› Voyage au Vietnam › Le Tourisme au Vietnam › Paludisme … encore …
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15 avril 2011 à 8h08 #8944
Bonjour à tous
Vraiment désolé d’ouvrir un nouveau sujet sur la question du paludisme mais j’avoue qu’après avoir lu plusieurs messages, je ne sais plus vraiment trop quoi penser.
En général, lorsque je vais au Viet Nam, j’ai jusqu’à maintenant pris du malarone par sécurité. Cependant, mon père lui, a décidé de ne plus rien prendre depuis son dernier séjour.
Comme je retourne le mois prochain pour un séjour d’un mois et demi, et que je compte aller certainement dans la région de Dien Bien Phu, passer au cambodge un peu, faire aussi Sapa et Hue, que me conseillez-vous ?
Finalement, les médicaments sont-ils nécessaires ou non ??Merci.
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15 avril 2011 à 15h53 #134454
@fhorse 129823 wrote:
Bonjour à tous
Vraiment désolé d’ouvrir un nouveau sujet sur la question du paludisme mais j’avoue qu’après avoir lu plusieurs messages, je ne sais plus vraiment trop quoi penser.
En général, lorsque je vais au Viet Nam, j’ai jusqu’à maintenant pris du malarone par sécurité. Cependant, mon père lui, a décidé de ne plus rien prendre depuis son dernier séjour.
Comme je retourne le mois prochain pour un séjour d’un mois et demi, et que je compte aller certainement dans la région de Dien Bien Phu, passer au cambodge un peu, faire aussi Sapa et Hue, que me conseillez-vous ?
Finalement, les médicaments sont-ils nécessaires ou non ??Merci.
Les régions de Dien Bien Phu et Sapa sont concernées par le paludisme, donc il vaut mieux prendre des précautions contre la maladie (moustiquaire pour dormir, vêtements longs, anti-moustiques efficaces, malarone…). Pour Hué, pas de problème.
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16 avril 2011 à 12h44 #134504
Ok merci bien.
Du coup je me demande si je vais pas faire un truc du genre : commencer le malarone à partir du premier jour où je rentre dans une des zones exposées (Sapa ou Dien Bien Phu), le continuer chaque jour jusqu’à une semaine après la fin définitive des expositions dans les dites zones. Comme ça, au lieu de faire un mois et demi de malarone, je le réduis à la stricte exposition aux zones concernées tout en respectant la règle du 1 comprimé par jour pendant l’exposition à continuer 7 jours après le retour. Etant donné que à part ces zones, je reste à Ha Noi …
De cette manière je n’aurais pas besoin des 5 boites …
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16 avril 2011 à 14h20 #134507
@fhorse 129914 wrote:
Ok merci bien.
Du coup je me demande si je vais pas faire un truc du genre : commencer le malarone à partir du premier jour où je rentre dans une des zones exposées (Sapa ou Dien Bien Phu), le continuer chaque jour jusqu’à une semaine après la fin définitive des expositions dans les dites zones. Comme ça, au lieu de faire un mois et demi de malarone, je le réduis à la stricte exposition aux zones concernées tout en respectant la règle du 1 comprimé par jour pendant l’exposition à continuer 7 jours après le retour. Etant donné que à part ces zones, je reste à Ha Noi …
De cette manière je n’aurais pas besoin des 5 boites …
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– Heu je suis allé au Cambodge plusieurs mois , noyé dans la foule mais pas dans les rizières
– Petit tour à Dien Bien Phu, Sapa HCM Hanoi .. mais dans le luxe et l’opulence
CQFD : moustiquaire ou clim, et vêtements longs le soir (+ éventuellement crème et répulsifs, etc )
A la poubelle les traitement spécifiques palu (sauf si vous avez les pieds dans les rizières ).. qui d’ailleurs peuvent provoquer des malaises et contribuent à immuniser la nouvelle génération des moustques …
Ceci dit , vu récemment qu’il fallait plutôt songer à avoir ses vaccins obligatoires à jour, y compris le tétanos …. …et surtout la rage (qui ferait plus de victimes en ASEAN que le palu !!!)
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16 avril 2011 à 14h54 #134509
@fhorse 129914 wrote:
Ok merci bien.
Du coup je me demande si je vais pas faire un truc du genre : commencer le malarone à partir du premier jour où je rentre dans une des zones exposées (Sapa ou Dien Bien Phu), le continuer chaque jour jusqu’à une semaine après la fin définitive des expositions dans les dites zones. Comme ça, au lieu de faire un mois et demi de malarone, je le réduis à la stricte exposition aux zones concernées tout en respectant la règle du 1 comprimé par jour pendant l’exposition à continuer 7 jours après le retour. Etant donné que à part ces zones, je reste à Ha Noi …
De cette manière je n’aurais pas besoin des 5 boites …
Bonjour fhorse,
la première fois où nous sommes allés au Vietnam, nous avions pris du Lariam,10 jours avant, puis 3 jours avant le départ pour savoir si nous allions supporter les effets du médicament, puis une fois par semaine pendant le voyage à jour fixe, ensuite nous avons continué au moins 3 semaines après le retour; mais il y a des personnes qui ne supportent vraiment pas ce traitement ( nausées, vertiges…)
cette fois ci comme vous, je prendrai du Malarone, le premier comprimé la veille du départ, puis prise une fois par jour au cours d’un repas (ou à l’occasion d’une prise d’aliment lactée) et poursuivi tout le séjour dans la zone exposée, plus 7 jours au retour.
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16 avril 2011 à 17h27 #134521
@fhorse 129914 wrote:
Ok merci bien.
Du coup je me demande si je vais pas faire un truc du genre : commencer le malarone à partir du premier jour où je rentre dans une des zones exposées (Sapa ou Dien Bien Phu), le continuer chaque jour jusqu’à une semaine après la fin définitive des expositions dans les dites zones. Comme ça, au lieu de faire un mois et demi de malarone, je le réduis à la stricte exposition aux zones concernées tout en respectant la règle du 1 comprimé par jour pendant l’exposition à continuer 7 jours après le retour. Etant donné que à part ces zones, je reste à Ha Noi …
De cette manière je n’aurais pas besoin des 5 boites …
si tu n’es pas dans une zone à risque les médicaments ne sont effectivement pas nécessaires. Avec les effets secondaires de certains médicaments que l’on découvre parfois longtemps après, je préfère personnellement les limiter au minimum nécessaire. Surtout que pour le paludisme, la meilleure protection viendrait avant tout de l’utilisation de moustiquaires et de vêtements longs.
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18 avril 2011 à 18h04 #134625
L’été dernier je suis allé au mékong et j’ai seulement utiliser une crème répulsif et j’ai pas forcement mit des vêtements long et je n’ai pas eu de problème.Par contre je m’arrangeai pour dormir couvert ou sans moustiques dans la chambre.
Cet été j’y retourne et je pense faire de même. -
28 avril 2011 à 19h45 #134900
Bon ça y est, tout est prêt !
Billets d’avion achetés pour 6 semaines au pays :Vietnam: !
J’ai acheté 3 boites de malarone pour couvrir juste les périodes où je vais en zones exposées. Comme ça j’ai de la marge.En ce qui concerne cat ba ? est-ce une zone exposée ?
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28 avril 2011 à 22h28 #134906
Au début, je prenais du Lariam. Parce que je le tolérais bien, et surtout parce que mon toubib était sympa de m’en prescrire (il parait qu’ils n’ont pas vraiment le droit de prescrire des traitements préventifs). Mais avec le temps, j’ai reçu des tas d’avis de gens qui, sur place, trouvent ça aberrant de prendre un traitement. De toutes façon les expats, ils ne peuvent pas en prendre, puisqu’un traitement ne peux pas excéder 6 mois (je ne sais plus pour quelle raison, peut-être que le médoc n’a plus d’effet sur le corps au delà). Bref, tout bien réfléchi, je penche en faveur du non-traitement.
Voilà ce que j’ai compris (merci de corriger, éventuellement) :
Quelle est la probabilité de choper le palu au Vietnam? Très faible. Mais en fait, c’est même pas ça la bonne question. Car même si le risque était considérable, choper le palu quand on est dans une zone très habitée, avec des moyens de prise en charge médicale : c’est pas bien grave.
La où le palu est dangereux, c’est dans les régions peu peuplées, ou bien très pauvres. Car lorsqu’on le chope, si on est à 300km du premier hôpital et que le seul moyen de locomotion qu’on trouve pour s’y rentre est une caravane tirée par un boeuf… là oui, ça craint vraiment, et on risque d’y passer (j’ai un copain qui a frôlé la mort comme ça, à Madagascar)
Ces régions là, au Vietnam, elles n’existent plus. Il y a des gens partout, des routes partout, des véhicules rapides, et pas mal d’hôpitaux.
Donc si j’ai bien compris, le palu n’est pas un danger au Vietnam. Alors comme en plus le risque de le choper est assez faible, quel intérêt de prendre un traitement préventif? Aucun, si ce n’est pour le plaisir d’avoir mal au ventre et d’engraisser l’industrie pharmaceutique. Les plus paranos pourront acheter une boite de Lariam pour s’en servir à titre curratif en cas de très forte fièvre (je crois qu’il faut avaler tous les cachets d’un seul coup… gloups!).
Pour faire un bon voyage, il vaut mieux ne pas avoir peur de tout. Si on a peut de mourir au point de prendre un traitement préventif, alors surtout ne pas aller au Vietnam. Car la probabilité de mourir d’un accident de la route est sans doute 1000 fois plus élevée que celle de mourir du palu. Le seul traitement préventif possible, c’est d’éviter les routes. Et ça au Vietnam, c’est impossible, il y en a presque partout
Alors bon, il faut relativiser, et voyager l’esprit léger.
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14 juillet 2011 à 10h55 #139308
Impossible de laisser passer une telle info
– sur ce lien :
MOUSTIQUES – Des chaussettes sales pour lutter contre le paludisme | Big Browser
– cet article :
14 juillet 2011
MOUSTIQUES – Des chaussettes sales pour lutter contre le paludismeUne technique révolutionnaire pour lutter contre la maladie qui ravage l’Afrique pourrait bientôt naître en Tanzanie, rapporte le Washington Post. Des scientifiques expérimentent actuellement un piège à moustiques à la fois écologique et original : les chaussettes sales.
Les tests portent sur trois villages tanzaniens où une personne est en moyenne piquée trois cent cinquante fois par an. Les chercheurs espèrent prouver que les moustiques porteurs du parasite seraient attirés par cette odeur. Le jus de chaussettes aurait sur eux l’effet d’un violent poison dont ils mourraient peu de temps après s’en être abreuvés.
Si les tests sont concluants, cette technique pourrait être utilisée en complément de moustiquaires imbibées d’insecticide pour lutter contre la maladie qui tue près de neuf cent mille personnes chaque année dans le mondeps de rdb :
Oui mais comment obliger les Vietnamiens à porter des chaussettes ?
J’ai l’intention de créer une ONG pour les aider, comprenant un bureau de « généreux donateurs » .
(faudrait pt’ être essayer aussi avec les « fromages qui puent »)
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14 juillet 2011 à 12h09 #139313
Avec ce que tu viens d’écrire : « J’ai l’intention de créer une ONG pour les aider, comprenant un bureau de « généreux donateurs » .
Je commence à croire que tu es vraiment piraté !!! )
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14 juillet 2011 à 12h12 #139314
Et le jus de durian, qui peut parfaitement entrer en concurrence avec le jus de chaussette pour l’odeur… Mais ce serait du gâchis que de s’enduire de durian alors qu’on pourrait le manger ! )
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20 juillet 2011 à 17h40 #139514
Je suis parti avec rien personellement … Enfin, si, une crème anti moustique, et avec ça, j’craint dégun.
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20 juillet 2011 à 18h07 #139518
Au final, j’ai lancé le sujet et je ne suis jamais revenu parler du résultat sur place.
Donc comme prévu, j’avais ma malarone avec moi mais seulement pour la période d’exposition potentielle à Dien Bien. Et bien de tout le séjour, c’est justement là que je me suis fait le moins piqué. Ces moustiques là étaient bien plus gentils qu’à Ha Noi :wink2:
Dans tous les cas, aucun soucis à signaler ! -
2 août 2011 à 12h56 #139970
Phát hiện ổ bệnh sốt rét ở TP HCM
Trong 10 ngày, hõn 20 ca sốt rét ðã được Y tế dự phòng TP HCM phát hiện tại huyện Nhà Bè. Hầu hết bệnh nhân không nguy kịch, song theo các bác sĩ, tình hình cho thấy mầm bệnh đã xuất hiện và khả năng lây lan rất cao.
Fièvre, frissons, après le retour des montagnes. Attention à la malaria
> Sốt, ớn lạnh sau khi qua vùng rừng núi, coi chừng sốt rétĐại diện Trung tâm y tế dự phòng TP HCM cho biết, trong số trýờng hợp bị sốt rét ðýợc phát hiện có một gia ðình cả mẹ và con cùng dýõng tính, 4 ca dýới 15 tuổi, còn lại bệnh nhân đều trong độ tuổi từ 18 đến 35.
Bệnh nhân bị sốt rét ác tính được điều trị tại Bệnh viện Nhiệt Đới TP HCM. Ảnh: Cao Lâm
« Chỉ có 2 người mắc sốt rét ác tính, còn lại đều là sốt rét cõn. Tuy nhiên có hõn 20 ca bệnh xuất hiện trong thời gian chýa ðến 2 tuần tại cùng một huyện là ðiều cần quan tâm, bởi mầm bệnh có thể sẽ lây lan », bác sĩ Trần Phủ Mạnh Siêu – Giám ðốc Trung tâm y tế dự phòng thành phố cho biết.
Trong đợt kiểm tra dịch tễ cuối tuần qua tại khu vực có ca bệnh và vùng lân cận, Trung tâm y tế dự phòng TP HCM đã phát hiện trong môi trýờng xuất hiện muỗi Anophene epiroticus mang ký sinh trùng gây bệnh. Việc phun hóa chất diệt muỗi đã lập tức được tiến hành.
Tiến sĩ – Bác sĩ Nguyễn Hoan Phú, phó khoa Nhiễm Việt – Anh, Bệnh viện Bệnh Nhiệt Đới cảnh báo, quan điểm bệnh sốt rét ngày nay không còn nữa là sai lầm, bởi ký sinh trùng sốt rét kháng thuốc hiện vẫn lýu hành ở một số vùng Việt Nam. Tỷ lệ tử vong do sốt rét ác tính khoảng 10%.
Bệnh viện Bệnh Nhiệt Ðới TP HCM vẫn thýờng xuyên tiếp nhận bệnh nhân sốt sét. Nhiều trýờng hợp sốc nặng, thậm chí nguy kịch tính mạng do sốt rét ác tính.
Bác sĩ Nguyễn Vãn Vĩnh Châu, Giám ðốc Bệnh viện Bệnh Nhiệt Ðới, cho biết, triệu chứng thýờng thấy của sốt rét là rét run, sốt nóng, toát mồ hôi. Một số ca lại không có triệu chứng mà chỉ ớn lạnh, lúc sốt lúc không.
Việc xác ðịnh bệnh rất ðõn giản, có thể ðýợc thực hiện ở bệnh viện tuyến phýờng xã. Chính vì thế, ngýời có triệu chứng sốt rét, ðặc biệt là những ngýời sống ở khu vực có bệnh lýu hành, hoặc chỉ cần ði qua vùng bị dịch, cần ðến cõ sở y tế sớm ðể ðýợc chẩn ðoán.
Cao LâmTraduction un peu bancale par google mais compréhensive :
Détection du paludisme à HCMV
En 10 jours, plus de 20 cas de paludisme ont été trouvés par la médecine préventive de HCMV Nha Be district. La plupart des patients ne sont pas critiques, mais selon les médecins, la situation montre que les agents pathogènes ont émergé et la propagation possibilité très élevé.
> Fièvre, frissons, après les montagnes de passage, attention à la malaria
Les représentants de la médecine préventive du centre ville de Ho Chi Minh, a déclaré le nombre de cas de paludisme ont été trouvés à avoir une famille avec la mère et le bébé est positif, 4 cas de moins de 15 ans, les patients restants étaient âgés 18 à 35.
Les patients atteints de paludisme ont été traités à l’Hôpital pour HCMV tropicale. Photo: Ci-dessus de Cao Lam
« Seules deux personnes avec le paludisme, le reste sont des attaques contre le paludisme. Mais il ya plus de 20 cas surviennent dans moins de deux semaines dans le même quartier est préoccupante, car l’agent pathogène peut va & se propager « , le Dr Tran Phu Manh Sieu – Directeur de la médecine préventive pour la ville.
Dans l’inspection épidémiologique au cours du week-end dans les domaines des affaires et la région environnante, le centre de santé préventive HCMV trouvés dans l’environnement apparaît Anophene moustiques epiroticus transportent des parasites qui causent la maladie. Le spray anti-moustique a été immédiatement effectuée.
Médecin – Dr Nguyen Hoan Phu, vice-infections scientifiques vietnamiens – anglais, l’Hôpital d’alerte maladies tropicales, le point de la malaria n’est plus aujourd’hui une erreur, car les parasites du paludisme sont encore en circulation de la résistance dans certaines régions du Vietnam. La mortalité due au paludisme de 10%.
Hôpital pour les maladies tropicales HCM est souvent une fièvre patients recevant la foudre. De nombreux cas de choc grave, même le danger de la vie due à la malaria.
Dr Nguyen Van Vinh Chau, directeur de l’hôpital des maladies tropicales, a déclaré que les symptômes courants du paludisme sont des frissons, fièvre, sueurs. Certains cas ne présentent aucun symptôme, mais les frissons, la fièvre n’était pas le temps.
L’identification de la maladie est très simple, peut être effectuée dans les hôpitaux ou les quartiers. Par conséquent, les personnes présentant des symptômes de paludisme, en particulier ceux vivant dans des zones où la maladie circule, ou tout simplement passer par les aires de service, les établissements de santé ont besoin d’être diagnostiquée tôt.
Cao Lam -
2 août 2011 à 14h00 #139971
Merci Agemon pour l’article!
« Médecin – Dr Nguyen Hoan Phu, vice-infections scientifiques vietnamiens – anglais, l’Hôpital d’alerte maladies tropicales, le point de la malaria n’est plus aujourd’hui une erreur, car les parasites du paludisme sont encore en circulation de la résistance dans certaines régions du Vietnam. La mortalité due au paludisme de 10%. » (citation)
10% de la population ça n’est pas négligeable!
d’après l’article du Dr Nguyen Hoan Phu, on a l’impression d’une recrudescence
C’est intéressant de connaître les régions où il y a plus de risques, pour prendre (comme dans mon cas) des TTT préventifs si l’on va dans ces régions.(bien entendu)bonne fin d’après midi à toi
Ti Ngoc
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3 août 2011 à 3h22 #139982
10% des gens atteints, pas de la population je pense.
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3 août 2011 à 9h19 #139993
@oanhmatth 136081 wrote:
10% des gens atteints, pas de la population je pense.
salut oanmatth,
oui!
tu as raison, je me suis trompée
c’est 10% de la mortalité.
rien à voir avec 10% de la population.Ti Ngoc
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