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Discussion: Un africain qui retrouve ses racines au Vietnam: EMOUVANT

  1. #1
    Passionné du Việt Nam Avatar de BEBE
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    Par défaut Un africain qui retrouve ses racines au Vietnam: EMOUVANT

    Histoire émouvante d'un Afroviet qui retrouve ses racines au Vietnam.

    http://manuscritdepot.com/a.jean-moutti.1.htm

    « À nous deux, Maman : destination Viêt Nam », histoire vraie, Jean Moutti


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    « À nous deux, Maman : destination Viêt Nam » Histoire vraie,
    Jean Moutti

    Fondation littéraire Fleur de Lys,
    Montréal, 2007,
    450 pages.

    ISBN 978-2-89612-219-6

    Une histoire vraie, passionnante et poignante
    d’une exceptionnelle émotivité

    Né au Viêt Nam pendant la guerre, Jansen Morati (nom d’emprunt dans ce manuscrit de l’auteur Jean Moutti) rentre en Côte d’Ivoire dès l’âge de 3 ans. Pendant 6 ans, il évolue dans un environnement proche de l’éden. A partir de 9 ans, sa vie se transforme en un véritable cauchemar. Il est victime de brimades, de séquestrations, de sévices corporels d’une atrocité inouïe pour son jeune âge. Il s’enfuit de la maison pour devenir un enfant de la rue. Dans cet environnement de lutte acharnée pour survivre, il s’agrippe désespérément à une bouée de sauvetage imaginaire, comme point d’appui : sa mère, qu’il n’a réellement jamais connue. Dans sa profonde détresse, il l’appelle à son secours, en vain. Il décide de la rechercher pour s’éjecter de cette spirale infernale de la méchanceté humaine. Ainsi germe et se fortifie dans son esprit, une farouche détermination à retrouver sa mère au Viêt Nam. Patiemment et obstinément, ce rêve démentiel d’enfant se transforme en projet d’adulte, à portée de main. Il a dû parcourir plus de 150.000 kilomètres en avion qu’il a emprunté 24 fois à l’occasion de ses différentes investigations. Au cours de ce périple mouvementé, il a traversé des moments pénibles, stressants et traumatisants. D’où ce cri du cœur : « A nous deux, Maman, destination Viêt Nam ». Pour Jansen, l’heure de vérité a maintenant sonné : le combat ne fait que commencer pour des retrouvailles envisageables, possibles et historiques entre la mère et le fils. Malgré les échecs répétés, la lutte de Jansen
    continue, sans répit, pour retrouver sa mère. Jansen Morati maintient par conséquent ce cap, pour ne pas sombrer dans la démoralisation, le découragement et la déprime. Par la grâce de Dieu, le miracle se réalise. Il retrouve sa mère au Viêt Nam le 7 mai 2002, cinquante ans après. Il découvre sur place, par la même occasion, une petite sœur, Maï. Il retourne avec sa mère et sa petite sœur en Côte d’Ivoire, le 15 mai 2002, à la rencontre de son père, éberlué par l’exploit de son fils. Un jour nouveau se lève, enfin.


    Abidjan, Côte d’Ivoire, 2002 : l’auteur Jean Mouti, sa petite sœur Maï et sa mère Tâm.


    Extrait - Dédicace

    À tous les soldats africains morts sur le champ de bataille au Viêt Nam. Ils ignoraient souvent la cause pour laquelle ils combattaient dans ce pays. Beaucoup y sont morts, sans véritablement laisser de traces dans la dignité, comme du bétail destiné à la consommation. Nous n'avons pas le droit de les oublier. Ils sont tombés au champ d’honneur, pour la gloire et la grandeur de la France. Une stèle funéraire, ou un mémorial, devrait être érigée pour eux dans chaque pays d'Afrique concerné. Nous avons un devoir de mémoire pour honorer ces vaillants héros d’une guerre, dont les enjeux ne les concernaient pas directement.

    À tous les mutilés africains et à tous les Anciens Combattants d'Afrique de la guerre du Viêt Nam. Ils sont nombreux à vivre à ce jour en dessous du seuil de pauvreté, parfois dans une déchéance totale. Pourtant, ils ont permis d’une certaine manière à la France d'éviter une cinglante humiliation au Viêt Nam, malgré la défaite historique de Diên Biên Phu, au nord-ouest du Viêt Nam, près de la frontière du Laos. Aujourd'hui, ces valeureux vétérans vivotent. Ils perçoivent des pensions de retraite ridicules et outrageusement discriminatoires de l’Etat français. Ces allocations sont sans aucune commune mesure avec les innombrables sacrifices consentis pour la « mère-patrie » de l’époque coloniale. Des décisions ont été prises, seulement en 2007, pour corriger cette injustice, mais elles tardent à se mettre en place.

    À tous les enfants et petits-enfants des Anciens de l'Indochine dont les parents ont été des soldats en provenance d’Afrique, de France ou des Etats-Unis d’Amérique. Nous sommes la manifestation du témoignage d’une période stupide et horrible de l’histoire de l’humanité. Soyons aujourd’hui la passerelle socioculturelle de la fraternité entre tous les peuples du monde.

    À tous ceux qui cherchent, parfois désespérément, un parent cher, un père, une mère, un fils, une fille, un époux, une épouse, un être qu’ils chérissent. Ils peuvent avoir le cœur meurtri par l’angoisse d’un échec dans leurs investigations. Je les exhorte à ne jamais perdre espoir malgré le découragement qui les harcèle. La bataille qu’ils mènent est noble. Les crises émotionnelles sont fréquentes et parfois imprévisibles. Elles doivent fortifier leur détermination et leur pugnacité à poursuivre ce juste combat : atteindre leur objectif, contre vents et marées. La victoire finale est à ce prix.

    À tous ceux qui s’y reconnaîtront d’une manière ou d’une autre, par une projection rétrospective des traitements iniques endurés et des frustrations poignantes vécues dans leur enfance ou dans un passé récent. Ils étaient à une certaine époque, et peut-être même toujours, la proie toute désignée d’une injustice flagrante de leur environnement. Quelles recommandations leur prodiguer ? Le pardon n’est-il pas la réponse à ces épreuves vexatoires et à ces pratiques oppressives ? C’est certainement une piste à explorer.


    Avant propos

    En 1939, la guerre est déclenchée en Europe. Elle se répand par la suite à l'ensemble des pays du monde. C'est la seconde guerre mondiale. En 1940, la France subit des revers importants. En Asie, les troupes japonaises en profitent pour entrer en Indochine. L'Indochine est à cette époque une grande péninsule de plus de deux millions de kilomètres carrés. Elle occupait une sphère géographique comprise entre l'Inde et la Chine. Elle comprenait la Birmanie, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge, la partie continentale de la Malaisie et le Viêt Nam. C’est ce pays, le Viêt Nam, qui est au cœur du présent ouvrage.

    Pour comprendre le contexte dans lequel évolue Jansen Morati, personnage principal de cet ouvrage, il est nécessaire de rappeler quelques repères historiques. Pendant la seconde guerre mondiale (1939- 1945), le Viêt Nam passe sous occupation japonaise, suite semble-t-il, à un compromis avec le gouvernement français de Vichy, du maréchal Pétain. Le très charismatique vietnamien Nguyen Aï Quoc (1890 - 1969) organise alors la résistance. En 1941, il crée le « Front Viêt Minh ». Son objectif : libérer le Viêt Nam de l'occupation japonaise et aussi française. Il s'emploie à canaliser le patriotisme de ses compatriotes. Il cristallise leur nationalisme. En août 1942, Nguyen Aï Quoc prend le nom de Hô Chi Minh. Pour galvaniser ses troupes contre les forces étrangères, il s'appuie sur le Viêt Minh. Il peut compter sur un allié inattendu : les Américains. Ceux-ci veulent supplanter les Français dans cette zone asiatique. Ils apporteraient implicitement un appui militaire au Viêt Minh. En 1945, Hô Chi Minh intensifie la guérilla pour prendre le pouvoir à Hanoï. Le 13 août 1945 marque la capitulation du Japon. Le 19 août 1945, le Viêt Minh écrase le système féodal vietnamien de Bào Daï et triomphe du régime colonial français. Le 2 septembre 1945, Hô Chi Minh proclame l'indépendance nationale du pays, sous l'appellation de « République Démocratique du Viêt Nam ». Le 23 novembre 1946, sous le prétexte d'un litige douanier, la France lance une offensive terrestre et maritime sur le port de Haï-phong, non loin d’Hanoï. Hô Chi Minh résiste. L'armée populaire chinoise vient au secours du Viêt Minh. Les Etats-Unis se rangent cette fois-ci du côté de la France, tandis que l'URSS et la Chine soutiennent Hô Chi Minh. C'est l'engrenage de la guerre communément appelée en Afrique, la « guerre d'Indochine ».

    C'est dans ce contexte que commence l’histoire vraie relatée dans cet ouvrage. Les faits décrits et rapportés s’appuient parfois sur des témoignages. Certains sont toutefois à prendre en compte avec réserve dans la forme, mais en aucun cas, dans le fond et la finalité.


    Introduction

    Roger Morati est originaire de la colonie française de Côte d’Ivoire, en Afrique de l’Ouest. Comme de nombreux Africains, il est enrôlé de force comme supplétif de l’armée française. Il part pour le front au Viêt Nam, puis en Algérie. Démobilisé, il rentre en Côte d’Ivoire. Son fils, Jansen Morati, le rejoint en famille, après avoir séjourné six ans dans un établissement à caractère social. La vie du jeune Jansen prend alors une tournure dramatique.  Dans sa solitude de souffre-douleur de ses parents, Jansen cherche à s’accrocher, avec acharnement et obstination, à un point d’ancrage. L’image de sa mère, dont il n’a aucun souvenir, lui revient sans cesse à l’esprit. Il s'agrippe désespérément à cette bouée de sauvetage imaginaire. Il veut la rejoindre à tout prix, sans véritablement mesurer l’ampleur d’un tel projet démentiel.

    Adolescent, son rêve utopique de gamin fait progressivement place à une volonté farouche à rechercher sa mère. Il lui faut absolument réussir ses études pour envisager sereinement une telle aventure. Jansen Morati est toutefois quelque peu perturbé par un certain nombre d’appréhensions. Des images terrifiantes et révoltantes sur le Viêt Nam s’entrechoquent sans cesse dans son esprit. Les séquences TV, montrant les bombardements au napalm des B52 américains contre la population vietnamienne l’indignent. Sa mère n'est-elle pas parmi ces victimes innocentes ? L'évacuation en catastrophe des derniers soldats américains et du personnel de l'ambassade des Etats-Unis à Saïgon le 30 avril 1975 le laisse perplexe. Il est cependant scandalisé de voir les scènes de reportage télévisé de ces nombreux Vietnamiens refoulés sans ménagement aux grilles de cette représentation diplomatique. Les troupes du Général Vô Nguyên Giap sont sur le point de s’emparer de Saïgon, la capitale du Viêt Nam du Sud. Les cris des femmes et des enfants, suppliant de les laisser franchir le portail de l'ambassade des Etats-Unis, lui transpercent le cœur. Sa mère, qui s'est probablement rangée du côté de l'Occident depuis la défaite de la France face au Viêt Nam, n'est-elle pas dans cette foule compacte ? N’y aura t-il pas des déportations et des règlements de compte après le départ des Américains ? Peut-être sa mère a-t-elle cherché à fuir par la mer ? A quel prix ? Les naufrages des « boat people » vietnamiens sont une véritable catastrophe humanitaire. Souvent ces malheureux fugitifs sont jetés à la mer par les pirates qui les attaquent pour les dévaliser. Sa mère ne fait-elle pas partie de ces victimes ? A moins que son embarcation ait chaviré quelque part, en mer de Chine ? Les chances de retrouver les traces de sa mère s'amenuisent dans son esprit, mais elles renforcent sa détermination à se rendre au Viêt Nam pour en avoir le cœur net.

    Adulte, Jansen Morati focalise sa raison d'être sur un objectif extrêmement précis : réussir son parcours professionnel à tout prix. Il veut ainsi accéder à un certain statut social pour se donner les moyens financiers d’envisager un voyage au Viêt Nam. Sa promotion en entreprise est heureusement au rendez-vous. C’est une chance inespérée pour lui. Le déclic pour entreprendre ce voyage peut maintenant être enclenché. Avant de passer à l’action, des questions, de plus en plus récurrentes dans ses méditations, deviennent obsessionnelles. Comment retrouver sa mère ? Par où commencer ? Où peut-elle bien être ? Est-elle toujours en vie ? Comment les Vietnamiens vont-ils accueillir celui dont le père les a combattus pendant la guerre ? N’est-ce pas risqué d’entreprendre un déplacement au Viêt Nam ? Après maintes réflexions, la décision de Jansen Morati est prise. Il doit se rendre sur place au Viêt Nam pour rechercher sa mère et ses parents maternels.



    Au sujet de l'auteur

    Jean Moutti est né le 28 avril 1952 au Viet Nam, pendant la guerre d'Indochine. Il rentre dès l'âge de 3 ans en Côte d'Ivoire, Afrique de l'Ouest, avec son père. Sa mère, quant à elle est restée au Viet Nam.

    Il grandit dans un nouvel environnement familial qui lui est particulièrement hostile. Il y subit des brimades, des bastonnades, des violences physiques inouïes pour son jeune âge. Il s'enfuit de la maison pour devenir un enfant de la rue, avec toutefois une obsession, rejoindre sa mère au Viet Nam.

    Fort heureusement, de bonnes volontés l'arrachent de cette spirale de la délinquance juvénile. Elles lui font prendre conscience qu'un tel projet de se rendre au Viet Nam est conditionné par une exigence à 2 volets : réussir un parcours scolaire et professionnel afin de dégager les
    moyens financiers pour effectuer ce périple. Pour sortir ses parents de la misère, il opte pour des études universitaires courtes.
    Il cherche un emploi qu'il obtient à la Société de  Distribution d'Eau de Côte d'Ivoire (SODECI). Il est embauché en 1975 comme Technicien de Dépannage des armoires électriques. Son ambition de progresser sur le plan professionnel, pour pouvoir se rendre au Viet Nam à la recherche de sa mère, lui permet de gravir plusieurs postes pour devenir Directeur Régional - Abidjan Sud et Nord, en fin de carrière dans cette entreprise.

    En 1990, il est recruté à la Compagnie Ivoirienne d'Électricité (CIE) comme Chef de Service Organisation, Formation et Assistance. Pour renforcer sa capacité d'analyse et de réflexion, en prévision d'éventuelles promotions qui faciliteraient un voyage au Viet Nam, il suit des formations académiques de niveau universitaire. Il s'inscrit en DEA Communication. Il obtient un DESS en GRH et un MASTER en Management et Organisation des Entreprises qui lui permettent d'occuper les postes de Sous Directeur Clientèle, de Directeur Exploitation Commerciale en 1993, puis Directeur Central des Ressources Humaines en 1999.

    C'est à ce stade de son parcours professionnel qu'il formalise, planifie et organise enfin, et avec succès, son fameux voyage au Viet Nam. Le 16 novembre 2005, il rend sa démission de la Compagnie Ivoirienne d'Électricité (CIE) pour se consacrer exclusivement à la Formation des Cadres.

     Du bilan de sa carrière professionnelle en Côte d'Ivoire, Jean Moutti a également animé près de 150 exposés et environ 50 séminaires de formation, sur des thèmes GRH et Management. Il a aussi dispensé plus de 1.500 heures de formation universitaire dans le domaine de la Gestion des Ressources Humaines, de la Communication d'Entreprise et du Management.

    Il est le concepteur d'une Nouvelle Méthode de Pesée des Postes et d'une Fiche d'Évaluation des Compétences du Personnel. Enfin, il est l'auteur d'un ouvrage intitulé : Vision Managériale, levier de la Gestion des Ressources Humaines.

     Depuis le 9 juin 2007, il s'est installé définitivement à Montréal, dans la province du Québec au Canada, avec tous les membres de sa famille.

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    Monsieur Jean Moutti se fera un plaisir de répondre à vos courriels.
    Voici son adresse électronique :

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  3. #2
    Amoureux du Viêt-Nam Avatar de guillaume67
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    c'est super émouvant effectivement ! Merci mon brave BEBE !:kimouss:

  4. #3
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de Bao Nhân
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    Merci BEBE. C'est très émouvant. Comme quoi cette histoire montre que l'amour et reconnaissance pour une mère peut devenir une force quasi surnaturelle et donne des impulsions, lui aidant à survivre dans un environnement hostil et à réussir sa vie professionnelle pour pouvoir réaliser son rêve de retrouver sa mère.
    Bảo Nhân : fascination, impression and passion

  5. #4
    Avatar de mike
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    Merci BEBE pour cette découverte..en effet, son témoignagne est touchant et donne envie de se procurer le bouquin..

  6. #5
    Apprenti Viêt Avatar de marcopolo1949
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    août 2006
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    Par défaut Félicitations !

    Simplement un grand bravo et félicitations pour votre entêtement... Amicalement, Marc

    Citation Envoyé par BEBE Voir le message
    Histoire émouvante d'un Afroviet qui retrouve ses racines au Vietnam.
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