Cela dit, Caliméro, Les Civilisés, c'est une critique du pouvoir colonial.
Les mauvais sont les blancs. C'est ça qui en a fait un brûlot (bon, c'est un peu beaucoup dire).
Bonne lecture en tout cas.
Cela dit, Caliméro, Les Civilisés, c'est une critique du pouvoir colonial.
Les mauvais sont les blancs. C'est ça qui en a fait un brûlot (bon, c'est un peu beaucoup dire).
Bonne lecture en tout cas.
The Curse of the Were-Nem Chua
Une promesse facile à tenir parce qu'un couple enlacé à son insu, ça n'est pas vraiment fréquent. Ou alors, Nem Chua a raison sur leur état.
Le milieu de quoi ? Ne me dis pas que tu étais au milieu des copulateurs !
C'est vrai : on est sans pitié mais avoue qu'asséné sans prévenir, ça surprend
PS : tu remarqueras que je n'ai fait aucune allusion sur le sujet que tu as ouvert. Ah zut ! J'aurais pas dû dire ça...
On n’est riche que de ses ami(e)s
Rire et rêver, au-delà des frontières
Tre già làm sao uốn
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http://voyagesauvietnametailleurs.blogspot.com/
Bonjour à tous,
Je réponds sur le post d'Esox1, mais c'est adressé à tous ceux qui ont répondu (en fait des messieurs, où sont les femmes ???)
Vous n'êtes pas sympas de titiller ainsi notre petit BenP ! Je le trouve très gentil : j'adore les histoires à l'eau de rose ! La vie n'est pas toujours très gaie, alors, les histoires romantiques permettent de rêver un peu, même si on n'y croit pas !
Je rejoins son romantisme en disant qu'il m'est arrivé de voir, à ma grande surprise, dans un grand espace, près de la mer (pas un jardin public !) où, sur des chaises installées comme pour un spectacle de nombreux jeunes assis, deux à deux, dans le noir, en train d'apprécier la fraîcheur du soir. Ils étaient très attendrissants pour la femme que j'étais, qui passait là, pour aller se chercher un endroit où dîner ! Cela se passait à QHY NON, il y a un certains temps déjà...
Mais cela se passait aussi à NHA TRANG, sur le front de mer, où les jeunes gens font la même chose (gentiment et non pas comme dans un film porno !) : là, j'avais trouvé ça moins drôle, car nous n'avions pas de place pour nous asseoir pour déguster nos "sèches tapées au caillou" ! Nous avions, je me souviens, trouvé refuge sur une marche du monument aus morts ! (Mais nous nous étions excusés auparavant de cet irrespect !)
Vous voyez, il n'est pas besoin d'être jeune, ni amoureux, pour savoir apprécier le romantisme d'une nuit étoilée et la fraîcheur de la nuit !
En fait, la photo de thuong19 et le récit de BenP me font plutôt penser à la chanson de Brassens "Les amoureux des bancs publics"
Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Ils se tiennent par la main
Parlent du lendemain
Du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement
Ell' cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûr
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand la saint' famill' machin
Croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêch' que tout' la famille
Le pèr', la mèr', la fille
Le fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Pierre.
Dernière modification par pierrehuyen ; 20/08/2008 à 22h38.
On n’est riche que de ses ami(e)s
Rire et rêver, au-delà des frontières
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Ca fait un peu "bétaillère" ( désolé pour l'expression ) leur endroit pour se retrouver. Pour moi rien de bien romantique , ils sont tous agglutines sur leur scooter/bancs avec leur potes qui les regardent ( souvent ) en chien de faïence en attendant que ça se passe ^^
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