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Gardien de buffles obtient la bourse francophone
La bourse francophone de promotion internationale d’un film du Sud, d’un montant de 80.000 euros, a été décernée à Gardien de buffles du réalisateur vietnamien Nguyên Vo Nghiêm Minh. Une mention spéciale a été attribuée à L’enfant endormi de Yasmine Kassari (Maroc) qui obtient une aide à la promotion de 40.000 euros.Le résultat a été annoncé le 28 septembre par Roger Dehaybe, administrateur général de l’Agence intergouvernementale de la francophonie, à Namur (Communauté française de Belgique), dans le cadre du festival international du film francophone qui célèbre son 20e anniversaire. Gardien de buffles, le film lauréat, récit d’une traversée tumultueuse à travers les eaux de Cà Mau au Vietnam, a particulièrement impressionné le jury par son caractère épique et par l’originalité et la prouesse technique du tournage. L’Enfant endormi, premier long métrage d’une jeune réalisatrice marocaine a été salué par le jury pour la maîtrise de sa mise en scène et de son scénario ainsi que par la grande pudeur qui fait toute la force du film. Grâce à ces contributions, les producteurs et distributeurs de ces deux longs métrages pourront réaliser une campagne promotionnelle (affichage, tirage de copies, relations médias…) qui multipliera les chances de ces films de conquérir le public international et de sortir des circuits d’initiés dans lesquels sont souvent cantonnés les cinémas du Sud.Cette bourse fait partie du dispositif de soutien à la production audiovisuelle dont l’élément principal est le Fonds francophone de production audiovisuelle du Sud, géré conjointement par l’Agence intergouvernementale de la francophonie et le Conseil international des radios et télévisions d’expression française (CIRTEF) et qui a contribué, depuis sa création en 1988, à la production de près d’un millier de films.
AF/CVN( 30/09/05 )
Source : Le courrier du Vietnam
Gardien de buffles du réalisateur vietnamien Nguyên Vo Nghiêm Minh s’est vu décerner le prix du meilleur tournage, lors du 50e festival du cinéma d’Asie-Pacifique qui vient de se clôturer à Kuala Lumpur (Malaisie).Cette récompense vient s’ajouter à une collection déjà longue de prix internationaux reçus par ce film, récit d’une traversée tumultueuse à travers les eaux de Cà Mau au Vietnam. Pour sa part, le documentaire Les sentiers de la justice du réalisateur Lai Van Sinh a également obtenu, avec un autre film, le prix spécial du jury grâce à sa vision émouvante des victimes vietnamiennes de l’agent orange/dioxine. Ainsi, deux des trois films vietnamiens, présentés lors de la plus grande rencontre du cinéma régional, ont obtenu un succès remarquable.Le 7e art sud-coréen a affirmé sa place de leader en remportant les titres les plus honorifiques : les prix du meilleur film et du meilleur metteur en scène ont été décernés au film Taegukgi. Les meilleurs acteur et actrice sont respectivement le Sud-Coréen Joo Hyun et la Malaise Tiara Jacquelina. Le 50e festival du film d’Asie-Pacifique, qui s’est tenu du 28 septembre au 2 octobre, a attiré la participation de 27 ½uvres de fiction, 12 courts métrages et documentaires ainsi que 7 dessins animés en provenance de 18 pays.
Thu Hà/CVN( 04/10/05 )
Source : Le Courrier du Vietnam
Apparement ce film a l’aire de bonne facture vu les critiques..
Qui a eu la chance de le voir ? 😆
Bon en France , je pense que cela va être plus difficile. 😆
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J’ai beaucoup aimé le film mais je ne suis pas forcément très objectif…
Les images sont très belles et l’eau est omniprésente. Je ne me souviens pas que le Vietnam ait déjà été montré au cinéma sous cet aspect. L’histoire est assez classique mais on la suit avec intérêt parce que le contexte est différent de ce qu’on a l’habitude de voir. Au-delà du récit, ce sont les thèmes éternels de la vie et de la mort qui sont évoqués.
Vous pouvez le visionner sans risque d’être déçus.
Indochine 1940, sous l’occupation française. C’est à Kim, 15 ans, que revient la charge de mener ses deux buffles loin des terres inondées du sud. Seule richesse de la famille, ces buffles doivent arriver sains et saufs aux Monts Bâ-thé.
A travers ce voyage dangereux dans des paysages immenses et recouverts par l’eau, Kim apprend la vie d’adulte. Il intègre une bande de gardiens de buffles, brigands à leurs heures, et découvre un univers d’hommes fait de rixes, d’alcool et de pillages. Progressivement, cette violence laisse place à l’amitié, l’amour et le bonheur d’être libre.
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Bonjour TLM,
Voici une jolie estampe ancienne, qu’on reproduit encore parfois pour Trung Thu (fête de la Mi-automne) et pour le Têt.
Texte calligraphié :舞秋風 (vũ thu phong)
一翊 (nhất dực)
vole au vent d’automne
une aile
Cordialement.
Dông PhongSource :
Imagerie populaire vietnamienne.
Auteur : Maurice Durand – Nouvelle édition établie par Philippe Papin – 2011 – 456 pages – 475 illustrations – EAN : 978-2-85539-122-9 – École Française d’Extrême-Orient (EFEO) de Paris.
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