Envoyé par
bidji
L'argent à régné, règne et régnera; Amen!!
Bonjour bidji. OK. C'est un point de vue ni inique ni cynique ... quoique ... mais bon !
Mais est-ce-que, de la même manière, l'air et l'eau ne règnent pas aussi, avec des problèmatiques similaires de pollution ?
Envoyé par
Buuhoa
Bonjour Thanh Ba.ch,
Je suis intéressée par le prochain sur ce sujet, bien sûr. L'amoralisme économique est-il mort ? J'en doute, car il bouge encore beaucoup trop !
Merci à toi qui m'amène à me poser des questions un Samedi matin ! Mais j'aime aussi tous tes poèmes qui me permettent aussi de réfléchir parfois, mais aussi à m'évader du quotidien !
Bon week-end à toi et à tous les forumeurs qui passeront par là !
Bonjour Buuhoa.
Merci de votre post.
Je n'ai pas oublié de revenir vers vous Forumvietnamiens pour rapporter le texte ci après :-)
En copyleft "of course" et réputé SGDG.
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Les crises ? C'est une question de maturité ...
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Macroéconomie … Modélisation d’un Système Complexe
«La macroéconomie (dont le terme est introduit en 1933 par l’économiste norvégien Ragnar Frisch[1]) est l'approche théorique qui étudie l'économie à travers les relations existant entre les grands agrégats économiques, le revenu, l'investissement, la consommation, le taux de chômage, l'inflation, etc.»
(c) Wikipedia
Le Constat … Le plus beau modèle ne peut donner ce qu’il n’a pas
La modélisation actuelle de la Macroéconomie (Macroeconomics) procède d’une vision de type «Modèle de Données», mettant en œuvre des agents à travers des flux. C’est une vue «nécessaire», cependant insuffisante car incomplète . Vue donc qu’il faudra conserver et progressivement affiner et surtout de façon concomitante, qu’il faudra compléter …
Les compléments aux manques actuels du modèle nous auraient sans doute permis une autre préhension de la discipline et aller plus loin dans la maîtrise des faits et gestes économiques, en supposant que l’on en ait l’intention, surtout dans un contexte ultra -libéral.
Ces compléments théoriques seront proposés par des apports venant de l’Ingénierie des Systèmes Complexes (cf. INCOSE, AFIS). Ils consistent fondamentalement en une généralisation de l’analyse des phénomènes macroéconomiques et de leur modélisation en un système plus complet et cohérent.
L’outil sous-jacent dans cette Modélisation de la Macroéconomie par les Processus – sera le modèle générique CPRET des Processus. Je dirais que ce sera le motif (pattern) de base, l’élément fondamental pour la complétion du modèle macroéconomique actuel, actuel mais déjà «ayant donné et montré ses limites».
La Synergie … Le Système Macroéconomique est un type de Système Complexe
La synergie existe entre les outils ayant fait la preuve de leur qualité et de leur capacité de bien servir leurs utilisateurs, Economistes d’une part et Ingénieurs Systèmes Complexes de l’autre. D’emblée nous considérons ici que tout outil doit servir et non pas être servi, même si sa maîtrise, cela va de soi, requiert un effort certain d’apprentissage et beaucoup de mises en application càd. d’expériences concrètes. Plus c’est théorique, et plus cela doit être corroboré par les faits, et non biaisés svp, si possible.
Cette synergie émerge de la coexistence de deux mondes qui heureusement ont fini par se communiquer. Celui de l’Economie et celui de l’Ingénierie des Systèmes Complexes. Ce dernier plus jeune, bénéficie, me semble-t-il, de toutes les avancées théoriques et technologiques en matière de Modélisation (par les Processus.)
Pour faire simple, les Processus formeront un ensemble de «vues» qui intègre celle des Modèles de Données. Ces vues sont comme autant de différentes «coupes» réalisées par un scanner conceptuel du corps de la Macroéconomie. En fait, pensons à l’éléphant … de grandes oreilles, une longue trompe, des pattes puissantes etc. mais plus fidèlement c’est d’abord et surtout, l’ensemble structuré de tout cela !
L’outil … Le Processus au-delà des agents et des flux
Un dessin valant souvent mieux qu’un long discours, reportez-vous à l’image ci-dessous qui synthétise la description-définition d’un Processus, résumé en un acronyme: CPRET, Contraintes, Produit, Ressources, Eléments (en entrée) et Transformations. Le Processus inclut les «agents» en tant que Ressources (Humaines) et les «flux» en tant que Eléments (en entrée) et Produits. De plus il possède comme parties intégrantes, les Transformations et en premier lieu les Contraintes, i.e. les Lois et les Règles, à l’inverse des courants de libéralisme «néo» ou «classique». Il est à noter aussi que si la référence à la monnaie dans les flux va de soi, se réduire à ce seul vecteur est une simplification incorrecte et incongrue.
Incongru car un modèle s’il est incomplet ne pourra rendre compte de ce que «génétiquement» il n’a pas. Là où sont les failles d’un modèle, là se forment et se logent les dysfonctionnements du système réel qui utilise ce modèle. Parmi les exemples de telles failles, citons brièvement ces flux qui ont très peu à voir avec la monnaie, à savoir les flux et les transactions qui ne sont pas adossés au profit pécuniaire en premier mais qui ont pour objet la satisfaction des besoins de nature autre que pécuniaire et qui se situent «au-delà du mercantile»
PS: Ces lignes sont dédiées fraternellement à mes anciens camarades de Lycée et notamment à THH, NTL, NTBL, LKC, PVQ, PGT et NQDT
(sapn)
Processus - Modèle AFIS - CPRET
Nota -Un Processus se définit pour une Mission précise (1) et un Environnement donné (2)
(1) Par exemple se faire le maximum de pépètes ooops pardon ... maximiser les profits (pécuniaires)
(2) C'est-à-dire, cela va de soi, en liberté sauvagement non encadré ooops pardon ... dans un cadre libéral étendu