Bonjour à tous,
J'ai récupéré une connexion internet et j'en profite pour vous remercier de vos voeux de bon voyage. Il fut bon et continue à l'être.
Je profite également pour répondre à quelques remarques.
Deux mois, dont environ 6 semaines à Haïphong. Les derniers quinze jours, descente au sud avec un court arrêt à Nha Trang.
Nous sommes allés directement à la porte de Vietnam Airline.Enfin, lorsque je dis directement, c'est façon de parler, parce que, des couloirs interminables, sans tapis roulants (y compris dans ce qui semble être uin terminal nouvellement construit), lorsque tapis roulant il y a, il se déplace à une vitesse qui bat les records de lenteur des escargots helvétiques. Des crochets dont on se demande l'utilité, etc.
Merci pour le bouquet.
Je me souvenais avoir lu tes mésaventures (ou alors tu nous en avais parlé de vive voix). C'est pourquoi nos bagages à main n'exédaient pas 7 kg. De toutes façon, VN Airlines, c'est 30 kg en soute + 7 kg, Air France c'est 20 kg en soute + 12 kg, le score est nettement en faveur de VN Airlines par 37 kg à 32 kg !
Vacances, vacances ? Cela fait quelques années (depuis la retraite) que nous n'avons plus de vacances, plus de week-end, plus de ponts ...
Pour rencontre dans le sud, pourquoi pas à notre retour, enfin pas immédiatement, mais vers la troisième semaine de juillet. Je vais lancer une discussion à ce propos.
Je disais éponge, en fait il s'agit, je recopie l'étiqueette :
"Universalreinigungsstücher Vlies
Chiffons de nettoyage polyvalents
Panni polivalenti"
C'est fou ce que l'italien est concis !
C'est fabriqué en "80 % viscose, 20 % fibres synthétiques". C'est effectivement ultra-résistant, 6 mois minimum d'usage quotidien et fréquent.
Cette espèce d'éponge est tout à fait courante en Méditerranée et sur les côtes française. Pas très grande, 5-6 cm, elle n'offre pas, à ma connaissance, d'intérêt commercial. Très agréable à toucher sous l'eau, soyeuse.
À l'arrivée, le 2 mai, comme d'habitude, chaleur étouffante. Maintenant, après un orage nocturne, la température est un peu retombée ou, alors, on commence à s'acclimater. Mais le lendemain de notre arrivée, j'ai souffert d'un assez fort mal de tête, sans doute fatigue du voyage et chaleur.
Les Coulommiers ont parfaitement supporté le voyage, maintenant, ce qu'il en reste, séjourne au frigo (je sais, je sais, du fromage au frigo, mais le moyen de faire autrement ?).
La réaction de ceux qui en ont goûté, un poli "c'est bon", à l'exception de mon jeune beau-frère qui aime vraiment.
Une main d'acier dans 5 gants de velours !