Un prix littéraire tchèque remis à une écrivaine (vietnamienne ) fictive
Un prix littéraire tchèque remis Ã* une écrivaine fictive | Rue89
Un prix littéraire tchèque remis à une écrivaine (vietnamienne ) fictive
Un prix littéraire tchèque remis Ã* une écrivaine fictive | Rue89
On essaye d'inventer une "jonque" vietnamienne à baignoire telle que les Tay Faranxay se l'imaginent
On essaye d'inventer des massage vietnamien tels que les les Tay Faranxay se l'imaginent
On essaye de faire de la cuisine vietnamienne spécial touristes
Des écrivains comme Nguyễn Huy Thiệp & Dương Thu Hương écrivent des livres vietnamiens spécials Tay Faraxay en prenant soin de les faire "interdire au pays" car le dissident, ça se vend mieux
Monsieur Cempirek a fait mieux :
"L'auteur en personne déclare qu'il s'agissait d'une suite de clichés :
« Il s'agit d'un ouvrage schématique arborant une vision en noir et blanc du monde. En gros, le livre décrit plus ou moins ce qu'un Tchèque “ordinaire” imagine que les Vietnamiens de Tchéquie pensent. »
"Cempirek, l'écrivain ignoré, a pris ses maudits « censeurs » à leur propre jeu : sur une story faussement vraisemblable de l'enfance et de l'adolescence d'une Vietnamienne de Bohême, brandie en appât, il vient de superposer sa propre histoire, faisant un pied de nez aux membres du jury littéraire."
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