Thuong oi, je n'ai pas internet chez moi, car c'est un vrai taudis. Je suis quasiment obligé de faire des consortions pour avoir de l'open wifi, quasiment dans la rue... c'est la misère... surtout la nuit...
Là, je suis actuellement sur un poste, hors de chez moi. Trêve de complainte auto-victimaire de ma part de ma part.
Pour répondre à ta seconde phrase (à la française) : "ngu+i mièn nam khong sàï ma'y tu+` d-o' ". =Absence d'habitude dans l'emploi de ces expressions... en tout cas telles quelles : "gioi" est un mot souvent utilisé, mais jamais le thê'. Moi je l'utilise à cause du fait que je regarde trop de vidéo où, entre les chansons, ils parlent de culture populaire, d'histoire, de coutumes, avec des blagues.. le tout toujours assez de manière assez formelle (les nordistes54 sont partout !). Résultat, je me suis attrappé à dire des "thê" ici et là. Quant au "gioi ui", dans le sud, il y a l'équivalent : "troi dat oi" ou "troi oi" qui veut dire en transposition purement littérale : "ciel terre ô !" ou "ciel ô !" C'est-à-dire "Oh my good !"
Je trouve cela très intéressant au contraire, surtout quant on sait l'attachement des lettrés de la diaspora aux traditions littéraires et à la justesse des emplois.
Je confirme, de ma pauvre expérience, que je letexte envoyé m'a aussi fait un drôle d'effet, car on utilise de manière prépondérante le " y ". Et même avec un "dau nang" : KhiFlo, c'est un défi graphique à relever ! ;D
autour de moi aussi, beaucoup de gens ont noté une inflation de nouveaux mots dans des domaines particuliers.