La réponse est NON. Ce n'est pas la peine de faire un traitement contre le paludisme.
La réponse est NON. Ce n'est pas la peine de faire un traitement contre le paludisme.
Quite a prendre quelque chose, autant prendre des tisanes a l'Artemisia.
Les Chinois sont en train d'utiliser les nouveaux traitement ACT comme cheval de Troie pour leur conquete du continent Africain.
Une plante chinoise contre le paludisme - La Chine
Une plante chinoise contre le paludisme
Version optimiste, ce pourrait être une histoire de mondialisation heureuse. Comment une plante connue en Chine depuis deux millénaires va peut-être soulager l'Afrique du XXIe siècle du paludisme... si les multinationales du médicament, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Etats africains le veulent bien.
Car l'histoire a aussi le parfum du scandale, celui des avancées scientifiques dont les malades pauvres ne voient guère la couleur. Aujourd'hui, les traitements à base d'artémisinine, tirés de la plante chinoise qing hao, ont envahi la littérature scientifique, la publicité des laboratoires et les congrès scientifiques, tel celui qui vient d'avoir lieu à Yaoundé, au Cameroun, du 14 au 19 novembre. Au point d'en faire une sorte de nouvelle panacée. Pourtant, les populations dont la survie dépend de ces produits n'en bénéficient pratiquement pas jusqu'à présent, au moins en Afrique, où sont concentrés 90 % des cas.
Prochain laboratoire de pharmacie chinois au Nigeria
paludisme : un nouveau depart ? science actualites
China & Frique
http://www.lomecite.com/article/Sante/652/
Pour une lutte efficace contre le Paludisme : Lancement du ACT antipaludique Arco au Togo
Vendredi, 11.09.2007, 10:08am (GMT)
Mme Yu Zelin, DG de KPC à droiteLe paludisme est une maladie redoutable qui de nos jours fait plus de victimes que le SIDA. 90 % des cas de décès sont enregistrés en Afrique Subsaharienne. En vue de trouver un remède pour une lutte efficace contre cette maladie, le laboratoire Kunming Pharmaceutical Corp (KPC) basé en Chine a élaboré un produit ACT antipaludique ARCO. Cette nouvelle combinaison thérapeutique Artemisinin + Naphthoquine a été officiellement lancé au Togo le 08 novembre à travers une cérémonie officielle à la salle Kéran de l’Hôtel du 02 février a constaté Lomécité.
Petit rappel historique.
Artémisinine - Wikipédia
L’histoire contemporaine de l’artémisinine commence pendant la guerre du Vietnam lorsque l’armée nord-vietnamienne construit tout un réseau de souterrains. Comme ces tunnels récupéraient toute l’eau de pluie, les moustiques transporteurs du paludisme se reproduisaient dans l’eau stagnante. Le problème prit une telle ampleur, que l’armée nord-vietnamienne a perdu plus de soldats par le paludisme que par les armes. Les Nord-vietnamiens se sont alors tournés vers la Chine pour essayer de trouver une solution.
En 1967, des chercheurs militaires chinois se sont donc attelés à étudier les remèdes traditionnels à base de plantes pour essayer d’en trouver un d’efficace contre la variété de paludisme endémique au Vietnam. Ils ont assez rapidement trouvé l’armoise annuelle, dans une région de Chine peu touchée par cette maladie. Ils ont observé, qu’au premier symptôme de paludisme, les habitants de cette région buvaient une décoction d’Artemisia annua. Cette plante était utilisée dans le traitement d’une grande variété de maladies depuis plus de deux millénaires. Généralement administrée sous forme de thé, elle n’avait pas d’effet secondaire visible et semblait très efficace.
Dernière modification par HUYARD Pierre ; 18/06/2008 à 10h31. Motif: bold
salut !
quand je suis allé au Vietnam, le médecin ne m'a donné qu'une boîte de médicaments au cas où mais pas de traitement préventifs comme lors ce que je suis allé en Afrique.
mais je n'allais qu'à Saïgon, et on sait que les moustiques n'aiment pas la pollution, donc risque limité, maintanant si tu as l'intention de rester longtemps en zone rurale il faut voir !
demandes l'avis d'un autre médecin !
en tout cas si ils essaient de te refiler du Lariam demandes leur de trouver autre chose ! les effets secondaires sont vraiment pas tristes !
en Afrique je prenais de la camoquine (un comprimé 3x par semaine, t'es un peu vaseux le jour de la prise mais ça va) ou un autre à prendre une semaine avant et quelques semaines après le retour, un comprimé tous les jours, et celui la était bien, pas d'effets secondaires, mais j'ai oublié le nom !
un bon moyen d'éviter les problèmes c'est de ne pas laisser trop de peau accessible, et passer un couip de bombe insecticide dans la salle de bain et la chambre quelques heures avant d'aller dormir.
Les moustiques ne sont pas trop genes par la pollution : ce qui les gene, c'est le manque d'eaux dormantes et le le vent.
A Saigon, on a une methode simple : les ventilateurs.
Et puis, on a aussi la methode Rolland Garros ; la raquette electrique qui grille les sales betes.
La clim est un moyen radical, mais c'est chiant de vivre sous cloche toute sa vie. J'ai deja la clim au boulot; ca sufffit comme ca.
Il y a aussi le DEET en bombe ou en creme.
Et puis il y a les moustiquaires. Y a pas de pile; ca marche tout le temps.
J'ai regulierement pris du Laryam lors de mes sejours en Afrique (2 a 3 semaines) parce que les etangs et lagunes au Benin sont vraiment infestees. Je n'ai ressenti aucun effet secondaire; a part le prix d'achat du produit, mais on ne peut pas dire que ce soit un effet secondaire.
Dans la mesure ou les Chinois se soignaient avec des decoctions d'Artemisia Annua, pourquoi ne fait-on pas pousser cette plante dans toute les zones infestees pour que chacun puisse utiliser ce remede simple et peu couteux.
L'armoise annuelle (Artemisia annua - en chinois: qinghao (青蒿)) est une plante annuelle glabre originaire de Chine naturalisée en Europe.
On trouve l'Armoise naturelle dans tous les terrains vagues (y compris au milieu des habitations) des zones tempérées chaudes.
On doit pouvoir la cultiver dans tout le bassin Mediterraneen et dans le nord Vietnam.
Armoise annuelle - Wikipédia Je me demande,... Mais, peut-etre n'est-ce pas assez couteux pour certains !
Et surtout, il n'y a pas de brevet dessus, enfin, pour l'instant !
Quand je pense que le PDG d'une des grandes pharma suisse est un médecin, supposé soigner les gens. Il gagne, bon an, mal an, environ 15 millions d'euros par an. Je crois qu'il a dû se tromper, on lui proposait de prêter le serment d'Hippocrate alors qu'il pensait lui prêter le serment d'hypocrite.
Il peut y avoir des brevets sur les produits derives de la plante; pas sur la decoction de la plante.
Et c'est peut-etre pour ca que tout le monde (chinois et Viets y compris) cherche a creer un medicament tire de l'Artemisia Annua plutot que d'oeuvrer a repandre la culture de cette plante.
Novartis a du mal a se procurer le produit chinois, mais peut-etre que les Chinois en freinent (un peu) l'exportation.
http://vietnam.vnanet.vn/Internet/DesktopModules/BaoAnh/Print/Print.aspx?ID_Cat=29&ID_NEWS=9618&language=fr-FR&number=12&year=2007
Un million de paludéens et des milliers de morts chaque année, telle est la situation tragique du Vietnam à la fin des années 80 du siècle dernier.
A l’époque les personnes atteintes de paludisme prenaient des médicaments classiques importés qui sont peu efficaces et causent des effets secondaires. A la suite de la découverte de l’Artemisia nanua L. (Composacées), plante ayant une propriété anti-paludéenne, les scientifiques vietnamiens se mettent à l’ouvrage. La compagnie pharmaceutique centrale à actions Mediplante a réussi à fabriquer le médicament utilisé dans le traitement du paludisme. L’organisation mondiale de la Santé (OMS) a prescrit ce médicament dans la réalisation du programme national de prévention et de guérison du paludisme en remplacement des médicaments utilisés auparavant.
De 4 000 morts en 1990, le nombre de personnes annuellement atteintes de paludisme au Vietnam se réduit aujourd’hui à quelques centaines et le nombre de victimes à quelques dizaines. L’Artemisia nanua L. n’existe qu’en Chine et au Vietnam, seuls pays qui produisent et exportent le médicament préparé à partir de cette plante.
Fiches de l'Institut Pasteur :
- sur le Paludisme :
Institut Pasteur - Paludisme
- sur le projet de vaccin MSP3
Institut Pasteur - Paludisme : l’intérêt du candidat-vaccin MSP3 se confirme
Dernière modification par robin des bois ; 19/06/2008 à 10h21.
Hello,
je pars aussi en juillet pour le VN, mon doc me conseille de prendre un médoc (doxypalu ou Malarone) car c'est la mousson. Il n'a pas tord. Je suis réunionnais, et je sais ce que c'est que de se faire piquer par les moustiques (on a eu l'épidémie de Chikungunya il a 2 ans) surtout en été et la période des pluies... et ce n'etait pas faute de se protéger, on a été piqué et on l'a eu le chik. Très douloureux je ne le souhaite à personne.
Donc par précaution, et par expérience des climats tropicaux, je vais prendre le Malarone car il semblerait que le Doxypalu est photosensibilisant (et rien de pire de passer ses vacances à éviter un coup de soleil meme sous les nuages !). L'inconvénient avec tous ces medocs, c'est les effets indésirables mais aussi qu'il faut continuer a les prendre après son retour au pays. Et pour le Doxypalu, c'est 1 mois après jusqu'à la fin du traitement ! Le malarone, 1 semaine je crois.
bref, chacun fait comme il veut mais dites vous bien qu'un homme averti en vaut 2. Il vaut mieux prévenir que guérir. Le palu n'est pas le chik ou la dengue.
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