j'adorerais te répondre... mais je ne peux point....
j'adorerais te répondre... mais je ne peux point....
C'est mignonne ton histoire " sous arrêt de bus"
T'as raison! Le plus important est l'amour!
J'ai assis un mariage un couple français de 73 ans et 69 ans l'année dernière avec les 8 messieurs et mademoiselles d'honneur.( Ces sont leur propres enfants et petits enfants!)
La cérémonie a été magnifique, j'ai eu des larmes au yeux car elle a été
émouvante!
Con về ăn cá với canh
Chén cơm Má nấu chén tình Má thương
Cơm ngoài dù có cao lương
Cũng không bằng chén cơm thường Má cho...
Pour ma part, j'ai croisé la mienne à Hà Nội en 93 pour la première fois, à l'ouverture du Café de Paris (chez Maurice), puis nous avons fait connaissance parce que comme moi elle aidait des adoptants dans le très long parcours du combattant qui leur était imposé à l'époque. Rien de tel que des épreuves partagées.
De fil en aiguille, il nous a fallu trois ans pour vivre ensemble et nous marier.
The Curse of the Were-Nem Chua
Je crois que c'est essentiellement une question d'attitude. Quand on est calme et pas ostentatoire, il n'y a pas de raison que ça se passe mal.
C'est vrai qu'en 94-95, on se faisait arrêter sur la moto pour un oui pour un non, et si Mme Nem Chua était avec moi, le policier la prenait facilement à part et la traitait de tous les noms jusqu'à ce qu'on paie (ou jusqu'à ce qu'on s'endurcisse). De même, dans l'administration, certains ne manquaient pas l'occasion de nous faire des misères, mais somme toute ça a été assez rare.
Nous avons été agressés une fois en 95 à Hội An. On était assez discrets, pourtant.
Avant de sortir avec Mme Nem Chua seule, j'ai emmené en sortie tous ses collègues pas mal de fois. En fait, comme j'étais plutôt timide, c'est le groupe d'amis qui a petit à petit accueilli notre relation et l'a faite éclater au grand jour. Nous nous sommes tenu la main la première fois sur un quiproquo (elle n'avait pas compris que je voulais lire les lignes, elle a mis sa paume contre la mienne et non pas le dos de sa main), mais nous les avons gardées serrées et voilà.
Entre le cháo cá quả de Cấm Chỉ, celui de Mai Hắc Đế, les graines de tournesol du café des étudiants (juste au Nord, face au petit lac, un premier étage au-dessus d'un magazin de sacs, je crois qu'il existe encore), les balades à vélo avec Mme en amazone à l'arrière, surtout dans la bruine de Hà Nội en cette période de peu de motos et surtout peu de lumières la nuit dans les rues. La rue Thợ Nhuộm, qui coupe en biais dans le quartier pourtant très cartésien du sud du petit lac. Le village de Ạ Hồi, caché au beau milieu de la ville, mais qui gardait toujours son petit charme de village. Le marché aux voleurs au bout de Phố Huế. Que de souvenirs tranquilles et sympa!
Les aventures, c'était surtout pour les adoptants: des déménagements au trou de la nuit pour échapper aux harcèlements d'intermédiaires, des filatures, des messages secrets, c'était assez fou la vie et les magouilles autour des adoptants à cette époque. J'étais réputé parce que je savais trouver des couches culottes et des biberons, qui étaient rares à Hà Nội en 94-95. Aujourd'hui, avec les supermarchés et les galeries commerciales, on ne croirait plus.
The Curse of the Were-Nem Chua
LOL!!
Je la cherche toujours, à moins que ce soit elle qui me cherche...
(Note pour moi-même : Penser à écrire un truc ici..)
@Salfyt et à Klent
Quelquepart, il y a toujours quelqu'un pour quelqu'un.
moi j'ai rencontrer ma futur epouse par l'intermediaire de ma tante, qui faisait de la marche positive dans un parc a phu nhuan.
elle a entendu une dame qui parlait des couples viet/viet kieu, c'est a ce moment la que me tante a demander a cette dame si elle connaissait quelqu'un
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