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Discussion: La Franc-Maçonnerie mère du colonialisme

  1. #61
    Passionné du Việt Nam Avatar de ngjm95
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    Citation Envoyé par robin des bois Voir le message
    Oui Monsieur , c'est bien lui

    ( malheureusement je n'arrive pas à retrouver le texte de référence ; ceci dit je suis convaincu que c'est vrai .).
    J'avais hésité entre Mao et Giap. L'argument qui me faisait pencher vers Giap était qu'il fut un moment de sa vie professeur d'histoire .
    Merci à vous tous de nous faire connaître les guerres vendéennes.Je recommande le spectacle du Puy du Fou.
    Madame a lu vos posts avec beaucoup d'intérêts car son arbre généalogique s'est arrêté brusquement vers cette époque en Vendée, avant le départ en Angleterre et puis au Canada et après la 2ème guerre mondiale aux Etats_Unis.
    On constate que l'histoire bégaye à chaque révolution avec tous ces massacres.

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  3. #62
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de robin des bois
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    Citation Envoyé par ngjm95 Voir le message
    .
    On constate que l'histoire bégaye à chaque révolution avec tous ces massacres.
    Sur les guerres de Vendée , toutes les âmes bien pensantes -cad "catholiques et royaliste de coeur " -s'attardent volontiers sur les massacres républicains et les "colonnes infernales " , dont celui des enfants des Lucs sur Boulogne .

    Toutçà mis en valeur dans les vitraux des églises rebâties du temps de la Restauration

    ..En oubliant allègrement la phase n°1 de ces guerres de Vnedée - effectivement prototype des guerres révolutionnaires futures ..

    Dans cette phase n°1, que croyez-vous que "les maquisards révolutionnaires vendéens" (royalists et cathos pourtant) faisaient de leurs prisonniers républicains ?
    Et bien tout comme les bons maquisards d'Asie ou d'ailleurs , ils n'avaient pas les moyens de les garder .. et donc ils les tuaient ...

    (sauf une fois ... Bonchamps, mourant et passant la Loire, a demandé la grâce des prisonniers républicains :
    on en a fait toute une histoire .. et raconté moultes fois ce haut fait d'armes...notamment sur les vitraux des églises : c'est quasi un saint !!!)

  4. #63
    Invité Avatar de Yakirichau
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    Par défaut l'Indochine et la colonisation française

    «* Voici nos colons qui t’initieront à tous les secrets de la science occidentale*», disait le Gouverneur Général Beau dans une allocation au peuple «*annamite*», «*Par eux, tu connaîtras le travail de la machine et tu apprendras comment les forces de la nature peuvent être asservies à l’homme pour alléger son travail*».

    ref: "L’Indochine au travail dans la paix française" ( J.Gauthier, Editions Eyrolles, 1949)

    Remarquez le tutoiement affectueux. C'est ça le colonialisme.

    Autre chose, il est connu que Paul Doumer était Franc Maçon.

  5. #64
    Amoureux du Viêt-Nam Avatar de HAN VIËT
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    juillet 2011
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    Citation Envoyé par robin des bois Voir le message
    Ok mais c'est la 2eme vie de Petain... sous VICHY, il a décapité la Franc-maçonnerie en 4 ans
    Le PETAIN indochinois de 1940 à 1945 _ Decoux , les francs maçons , l'église catholique
    Les Japonais avaient occupé militairement l'Indochine avant la Seconde Guerre mondiale, mais ont permis aux Français de continuer à gouverner la colonie. Le Vietnam, comme l'Indochine est appelée maintenant, est donc devenu l'objet d'intenses bombardements américains après Pearl Harbor. A mission of vengeance: vichy French in Indochina in World War II - page 3 | Air Power History
    Les Japonais au Vietnam ont été aidés dans leur occupation de la colonie française par un gouvernement fantoche dirigé par le vice-amiral Decoux Jean, un marin froid , hautain . Decoux avait été nommé au poste de gouverneur général du Vietnam par le gouvernement du maréchal Philippe Pétain, situé à Vichy .L'amiral a dirigé le pays comme s'il s'agissait d'un navire de la marine française, et a utilisé ses officiers de marine pour imposer des politiques anti-démocratiques, anti-sémites et anti-alliés sur la colonie. Decoux dit plus tard dans sa propre défense qu'il a pris les commandes d'un gouvernement légal de la France et celui-ci n'était pas en guerre avec le Japon. La politique de l'amiral : « pas d’ incidents = ne rien faire qui donnerait aux occupants japonais une excuse pour renverser son régime, désarmer ou écraser les forces militaires du pays « . Les forces de police de Decoux et une organisation paramilitaire qu'il a créée, la Légion française des anciens combattants et des bénévoles de la Révolution nationale mettent en oeuvre pendant 4 ans les politiques de Vichy sur le Vietnam et persécutent vigoureusement les opposants au régime de Decoux. Les victimes étaient principalement des francs-maçons, les soldats et les fonctionnaires soupçonnés d'être pro-britanniques ou sympathisants de de Gaulle ainsi que les socialistes, les communistes, les juifs, et toute personne soupçonnée de «résistance»
    L’amiral mène la belle vie http://aejjrsite.free.fr/goodmorning/gm99/gm99_AmiralDecoux.pdf"
    Le faste de l'Amiral Decoux ne se déployait pas seulement pendant ses tournées. Dans ses diverses résidences, il tenait beaucoup au décorum, à la cérémonie des couleurs à laquelle prenaient part quotidiennement 25 marins de sa garde personnelle. Il fit restaurer et aménager les palais de Hanoi et de Saigon ainsi que la belle villa (25 pièces principales...) du Gouverneur Général à Dalat".[Claude de Boisanger]." Son point faible était un goût pour les potins et les ragots, nombreux dans les cercles étroits des Français de Hanoi et de Saigon. Ses photos font apparaître le visage d'un homme déterminé, quelque peu guindé, avec un long nez et des lèvres minces. L'Amiral était presque toujours en uniforme. Un marin, hallebarde au poing, se tenait à la porte de ses appartements et sa garde personnelle était exclusivement composée de marins (Jacques de Folin, Ambassadeur). Son pouvoir était absolu, le faste dont il s'entourait était impérial et probablement nécessaire".[Jean-Baptiste Duroselle (1917-1994), Historien, agrégé d'Histoire, Professeur à la Sorbonne.]
    Decoux pendant toutes ces années est très occupé ;comme on peut le voir dans http://aejjrsite.free.fr/goodmorning...iralDecoux.pdf , il rend beaucoup visite aux églises dont il a le soutien fort .
    Derrière les lignes , on croit savoir que cette période fut pour l’église catholique vietnamienne une période de grand espoir ; grâce à Decoux, ils s’étaient débarrassé des républicains et des francs-maçons qui les avaient empêché de convertir les VN pendant des dizaines d’années . Ils avaient rongé leur frein si longtemps ,ils allaient pouvoir gouverner l’Indochine comme du temps du début , le gouvernement de l'Indochine des amiraux .

  6. #65
    Passionné du Việt Nam Avatar de Dông Phong
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    Chers ami(e)s,
    Sir Robin et moi-même, dans notre passion régionaliste, vous avons entraîné(e)s dans le colonialisme intérieur français en Vendée et en Bretagne.
    Mais revenons au sujet de ce topic : franc-maçonnerie et colonialisme, et particulièrement au Viêt Nam (nous sommes sur ForumVietnam, ma doué !).
    Permettez-moi donc, si j’ose dire, de jeter un pont entre nos digressions et le sujet initial, en vous citant un franc-maçon célèbre qui a laissé sa marque indélébile au Viêt Nam, Paul Doumer (« Paul Doumer était franc-maçon …»). Voir sa biographie et ses actions sur : Paul Doumer - Wikipédia.
    S’il a (fortement) contribué au développement des infrastructures du Viêt Nam, il y était aussi (un peu) à l’origine de « l’enseignement colonial » qui a abouti à l’acculturation des « indigènes ». Voir : VIETNAM UNE LONGUE HISTOIRE - Khá̆c Viện Nguyẽ̂n - Google Livres (pp. 174-175).

    Dông Phong

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  7. #66
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  8. #67
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    Par défaut Relents du colonialisme.

    Citation Envoyé par Yakirichau Voir le message
    Remarquez le tutoiement affectueux. C'est ça le colonialisme.


    "C'est notre Raïs à nous : c'est Mr René Coty. Un grand homme. Il marquera l'Histoire. Il aime les Cochinchinois, les Malgaches, les Marocains, les Sénégalais... c'est donc ton ami. Ce sera ton porte-bonheur."

    "On est en 1955 les gars, faut se réveiller. Les ânes partout, les djellabas, l'écriture illisible, ça va hein ! S'agirait de grandir ! S'agirait de grandir...Moi j'suis dans le poulet, eh ben j'vois rien que dans le poulet c'est un bordel !"

  9. #68
    Invité Avatar de Yakirichau
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    Voici deux personnages qui appartiennent désormais à l'histoire: ma bellle mère Dr Henriette Bui Quang Chieu, première femme Vietnamienne à devenir médecin et mon père Nguyen Ngoc Bich qui fut sauvé par ses ennemis de combat mais camarades de l'Ecole dont il était issu. Il faut signaler que M. Bui Quang Chieu, le père du Dr Henriette Bui Quang Chieu, et M. Vuong Quang Nhuong, son mari, étaient tous les deux franc maçons .

    C'est un extrait du discours que j'ai prononcé hier aux funérailles de ma belle mère.


    " Née à Hanoi le 8 septembre 1906, Henriette Bui Quang Chieu est issue d'une famille prospère du Sud Vietnam.

    Son père, Bui Quang Chieu, fut parmi les premiers à obtenir une bourse d'études en France. Diplômé de l'Institut national d'Agronomie en 1887, il fut nommé Ingénieur agronome dans les services agricoles de l'administration française en Indochine. Fondateur du Parti Constitutionnaliste et d'un journal, La Tribune Indochinoise, il militait pour une voie réformiste excluant tout recours à la violence armée. Son activisme politique fut cependant regardée d'un mauvais oeil par l'administration coloniale qui le considérait comme un dangereux nationaliste et même un révolutionnaire. Pourtant, aux yeux des communistes vietnamiens, il restait un fervent partisan de la collaboration avec le Français. Il finira par être assassiné par le Viêt-Minh avec ses enfants males.

    Henriette Bui Quang Chieu commença ses études primaires et secondaires à l'Ecole Primaire Supérieure des Jeunes Filles de Saigon puis au lycée Marie-Curie. Dotée d'une intelligence vive mais de caractère très dissipée - elle avoue avoir constamment zéro en conduite - elle finit par se faire renvoyer du lycée. En désespoir de cause, son père l'envoya à 15 ans continuer ses études en France. Henriette débarqua en France en 1921, terminait ses études secondaires au lycée de Bordeaux puis commença des études de médecine à Paris en 1926. En ce temps-là, même en France, les femmes qui accédaient à l'enseignement supérieur étaient encore très peu nombreuses,
    plus rares encore étaient celles qui poursuivaient des études de médecine.

    Ses dix ans d'études supérieures et d'internat dans les hôpitaux de Paris lui ont permis d'acquérir une précieuse compétence professionnelle ainsi qu'un fort esprit d'indépendance et une grande faculté d'adaptation. Elle revint au Vietnam en juin 1935, accueillie comme une héroïne, étant la première femme vietnamienne à être médecin, formée de surcroît dans une prestigieuse université de la puissance coloniale.

    Néanmoins, nommée médecin-chef à la maternité régionale de Cholon, elle fut bientôt confrontée à une sournoise discrimination raciale de la part de ses supérieurs et collègues. La plupart des Français servant dans les colonies, se souvient-elle, avaient une mentalité très colonialiste, pour ne pas dire raciste. Ils ne se mélangeaient pas avec les "indigènes", même si ceux-ci possédaient la nationalité française, même si certains faisaient partie d'une élite hautement qualifiée, formée dans les meilleures écoles supérieures françaises.

    Sa première conversation avec son chef de service à l'hôpital fut surréaliste. "Vous vous habillerez à la française", lui dit-il. Elle lui demanda pourquoi.
    -"Pour qu'on vous respecte".
    Elle répondit : -"Non, je m'habillerai justement à la vietnamienne pour que les gens sachent me
    respecter".
    - On va vous prendre pour une sage-femme, lâcha-t-il en conclusion. Alors que jusque-là elle
    s'habillait toujours à la française, elle commença, par défi, à s'habiller désormais à la vietnamienne
    à son travail.

    Malgré la discrimination criante qui sévissait à l'hôpital, comme partout d'ailleurs, Henriette Bui se consacrait entièrement à son travail, trouvait même le temps pour ouvrir un cabinet privé et s'attirait une clientèle nombreuse. Dans une société encore fortement imprégnée de traditions confucianistes, Henriette Bui faisait vraiment figure d'exception.

    A son retour au pays, obéissant à son père, elle s'était mariée avec Me Vuong Quang Nhuong, un avocat célèbre à la Cour d'Appel de Saigon. Son emploi du temps effréné ne tarda pas à mettre à mal leur ménage et bientôt, ils se séparèrent. Leur divorce en 1937 eut le même retentissement que leur mariage deux ans plus tôt, avec en plus un parfum de scandale.

    Peu après l'assassinat de son père par les Viêt-Minh en septembre 1945, Henriette Bui accompagna en France Nguyen Ngoc Bich, expulsé du Vietnam en raison de ses activités poiur l'indépendance du pays.

    Rentré au Vietnam après avoir obtenu ses diplômes d'ingénieur à Polytechnique et à l'Ecole des Ponts et Chaussées, Nguyen Ngoc Bich entra en résistance aux côtés du Viêt-Minh et dirigeait un maquis dans le delta du Mékong. Il voulait lutter pour l'indépendance du Vietnam mais ne partageait pas les convictions communistes de ses partenaires du Viêt-Minh. Son prestige énorme et sa popularité auprès de la population du Sud Vietnam provoquaient la suspiscion du Parti. Capturé après son refus d'en devenir membre et condamné par les autorités françaises à être exécuté, Nguyen Ngoc Bich n'échappa à la mort que grâce à l'intervention des camarades de l'Ecole Polytechnique, officiers dans l'armée, alertés par Henriette Bui. Ceux-ci inscrivirent son nom sur une liste de prisonniers Viet Minh à échanger et organisèrent son départ en exil vers la France .

    A Paris, Henriette Bui s'installa avec celui qu'elle considérait comme son mari. Ayant depuis longtemps rêvé d'étudier la médecine traditionnelle chinoise, elle partit faire des études d'acupuncture au Japon en 1957-1958 et fit partie des tout premiers médecins à introduire en France l'acupuncture dans la pratique de la médecine occidentale. Entretemps, Nguyen Ngoc Bich se lança dans une nouvelle carrière à Paris, fonda avec des amis les Editions Minh Tan pour promouvoir la connaissance aux Vietnamiens et entreprit, à près de 40 ans, des études de médecine. Après avoir été diplômé, Il enseigna en physique médicale à l'Université de Paris. En 1964, atteint d'un cancer, il partit, accompagné par Henriette Bui, se faire soigner au Japon et aux USA. Ils revinrent au Vietnam où Nguyen Ngoc Bich mourut en 1966.

    Henriette Bui reprit ses activités de médecin au Vietnam avant de quitter définitivement le pays en 1975. Elle pratiqua la médecine à Paris où elle prit sa retraite en 1978.

    Cette grande figure féminine, pionnière en bien des domaines, qui eut un destin exceptionnel, avait fêté ses 105 ans en Septembre de l'an dernier.

    Désormais, elle fait partie de l'histoire du Vietnam.

    Elle reposera en paix à côté de Nguyen Ngoc Bich à Ben Tre le berceau de la famille de celui ci, comme elle l'a désiré.

    Paris le 10 Mai 2012 "

  10. #69
    Passionné du Việt Nam Avatar de Dông Phong
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    Par défaut

    Citation Envoyé par Yakirichau Voir le message
    Voici deux personnages qui appartiennent désormais à l'histoire: ma bellle mère Dr Henriette Bui Quang Chieu, première femme Vietnamienne à devenir médecin et mon père Nguyen Ngoc Bich qui fut sauvé par ses ennemis de combat mais camarades de l'Ecole dont il était issu. Il faut signaler que M. Bui Quang Chieu, le père du Dr Henriette Bui Quang Chieu, et M. Vuong Quang Nhuong, son mari, étaient tous les deux franc maçons .

    C'est un extrait du discours que j'ai prononcé hier aux funérailles de ma belle mère.


    " Née à Hanoi le 8 septembre 1906, Henriette Bui Quang Chieu est issue d'une famille prospère du Sud Vietnam.

    Son père, Bui Quang Chieu, fut parmi les premiers à obtenir une bourse d'études en France. Diplômé de l'Institut national d'Agronomie en 1887, il fut nommé Ingénieur agronome dans les services agricoles de l'administration française en Indochine. Fondateur du Parti Constitutionnaliste et d'un journal, La Tribune Indochinoise, il militait pour une voie réformiste excluant tout recours à la violence armée. Son activisme politique fut cependant regardée d'un mauvais oeil par l'administration coloniale qui le considérait comme un dangereux nationaliste et même un révolutionnaire. Pourtant, aux yeux des communistes vietnamiens, il restait un fervent partisan de la collaboration avec le Français. Il finira par être assassiné par le Viêt-Minh avec ses enfants males.

    ....

    Paris le 10 Mai 2012 "

    Bonjour Châu,
    Avec mes condoléances à ton épouse, à toi et à ta famille, je te remercie de nous avoir partagé ce pan de l'histoire du Viêt Nam.
    Bien amicalement.
    Dông Phong




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  11. #70
    Jeune Viêt Avatar de quangyen
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    octobre 2011
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    Par défaut

    Châu, bonjour.
    L' amour est plus fort que la mort.
    Yen

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