Kca, oui, loué pour une duré déterminé est possible pour les etranger, mais pas pour acheter définitivement. Même la société taiwanaise phu my hung n’est pas propriétaire de ses immeubles (baille de 30 ans environs).
Peut-être cela changera avec la rentrée du Vietnam dans l’OMC. C’est pour cela que la société coréenne LG n’a pas encore commencer ses travaux de construction près de phu my hung (projet immobilier très important) elle attend sans doute un changement des lois concernant la propriété.
Logement : une question épineuse pour les bas revenus
Hanoi compte actuellement 1,5 million d'habitants souffrant du manque de logement, dont pour la plupart des personnes à bas revenu. Ce qui constitue une question inquiétante pour les autorités municipales.
Il s'agit d'un chiffre fourni par l'Institut de recherche et de développement socio-économique de Hanoi. Les besoins en logement de ces personnes sont toujours très forts mais les projets en leur faveur restent modestes. Concrètement, durant la période 2001-2005, seuls 440.000 m2 ont été construits dans le cadre de ces projets.
D'autre part, le prix de vente des appartements n'est pas raisonnable. En réalité, il excède de beaucoup la capacité financière des foyers en situation difficile. Même si les acheteurs ne doivent payer que 30% de la valeur totale de ces locaux pour le premier règlement et le reste bénéficiant d'emprunt à taux préférentiel avec un délai de remboursement de 10 ans, l'acquittement de l'intérêt de cette dette la première année n'est pas aisé pour les foyers pauvres.
Parmi les personnes à faible revenu, les ouvriers des zones industrielles méritent également la préoccupation des services compétents en matière de logement. L'accélération du rythme de développement économique a donné naissance à un nombre allant croissant de zones industrielles et donc l'afflux d'ouvriers dans ces établissements. Selon les prévisions, d'ici 2010, les zones industrielles sur l'ensemble de Hanoi attireraient quelques 50.000 emplois. Pourtant, aucune ne s'intéresse à l'heure actuelle au logement des ouvriers. Ces derniers sont obligés de loger chez les habitants aux alentours. Ces locaux de 10 à 15 m2 sont en réalité des taudis, manquant de tous les équipements nécessaires. Pourtant, le loyer (de 100.000 dôngs à 150.000 dôngs par personne par mois) constitue un fardeau pour les ouvriers qui touchent un modeste salaire mensuel de 600.000 dôngs à 800.000 dôngs. Ils sont obligés d'accepter des maisons vétustes.
Cette situation nécessite une politique d'assistance vraiment efficace de l'État dont la révision et le perfectionnement des textes concernant l'aménagement du terrain et du logement pour les personnes à bas revenu, la restauration des anciennes habitations à loyer modéré (HLM)et la construction des nouvelles cités réservées aux étudiants, aux démunis et aux ouvriers des zones industrielles. D'autre part, la diversité de superficie des appartements dans les nouvelles cités urbaines serait également une bonne solution pour favoriser le choix des foyers ayant des capacités financières différentes. De plus, les habitants espèrent bénéficier davantage des emprunts à taux préférentiel accordés par la ville.
Quant au logement des ouvriers des zones industrielles, il faut encourager les sociétés privées à construire des logements locatifs. Ces sociétés pourraient bénéficier de privilèges en matière de terrain et de mécanismes financiers, etc. Les locaux à louer doivent répondre aux normes requises.
Phan Anh/CVN
( 20/11/06 )
Source : Courrier du Vietnam
Le marché immobilier soumis à la transparence
Persuadés d'une application stable de la pratique internationale quand le Vietnam est déjà membre de l'OMC, les investisseurs étrangers passent le marché immobilier vietnamien à la loupe. Déjà, de nombreux projets d'envergure y voient le jour.
"Les investisseurs étrangers sont plus confiants vis-à-vis du marché vietnamien" où les règles internationales seront totalement respectées, a expliqué Trân Trong Hiêu, directeur de la Compagnie par actions d'investissement et de développement urbain international (IDJ). Stabilité et transparence sur le plan juridique sont 2 conditions indispensables au développement du marché immobilier, permettant d'assurer les intérêts des investisseurs, pense pour sa part Vo Dinh Quôc, vice-directeur de la Compagnie immobilière par actions de la Banque commerciale d'Asie (ACB). Désormais acteur de l'économie internationale, le Vietnam a bonne presse auprès d'investisseurs étrangers confiants dans les perspectives de développement de ce secteur. Partageant cet avis, Vu Quang Hiên, directeur de Citiplus, Compagnie par actions de consultation et de management immobilier, se déclare "très favorable" dans les négociations avec les partenaires étrangers pour ce type de transaction. Le Vietnam "ouvre largement la porte aux investisseurs étrangers", affirme Pham Manh Dung, directeur du Département de législation du ministère du Plan et de l'Investissement.
De juteuses occasions à saisir
Cette année, une loi sur le commerce immobilier a été adoptée, plaçant investisseurs vietnamiens et étrangers sur le même pied d'égalité dans le commerce et les services. Entrant en vigueur à partir du 1er janvier 2007, la loi joue un rôle décisif qui réchauffe le marché immobilier du pays, estime le docteur Dô Thi Loan, secrétaire général de l'Association des compagnies immobilières de Hô Chi Minh-Ville. Quatre-vingt milles mètres carrés ! Il s'agit des besoins annuels en bureaux de la capitale vietnamienne. D'ici 2020, la demande se fera encore plus grande, explique Richard Leech, directeur de CBRE Vietnam, une compagnie de consultation et de management en immobilier. À Hanoi, les buildings de catégorie A et B sont occupés respectivement à 99% et 95%. Les demandeurs commencent d'ailleurs à s'impatienter avant l'ouverture prochaine de 3 nouveaux buildings de luxe : North Asia Tower (vers fin novembre), Opera Business Centre (en décembre) et Pacific Place (en mars 2007). D'ores et déjà, le taux d'occupation pour North Asia Tower atteint 45% et celui d'Opera Business Centre, 75%. Face à la demande, les prix grimpent autour de 90 dollars/m² par mois pour le centre ville (TVA non comprise). Pacific Place envisage 60-70 dollars/m²/mois tandis qu'en général, le mètre carré pour un bureau de catégorie A à Hanoi est aux environs de 40 dollars par mois, soit plus cher qu'à Singapour et en Thaïlande. À Hô Chi Minh-Ville, selon les statistiques du Service municipal de la construction, une moyenne de 10 projets de buildings demandent chaque année la licence d'investissement. La mégapole du Sud compte actuellement 60 immeubles de bureaux à louer, pour une superficie totale de 300.000 m². Malgré cela, les besoins de plus en plus importants de la ville semblent dépasser l'offre. De fait, de nouveaux immeubles, complexes de bureaux et centres commerciaux sont en cours de construction un peu partout dans la ville. Des projets d'envergure, à l'instar de Sagon Pearl (Hongkong) de 156 millions de dollars d'investissements, Saigon Sport City (Singapour - 130 millions), Kumho Asiana Plaza (Corée du Sud -223 millions), tour Bonday Bên Thành (Hongkong - 55 millions), Saigon Happiness Square (Taïwan - 428 millions)...
Nguyên Ngân Huong/CVN
(21/11/06)
Source : Le courrier du Vietnam
Personnellement j'ai été frappé par la différence entre Saïgon et Hanoï, en matière de nombre de chantiers de constructions et d'apparitions de Buidings..
J'ai eu la nette impression que Hanoï était entrain de copier les mégapoles chinoises; disons que celà m'a laissé perplexe et un peu "inquiet" pour l'avenir car très très peu de charme!!!
Et je ne vous parle pas des "Z'IMMENSES" panneaux publicitaires qui ornent les environs d'Hanoï ou la route allant à l'aéroport!!!! Si c'est çà l'avenir.. préfère rester chez moi!!!
Logement : vente de l'immobilier public : un casse-tête
La vente et la gestion des villas et des logements de fonction classés propriétés publiques ont été, entre autres, au cœur des interpellations à l'Assemblée nationale. Embarras certain du ministre de la Construction, Nguyên Hông Quân.
Le député Nguyên Minh Thuyêt (province de Lang Son) s'est intéressé au nombre de hauts fonctionnaires ayant restitué leur logement de fonction au terme de leur service. Malheureusement, le ministre Nguyên Hông Quân n'a pas pu trouver la réponse.
S'agissant du management des logements de fonction, selon lui, le ministère de la Construction est chargé de régler le problème du logement, mais pas de la gestion concrète de l'habitat qui relève d'un organisme compétent en la matière ou des autorités locales. De plus, la Loi sur l'habitat indique bien que les bénéficiaires des logements de fonction sont tenus de rendre à l'État les logements qu'ils occupent, 3 mois après la cessation de leur fonction. Le projet de vente des villas classées comme biens publics à Hanoi et Hô Chi Minh-Ville est effectivement étudié.
Il faut plus de transparence
Ainsi, Hanoi a quelques 756 villas à vendre, et 43 autres qui ne peuvent l'être. Quant à Hô Chi Minh-Ville, la vente de l'immobilier public est effectuée à titre expérimental en vertu d'une décision du Premier ministre datant de 1995. Jusqu'à la fin du mois de septembre 2006, quelques 165.000 logements de fonction, soit 45% du total du parc immobilier public, ont été cédés dans tout le pays. Concernant le prix des villas de fonction, jugé comme étant "un sujet sensible" par Trân Thi Quôc Khanh de Hanoi, M. Quân a répondu qu'il devrait être fixé par un conseil présidé par le vice-président de la localité. Afin de pouvoir, le cas échéant, annuler la vente des villas et pour éviter les fraudes, il faut établir la preuve des violations de la législation, d'après M. Quân. Mme Khanh a également demandé à M. Quân de présenter aux députés la liste des logements et des villas de fonction déjà vendus et les procédures suivies pour leur conclusion. Il s'agit là cependant d'une tâche qui nécessite une requête de l'Assemblée nationale même.
Par ailleurs, M. Quân a reconnu les lacunes existantes quant à la vente de l'immobilier public, car l'achat de tels logements, bien loin d'être une obligation, ne participe en réalité que d'une démarche de "bonne volonté". Résultat : peu de gens s'y intéressent. En outre, la procédure et les formalités administratives entre les organismes et les autorités locales recèlent bien des " lenteurs ". Une autre réalité concerne les travaux de rénovation effectués par les occupants qui rendent difficile l'estimation de la valeur de l'immobilier, sans même évoquer les formalités administratives... Le ministre Nguyên Hông Quân a souligné que la vente de l'immobilier aux occupants prévue par l'ordonnance gouvernementale 61/CP, n'a pas pour finalité d'alimenter le budget de l'État, mais "de supprimer la politique de subvention en matière de logement".
Toujours sur cette même question, le ministre des Finances, Vu Van Ninh a indiqué qu'aucune vente de logement de fonction n'a été effectuée depuis. Les logements classés dans la liste de l'immobilier public à céder sont vendus conformément à cette ordonnance 61/CP.
Thanh Tu/CVN
( 28/11/06 )
Source : le Courrier du Vietnam
bonjour, je voudrais connaitre le prix de l'immobilier au vietnam mon epouse veut vendre une maison F2 sur 850m2 de terrain a l'entree de sadec dans le delta.
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