de vengeance, s’est évadée de prison. Activement recherchée, elle parvient dans le métro à échapper à la police, après avoir sectionné le bras d’un inspecteur. Livrée à elle-même, elle trouve refuge chez une prostituée, dans les bas-fonds de la ville, où elle se terre comme un animal traqué.
Shunya Ito délaisse le milieu carcéral sans pour autant rendre sa liberté à son inflexible héroïne. La ville s’apparente ainsi à une immense prison où les femmes, comme dans les deux premiers opus, sont victimes de la barbarie des hommes et de la société dans son entier, qui maltraite les plus pauvres. Oscillant entre poésie et sadisme, ce troisième épisode est une fois encore sublimé par Meiko Kaji, éblouissante en ange vengeur.
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21 juillet 2011 à 12h45 #139532
merci pour l’info
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21 juillet 2011 à 13h06 #139533
@DédéHeo 135570 wrote:
Troisième volet de la série des Sasori, cocktail délirant et beau de sexe et de violence, porté par une actrice sublime.
.
Malgré le « cocktail de la violence et du sexe » qui m’ha-bite moi aussi, papy va bien ronfler à cette heure-là : c’est du gâchis ( à 5h du mat, c’eut été parfait !!!)
Merci quand même
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21 juillet 2011 à 15h12 #139535
@robin des bois 135572 wrote:
Malgré le « cocktail de la violence et du sexe » qui m’ha-bite moi aussi, papy va bien ronfler à cette heure-là : c’est du gâchis ( à 5h du mat, c’eut été parfait !!!)
Merci quand même
Hello RdB,
Prends-toi un bon petit cocktail remontant, par exemple, au gingembre pour te tenir éveillé ! :wink2:
Quant à moi, la violence et le sexe, ce n’est pas ma tasse de thé ! :wink2:
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25 juillet 2011 à 8h38 #139633
heureusement que j’ai regardé le programme electonique samedi :
arte a rediffusé le er épisode :samedi, 23 juillet 2011 à 01:25
Rediffusions :
Pas de rediffusion
La femme Scorpion
(Japon, 1972, 87mn)
ARD
Réalisateur: Shunya Ito
Image: Hanjiro Nakazawa
Musique: Shunsuke Kikuchi
Montage: Osamu Tanaka
Acteur: Akemi Negishi, Hideo Murota, Meiko Kaji, Natsuyagi Isao, Rie Yokoyama, Yayoi Watanabe
Auteur: Fumio Kunami u. Hiro Matsuda, Hiroo Matsuda
Compositeur: Shunsuke Kikuchi
Production: Toe
VOST 16 / 9Inspiré d’un manga de Toru Shinohara, le récit d’une vengeance implacable. Avec Meiko Kaji, icône sublime du cinéma japonais des seventies.
Après avoir été trahie par l’homme qu’elle aimait, Matsu, surnommée Sasori, va tout faire pour s’évader de prison et assouvir sa vengeance.
Innocence brisée
Entre polar et film de prison de femmes, ce premier volet d’une saga hallucinante est aussi une critique virulente du pouvoir masculin et du système japonais, alors en plein boom économique. Bloc de haine et de révolte, Meiko Kaji incarne parfaitement l’innocence brisée par l’hypocrisie. Jetée en prison, elle endure d’innombrables souffrances et subit son sort sans broncher… Incarnant un personnage d’une volonté de fer, l’actrice crève l’écran.Dans le genre, c’est un petit chef d’œuvre !
On comprend mieux la violence de cette femme :
L’homme qu’elle aimait était un flic qu’il l’a trahis en faisant d’elle un indic chez les Yacusa. Mauvais plan !
En plus elle se retrouve en prison avec la femme yakuza qu’elle a permis de capturer…
Je crois que c’est le type qui se fait trancher le bras en essayant de la capturer dans le métro dès la 1ere scène du 2eme épisode : La tanière de la bête. -
25 juillet 2011 à 8h56 #139636
@Buuhoa 135574 wrote:
Hello RdB,
Prends-toi un bon petit cocktail remontant, par exemple, au gingembre pour te tenir éveillé ! :wink2:
Quant à moi, la violence et le sexe, ce n’est pas ma tasse de thé ! :wink2:
ouai ! c’est spécial mais ça fait moins peur que les films de mômes américain et ça a du sens ! On comprend que cette violence extrème n’est pas réaliste
Sinon quelques semaine plus tôt, il en avait un rigolo :
samedi, 4 juin 2011 à 02:00
Rediffusions :
Pas de rediffusion
– Une trilogie de la luxure
(Hong-Kong, 1972, 97mn)
ARTE F
Réalisateur: Li Han-hsiang
Image: Lin Hua Chiao
Musique: Chou Fu Liang
Montage: Chiang Hsing-lung
Acteur: Betty Pei Ti, Hsia Wen, Li Kun, Li Yun-chung, Liu Tan, Liu Wu-chi, Ouyang Te-yao, Wang Hsieh
Auteur: Li Han-hsiang
Distributeur: Wild Side Films
Production: Shaw Brothers
Producteur: Run-Run Shaw
VOST 16 / 9Trois femmes dans un hôtel de passe en Chine racontent comment elles sont devenues filles de joie. Une rencontre improbable entre humour et adultère.
Hai-xiang, Pei-qin et Jin-bao ressassent les déboires amoureux qui les ont menées à une maison de prostitution. Désappointées par leurs maris incompétents, trop vieux, peu endurants ou peu performants, elles entretenaient autrefois des relations adultères, avec ingéniosité : du fil, une corde pour ligoter le conjoint ou un « Arbre du péché » aux vertus mystérieuses…
Et rit Éros
À travers ce film, le cinéaste Li Han-hsiang délaisse pour la première fois les fresques historiques pour aborder le fengyue – « film érotique en costumes » -, un genre dont il deviendra vite un des maîtres, en mêlant l’humour à l’érotisme. Grâce à un casting d’actrices aussi charmantes que talentueuses, Une trilogie de la luxure marque un tournant heureux dans la carrière du cinéaste.une des dame avait un mari très riche et âgé.
Ils ont une grande maison avec un très beau jardin et un magnifique énorme poirier bicentenaire (?)
Quand le mari et sa femme se promènent dans le jardin, le valet monte dans l’arbre et fait
croire qu’il voit son maitre et la dame tout nus en train de batifoler.
– Ah! cet arbre est magique !
Quand la femme et le mari montent dans l’arbre, ils voient les bonnes et les jardiniers qui travaillent tout nus ; bien sûr c’est un coup monté de la femme.
Puis elle descend et va coucher avec le valet devants les yeux de son mari :
– Mais je ne fais rien moi ! -
25 juillet 2011 à 9h02 #139638
Sur un forum :
Une Trilogie de la Luxure (12/05/2011)Une Trilogie de la Luxure
Réalisateur : Li Han-hsiang
Avec : Betty Pei Ti, Hsia Wen, Li Kun, Li Yun-chung, Liu Tan, Liu Wu-chi, Ouyang Te-yao, Wang Hsieh
Pays : Hong Kong
Année : 1972Synopsis :
Trois jeunes femmes travaillant dans un hôtel de passe particulièrement populaire, content les parcours qui les ont amenées à devenir filles de joie…Histoire 1 Hai-xiang (Hsia Wen) échappe de peu à une sévère sentence suite à sa relation adultère avec son voisin forgeron, Wang Da-chu (Wang Hsieh). Insatisfaite par son éjaculateur précoce de mari (Li Yun-chung), elle le trompait sous son nez grâce à une technique bien rôdée qui nécessitait juste un peu de courage… et de fil…
Histoire 2 : Si le mari de Hai-xiang est trop âgé à son goût, celui de Pei-qin (Liu Wu-chi) ne l’est vraiment pas assez. Mariée de force à un gamin de 8 ans (Ouyang Te-yao) alors qu’elle en a 24, elle refuse de coucher avec ce dernier lors de sa nuit de noces. Pire, elle décide de faire appel à son véritable amour, Fan Erhu (Liu Tan), pour l’aider à prendre le garçon en otage, histoire de faire part de son mécontentement….
Histoire 3 : Le cas de Jin-bao (Betty Pei Ti) est encore plus singulier : mariée à un préteur sur gages (Li Kun) particulièrement nul au lit, elle réussie à le tromper en se servant d’un arbre aux capacités extraordinaires, « L’Arbre du Péché ».
De l’érotisme produit par la Shaw Brothers.
Passe le 12 mai 2011 à minuit.
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26 juillet 2011 à 8h02 #139669
Salut Dédéhéo
j’ai pris en cours de route, « la femme scorpion » et « la tanière de la bête », je rate toujours le début des films, (boulot et pb de TNT) mais je suis restée scotchée devant mon écran, ces films sont très beaux, admirablement bien construits, je pensais que c’étaient des « manga » reportés sur l’écran.
certes il y a de la violence, mais effectivement cette violence n’a rien à voir avec celle des films américains où se joue toujours le même scénario débile, de meurtres, poursuites etc…etc…
et comme tu l’as dit cette violence extrême n’est pas réaliste, il y a beaucoup de sentiments (amour, jalousie, compassion, vengeance…) qui passent à travers certaines images, musiques, dialogue… une certaine poésie.
Etonnant!
je regrette d’avoir loupé le premier « la trilogie de la luxure » et le début de ces films.
Ti Ngoc
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