oui mais balises oficiel : on vieint de se faire dépouiller pour la 2eme foi
+ que 100 million de materiel electtronic !
oui mais balises oficiel : on vieint de se faire dépouiller pour la 2eme foi
+ que 100 million de materiel electtronic !
Les militaires chinois ont piraté le bateau "en directe" et l'ont dépouillé de tous ses appareils électroniques pour + de 100 million de Dong : Le GPS, le sonar, la radio BLU, le scanner meteo...Bị lấy hết cá đánh bắt được, rồi ngư cụ vân vân, thì thiệt hại chắc là nhiều ?
Cái sản lượng mất cả bảy, tám chục triệu. Còn nó thu máy thông tin liên lạc, máy tầm ngư, máy định vị - máy dò cá, máy để xác định hướng đi, đường đi, rồi máy quét, đủ thứ máy bị nó lấy, to của lắm chứ. Nhiều tiền lắm ! Một cái máy bữa nay mua là bốn mươi triệu rồi. Bây giờ về làm sao sống đây, không biết vay tiền nhà nước để sống được không nữa. Cũng khó !
máy thông tin liên lạc, máy tầm ngư, máy định vị - máy dò cá, máy để xác định hướng đi, đường đi, rồi máy quét
J’espère que cette balise est un truc genre "boite noire" que les gens des pays civilisé n'ont pas le droit de voler
Dernière modification par DédéHeo ; 28/02/2012 à 06h09.
Vol de tout matériel de sécurité et communications sur un bateau tombe sous le coup de vol et mise en danger des personnes. Mais pour les militaires chinois....
Une chose me chiffonne . Pourquoi ce pêcheur était tout seul ? D'habitude , n'allait on pas pêcher en groupe , surtout dans les eaux disputées ?
Trois navires de la Force maritime d'autodéfense japonaise à Hai Phong
Courrier du VIET-NAM - 10/03/2012 09:28
Trois navires de la Force maritime d'autodéfense japonaise, que sont le JS Hamagiri (DD155), le JS Sawayuki (DD125) et le JS Asayuki (DD132), ayant à leur bord 600 officiers et marins, ont jeté l'ancre au port de Chua Ve, ville de Hai Phong (Nord-Est). Était présent lors de la cérémonie d'accueil l'ambassadeur du Japon au Vietnam, Tanizaki Yasuaki. Cette visite vise à renforcer les relations d'amitié, de coopération et de compréhension mutuelle, contribuant à la stabilité en Mer Orientale comme dans la région. Dans le cadre de cette visite, les officiers et marins irons saluer les responsables du Comité populaire de Hai Phong, du Commandement de la Marine ainsi que du Commandement de la 3e Zone militaire, avant de participer à diverses activités d'échanges. C'est la deuxième fois consécutive (2011-2012) qu'une flotille de navires de la Marine japonaise jette l'ancre au Vietnam, et la première fois à Hai Phong. Auparavant, en septembre 2011, une flotille de mouilleurs de mine de la force maritime d'autodéfense japonaise avait accosté au port de Dà Nang (Centre). Selon les prévisions, cette visite d'amitié prendra fin le 13 mars.
Les pays de la Mer de l'Est se préparent.
Le Japon veut exploiter le sous-sol maritime pour la terre rare.
la chine persiste dans ses manoeuvres d'annexion:
Le Vietnam demande à la Chine de respecter sa souveraineté et de cesser sans délai toute activité portant atteinte à sa souveraineté sur l'archipel de Hoang Sa (Paracels).
C'est ce qu'a déclaré jeudi le porte-parole du ministère vietnamien des Affaires étrangères Luong Thanh Nghi.
Ces derniers temps, la Chine continue en effet de mener des activités dans la zone de l'archipel de Hoang Sa.
Ainsi, la Compagnie nationale chinoise de pétrole en haute mer (CNOOC) a ouvert l'adjudication de l'exploitation de 19 lots au Nord de la Mer Orientale, dont celui 65/24 situé à seulement un nautique de l'île de Cay (Ile de l'Arbre) qui relève de l'archipel de Hoang Sa du Vietnam.
Le 2 mars 2012, la flotte de navires de garde No11 de la Chine a effectué un entraînement au tir dans la zone maritime de l'archipel de Hoang Sa. Le 7 mars 2012, lors de la 5e session de la Conférence consultative politique du peuple chinois (11e mandat), le directeur adjoint de l'Administration nationale du Tourisme de Chine a annoncé une coopération entre cette dernière et l'Administration de la province de Hainan en vue d'étendre le tourisme à l'archipel de Hoang Sa.
Le 12 mars, sur le "Forum nation puissante" du quotidien du Peuple en ligne, le vice-ministre de la Culture, directeur de l'Administration d'Etat de l'héritage culturel de la Chine, a déclaré que durant la 12e planification quinquennale, la Chine construira un centre archéologique au fond de la Mer Orientale ainsi qu'une station dans l'archipel de Hoang Sa, et que les autorités de Hainan organiseront le 28 mars 2012 la Coupe Si Nan, une régate entre San Ya et l'archipel de Hoang Sa...
Devant ces activités de la Chine, Luong Thanh Nghi a indiqué :
Les deux archipels de Hoang Sa et Truong Sa (Spratley) font partie intégrante et inséparable du territoire vietnamien. De tels actes dans la région de Hoang Sa porte gravement atteinte à la souveraineté du Vietnam sur ces deux archipels comme au droit international. Ils sont de même contraires à l'esprit de la Déclaration sur la conduite des parties en mer Orientale (DOC) signée en 2002 entre l'ASEAN et la Chine comme des conceptions communes arrêtées par les dirigeants de haut rang des deux pays, demeurant qu'ils vont à l'encontre du développement des relations d'amitié et de coopération entre les deux pays.
Le Vietnam exige de la partie chinoise qu'elle respecte sans conditions sa souveraineté et mette fin en conséquence à toutes activités de nature à y porter atteinte afin de contribuer effectivement au maintien de la paix comme de la stabilité en Mer Orientale, a-t-il conclu. -AVI
Avec ses 14 000 000 bagnoles de + par ans la Chine va entrer dans la guerre du pétrole sans merci
Pavillon noir et pas de taxe carbone !
PS) A propos, les pièces de berlines allemandes sont "made in China", alors les berlines "made in China", c'est quand tu veux !
Dernière modification par DédéHeo ; 16/03/2012 à 18h24.
Quand Menras dénonçait les manoeuvres chinoises pour s' accaparer les ressources sous_ marines de la mer du Sud Est asiatique dans la Marseillaise.
L’escalade militaire
27-06-2011
Pékin poursuit son projet d’annexion en mer du Sud-est asiatique afin de faire main basse sur ses ressources halieutiques. Au détriment des intérêts du peuple vietnamien.Des membres de la Marine chinoise à l'entraînement Photo DR
C’est en mai 2009, que la Chine présente pour la première fois à la communauté internationale, par une note diplomatique à l’ONU, ses prétentions souveraines en mer du Sud - est asiatique. Elle y expose son concept de la ligne en neuf traits ou « langue de bœuf » qui lape allègrement 80% de l’espace maritime et la quasi-totalité de l’espace insulaire. Elle la déclare sa « mer historique », faisant partie de son « espace territorial essentiel » pour lequel elle se déclare prête à engager le fer, comme pour le Tibet ou pour le Turkestan oriental (Xinjiang)…Pékin annonce ainsi sa décision de faire main basse sur les immenses ressources halieutiques et biologiques de cette mer, sur les gisements de pétrole et de gaz de ses tréfonds sous-marins et se place en position de verrouiller selon son bon vouloir ce passage hautement stratégique voire vital pour de très nombreux pays.
Le projet d’annexion ne date pas d’hier et les concepts et arguments historico-juridiques nébuleux ne sont qu’un habillage pour le vaste hold-up qui s’accélère dans cette région du monde.
Un peu d’Histoire
L’archipel des Paracels, que les Vietnamiens appellent Hoang Sa, a fait l’objet de deux assauts chinois. Le premier en 1946 à l’ occasion du désarmement de l’armée japonaise et l’absence des forces coloniales françaises. Le second en 1974, quand 74 vietnamiens ont trouvé la mort, lors du retrait des forces américaines. La totalité des îles et récifs de Hoang Sa est actuellement occupée, militarisée par la Chine et lui sert de nouvelle base pour interdire l’espace maritime environnant à la marine, à l’aviation et aux pêcheurs vietnamiens.
En 1988, une offensive surprise du même style que les précédentes a frappé cette fois plus au Sud, sur quelques rochers et récifs de l’archipel Spratlys, que les Vietnamiens appellent Truong Sa. 64 marins du Vietnam socialiste ont péri sous le feu chinois.
Depuis 2008, l’escalade militaire chinoise s’est accélérée. Les premières et principales victimes, plus d’un millier jusqu’ici, ont été les pêcheurs du centre Vietnam. Coulés de nuit par des bateaux fantômes, capturés par centaines sur leur terrain de pêche ancestral, détenus sur les îles qui leur ont été volées, tabassés sévèrement, libérés contre de ruineuses rançons, bateau , instruments et prises de pêche confisquées, ils continuent de coller à leur mer interdite car ils n’ont pas d’autre choix et qu’ils ont leur fierté. Dans le seul mois de mai dernier 5 chalutiers vietnamiens ont été dépouillés par les patrouilleurs chinois dans les parages des Paracels .J’ai rencontré il y un mois ces pêcheurs meurtris, héros ordinaires de cette guerre silencieuse. Je les ai filmés pour qu’on les voie et les entende (1). J’ai rencontré de très nombreuses veuves de disparus, tués par balles, engloutis au cours de tempêtes, les abris leur étant refusés par l’occupant, disparus mystérieusement par temps calme aux abord des îles occupées. J’ai filmé leurs témoignages, leur détresse, leur solitude. Il faut bien l’avouer : le terrorisme chinois commence à laisser des traces et la mer se vide peu à peu de chalutiers vietnamiens pour laisser le champ libre aux chalutiers chinois par dizaines, escortés par leurs vaisseaux de guerre. Ils viennent actuellement piller la mer à quelques miles nautiques des côtes vietnamiennes alors qu’ils ont unilatéralement interdit la pêche de juin à août… pour protéger l’environnement !
L’intox
La stratégie globale de Pékin s’appuie essentiellement sur la force économique chinoise du moment, aux Etats-Unis, en Europe et dans les pays de l’ASEAN(2), sur la capacité qui en découle pour acheter le silence où la parole. Leur force de pression, leurs lobbies sont considérables et sans qu’il y ait corruption, leur insistance peut amener des organismes intègres et sérieux à servir leurs desseins. Par exemple, il a fallu la protestation de bon nombre de lecteurs pour que la très respectable National Géographic Society rectifie une carte des Paracels qu’elle avait imprimée avec le nom chinois Xisha accompagné du mot China…En janvier 2011, Pékin a fourni à « Map World » sa carte « langue de bœuf » à fin de vulgarisation mondiale… Google Earth, moteur de recherche géographique en 3 dimensions, nous présente une zone fourmillant de caractères chinois, de menaces et même d’insultes en anglais contre le Vietnam.
L’opinion internationale est ciblée mais que dire de l’opinion en Chine ! Un contrôle total de l’information, une campagne de menaces, de dénigrement et de haine est soigneusement orchestrée contre le Vietnam, grain de sable majeur dans les rouages de l’expansionnisme. On prépare le peuple chinois à considérer que la guerre est envisageable, inévitable, souhaitable, juste, voire bénéfique... On traite le Vietnam d’ingrat, oubliant que c’est justement ses millions de morts qui ont fait rempart à l’impérialisme étranger à la porte sud de l’empire…
L’offensive semble imminente
En mars de cette année, les medias relataient l’incident du Reed bank au cours duquel deux patrouilleurs chinois ont menacé un bâtiment philippin qui réalisait des sondages sismiques dans la zone sous souveraineté de Manille, hors de la zone contestée de l’archipel Spratlys.
Auparavant, la Chine a aussi montré ses crocs dans les eaux malaysiennes et dans les eaux indonésiennes …
Le 26 mai 2011, trois navires de guerre chinois ont agressé le Binh Minh 02, bâtiment de la compagnie pétrolière nationale vietnamienne en mission d’exploration sismique à 120 miles nautiques des côtes vietnamiennes et 350 de l’île chinoise de Hai Nan. Ils ont saboté systématiquement son matériel et arraché les câbles sondeurs. Selon la Convention internationale de 1982 sur le droit à la mer (UNCLOS), ces navires chinois ne se trouvaient pas à l’intérieur d’une zone « disputée » mais bien profondément dans la zone « économique exclusive » du Vietnam telle qu’elle est définie par cette convention. (3)
Le 9 Juin 2011, les dirigeants chinois ont dépêché deux bâtiments militaires pour escorter un « chalutier » qui a saboté ouvertement le dispositif de sondage d’un autre navire de la même compagnie pétrolière vietnamienne, le Viking 2, à 100 miles nautiques à peine des côtes de cet Etat.
Par ces opérations cousues de fil blanc, casus belli grossiers, Pékin veut provoquer la réaction prétexte au déclenchement de l’offensive à laquelle il s’est depuis longtemps préparé.
Tango du dollar et du yuan sur fond
de souffrance vietnamienne
Depuis quelque temps on entend de façon plus nette la voix des USA. Ils affirment qu’ils restent encore la puissance majeure du Pacifique. Ils évoquent la Convention de l’ONU sur le droit à la mer comme seule base de règlement multilatéral des conflits de souveraineté. Point de vue aux antipodes de la position chinoise qui n'accepte que discussions de couloir et d'état majors bipartites. Mais, en même temps, Washington se déclare neutre. Ce qui signifie concrètement que la raison du plus fort, celle de Pékin, a la voie libre pour mener à bien les nouvelles annexions. Seule exigence US : laissez-nous une voie de passage.
Depuis longtemps déjà le Vietnam a fait les frais de ce tango du dollar et du yuan. Pendant la guerre, en 1974, la 7ème flotte US était là, tout près, à portée de canon, quand ses « protégés » vietnamiens se faisaient massacrer à Hoang Sa. Elle n’a pas bougé aux appels au secours.
Le peuple vietnamien, le dos au mur, est excédé, prêt à se défendre une nouvelle fois. Il y a deux semaines, j’ai participé, à Saigon à la première manifestation populaire contre les récentes agressions chinoises. J’y ai retrouvé mes amis anciens étudiants avec lesquels j’étais emprisonné sous la dictature pro-américaine pour avoir réclamé l'indépendance et la liberté du peuple vietnamien. Il y avait aussi beaucoup de jeunes, des familles, des personnalités. La semaine dernière, une nouvelle manifestation a eu lieu à Saigon et à Ha Noi. Des jeunes y brandissaient le portrait du général Giap, légende vivante de la résistance à l’agression. Le pouvoir a dû laisser la manifestation se dérouler malgré les menaces de foudre chinoise.
Il y a quelques jours à peine, le Président de la République, M. Nguyen Minh Triet et le Premier ministre ont tout deux affirmé : « Le peuple du Vietnam, le Vietnam, a assez de volonté, de coeur et de force pour se rassembler, conserver et protéger son espace maritime et insulaire . »
Le lundi 13 juin, pour la première fois après de longues années de patient silence et d’humiliation contenue, la marine de guerre vietnamienne a procédé à des exercices à tir réel au large des côtes du centre Vietnam. Question de survie.
ANDRE MENRAS,
CITOYEN FRANÇAIS ET VIETNAMIEN
Ils sont malins, les Chinois
La Volvo Ocean Race a commencée à Alicante en Espagne, fin octobre 2011 et se terminera à Galway, Irlande, mi 2012.
Les ports d'escale sont Cape Town (Afrique du Sud), Abou Dhabi (Emirats Arabes Unis), Sanya (Chine), Auckland (Nouvelle-Zélande), Itajai (Brésil), Miami (USA), Lisbonne (Portugal) et de Lorient (France).
Le bateau chinois
Volvo Ocean Race | David Branigan - Oceansport
Si si, dans l'équipe chinoise il y a des Chinois et même une femme (la blonde)
C'est une course de bateau très cher :
Les VO70, coursiers océaniques - Le Journal du Pays Basque
Les 6 équipes :Les VO70, coursiers océaniques
18/02/2012
Les VO70, ou Volvo Open 70, dont six exemplaires devraient quitter demain Sanya (Chine) pour Auckland (Nouvelle-Zélande), terme de la 4e étape de la Volvo Ocean Race, sont les monocoques de course au large les plus sophistiqués jamais conçus. Les organisateurs de la course n’excluaient pas hier de repousser de quelques jours le départ pour Auckland en raison de vents violents et d’une mer énorme dans le sud de la mer de Chine.
Fruit des travaux de quelques-uns des plus prestigieux architectes navals au monde – le Franco-Argentin Juan Kouyoumdjian (3), l’Etats-Unien Bruce Farr (2) et l’Espagnol Marcelino Botin (1) –, en bassin pour les carènes comme en soufflerie pour le gréement et les voiles, les VO70 sont des voiliers extraordinairement puissants, rapides, marins et inconfortables.
Capables de surfer à 40 nœuds (72 km/heure) dans la longue houle des mers du sud, une vitesse que seuls de rares multicoques pouvaient atteindre il y a seulement une dizaine d’années, les VO70 (pour 70 pieds) mesurent 21,50 mètres de long, sont larges de 5,50 à 5,70 mètres et déplacent environ 14 tonnes. Avec un tirant d’eau de 4,50 mètres et un voile de quille supportant un bulbe en forme de torpille de quelque 7,5 tonnes, ces grands voiliers de course au large sont construits en carbone, comme leur gréement. Ils peuvent porter jusqu’à 675 mètres carrés de voile au portant (375 m2 au près, contre le vent).
Pour cette 11e édition de la Volvo Ocean Race, chaque bateau dispose d’un total de 17 voiles, dont seulement huit à bord lors de chaque manche. Les équipages de ces coursiers océaniques – onze personnes, skippeur et “media man” (chargé de la communication) inclus – rassemblent tout simplement les meilleurs marins au long cours de la planète.
Tous ces bateaux ont en commun d’être très bruyants et humides. Simples tubes de carbone, le plus souvent très sombres, les intérieurs des VO70 sont dépourvus de tout confort : les bannettes (couchettes) sont des cadres métalliques qui se replient sur les flancs de la “cabine” et que les équipiers se partagent au gré des quarts. La cuisine se compose d’un simple réchaud monté au cardan et les toilettes sont, disons, rudimentaires. Pas d’aliments frais à bord, uniquement des plats lyophilisés, avalés à la va-vite sur les genoux lorsque le pont n’est pas balayé par les vagues.
Iker Martínez égale Peter Blake
En remportant la troisième étape de cette Volvo Ocean il y a dix jours à Sanyan, le navigateur basque Iker Martínez et son bateau Telefonica sont entrés dans la légende de la Volvo Ocean Race en signant une 3e victoire d’affilée dans cette course autour du monde en équipage avec escales, rejoignant ainsi le Néo-Zélandais Peter Blake. Telefonica a ainsi ce jour-là conforté sa place en tête du classement général. Avant Telefonica, le dernier bateau à avoir gagné trois étapes consécutives de la Volvo Ocean Race (ou de la Whibread Round The World Race, comme elle s’appelait autrefois) était Steinlager 2 dans l’édition 1989-1990. Le grand ketch rouge néo-zélandais était dirigé par Peter Blake (décédé en décembre 2001), qui avait également remporté la course au classement général. “Nous sommes très heureux, c’est un rêve”, déclarait le jour de l’arrivée Martínez. “On rêve toujours d’une course comme celle-ci. J’espère simplement que tout va continuer à aller aussi bien”.
Abu Dhabi Ocean Racing :
Ian Walker, GBR - Barreur
Justin Slattery, IRL – Équipier d’avant
Wade Morgan, AUS – Grinder / plage avant
Adil Khalid, EAU – Grinder / Assistant piano
Craig Satterthwaite, NZL – Piano
Justin Ferris, NZL – Régleur 1
Simon Fisher, GBR – Régleur 2
Paul Willcox, RSA – Grand-voile (remplace Andrew Lewis)
Rob Greenhalgh, GBR – Grand-voile
Jules Salter, GBR - Navigateur
Nick Dana, USA – Équipier média
CAMPER with Emirates Team New Zealand :
Chris Nicholson, AUS - Skipper
Tony Rae, NZL – Régleur de GV
Will Oxley, AUS - Navigateur
Robert Salthouse, NZL – Régleur de près
Roberto Bermudez, ESP – Runners
Stu Bannatyne, NZL – Tacticien
Andrew McLean, NZL – Piano
Daryl Wislang, NZL – Équipier d’avant
Mike Pammenter, RSA – Plage avant
Adam Minoprio, NZL – Régleur de portant
Hamish Hooper, NZL - Équipier média
Groupama sailing team :
Franck Cammas, FRA - Skipper
Jean-Luc Nélias, FRA - Navigateur
Charles Caudrelier, FRA
Martin Stromberg, SUE
Martin Krite, SUE
Brad Marsh, NZL
Erwan Israel, FRA
Damian Foxall, IRL
Thomas Coville, FRA
Phil Harmer, AUS
Yann Riou, FRA - Équipier média
PUMA Ocean Racing powered by BERG :
Ken Read, USA – Skipper / barreur
Tom Addis, AUS - Navigateur
Kelvin Harrap, NZL - Tacticien
Brad Jackson, NZL – Grand-voile
Tony Mutter, NZL – Régleur
Ryan Godfrey, AUS - Piano
Rome Kirby, USA – Grinder de GV
Jono Swain, USA – Régleur
Michi Mueller, GER – Mât
Casey Smith, AUS – Plage avant
Amory Ross, USA - Équipier média
Team Sanya :
Mike Sanderson, NZL – Skipper / barreur
Aksel Magdahl, NOR – Navigateur
Cameron Dunn, NZL – Tacticien
David Rolfe, NZL – Régleur de GV
Richard Mason, NZL – Piano
Ryan Houston, NZL – Régleur
David Swete, NZL – Grinder
Bert Schandevyl, BEL – Plage avant
Teng Jiang He, CHN – Grinder
Jared Henderson, NZL – Numéro un
Andres Soriano, ESP – Équipier média
Team Telefónica :
Iker Martínez, ESP - Skipper
Andrew Cape, AUS - Navigateur
Jordi Calafat, ESP – Régleur / barreur
Pepe Ribes, ESP - Boat captain
Zane Gills, AUS – Équipier d’avant
Antonio Cuervas-Mons, ESP - Équipier d’avant
Xabi Fernández, ESP – Régleur
Pablo Arrarte, ESP – Régleur
Jaoa Signorini, BRA – Chef de quart
Neal McDonald, GBR – Chef de quart
Diego Fructuoso, ESP - Équipier média
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Dernière modification par DédéHeo ; 19/03/2012 à 16h14.
Le bateau français GROUPAMA
2 février 2012
L'étape 3 (Abou Dhabi (Emirats Arabes Unis) - Sanya (Chine)) :
"24 heures de virements dans le gros temps le long du Vietnam. Une journée éreintante pour Telefónica et Groupama, qui se collent à dix milles. Une journée faste pour CAMPER, qui revient dangereusement sur eux. Une journée amère pour PUMA, dont l’option à l’est périclite. Une journée au bout du rouleau, à 500 milles de l’arrivée.
Team Telefonica, Xabi Fernandez and Andrew Cape during leg 3 of the Volvo Ocean Race 2011-12, from Abu Dhabi, UAE to Sanya, China. Diego Fructuoso/Team Telefonica/Volvo Ocean Race PUMA Ocean Racing powered by BERG, Bowmen Casey Smith and Michi Mueller share a seat on the sail stack during leg 3 of the Volvo Ocean Race 2011-12, from Abu Dhabi, UAE to Sanya, China. Amory Ross/PUMA Ocean Racing/Volvo Ocean Race Groupama Sailing Team, Brad Marsh and Thomas Coville during leg 3 of the Volvo Ocean Race 2011-12, from Abu Dhabi, UAE to Sanya, China. Yann Riou/Groupama Sailing Team/Volvo Ocean Race Abu Dhabi Ocean Racing, Justin Slattery at the mast during leg 3 of the Volvo Ocean Race 2011-12, from Abu Dhabi, UAE to Sanya, China. Nick Dana/Abu Dhabi Ocean Racing/Volvo Ocean Race Team Sanya, Jared Henderson during leg 3 of the Volvo Ocean Race 2011-12, from Abu Dhabi, UAE to Sanya, China. Andrés Soriano/Team Sanya/Volvo Ocean Race
"C’est une des situations tactiques les plus bizarres que j’ai jamais vue."
20 à 30 virements ! C’est le programme du jour pour les quatre premiers bateaux, Telefónica, Groupama, CAMPER et Abu Dhabi, partis à la côte.
À moins de 10 milles du littoral vietnamien, ils se protègent du courant et progressent au près dans 25 à 30 nœuds de nord-est-est et trois à cinq mètres de vagues hachées.
Et l’absence de sommeil, et l’inconfort extrême, ne changent rien à l’engagement des équipages. À l’exception de PUMA, parti au vent, et de Sanya, 229 milles derrière, ils tirent tous des bords en attendant de repartir plus au large grâce à une rotation du vent à gauche.
« C’est une des situations tactiques les plus bizarres que j’ai jamais vue, » commente Chris Nicholson, skipper de CAMPER. « Normalement, on joue avec des bascules bien précises mais, ici, ce sont des bascules progressives basées sur la géographie du Vietnam. S’y ajoutent le courant et les filets de pêche. Un terrain miné pour essayer d’y trouver sa voie. »
(***)
« Notre mouvement vers l’est était prometteur, » développe Read, « jusqu’à ce qu’on ait un refus inattendu qui nous ramène vers le Vietnam. Sans lui, on serait bien placés, mais ce refus nous renvoie assez rapidement dans les cinq. L’humeur du bord est sombre … On espère que ce ne sera qu’une complication mais chaque minute nous coûte des milles. »
Avec Telefónica à 429 milles de l’arrivée à Sanya, sur l’île chinoise de Hainan, les premiers bateaux sont attendus le 4 février entre 08 et 14h heure locale."
Volvo Ocean Race : Vietnam en vue - Voile - ouest-france.fr
Volvo Ocean Race : Vietnam en vue
Voile jeudi 02 février 2012
Telefonica toujours en tête
Les quatre premiers voiliers de la Volvo Ocean Race, menés par le bateau espagnol Telefonica, leader du classement général, enchaînaient les virements de bord le long des côtes vietnamiennes ce soir vers Sanya (Chine), terme de la 3e étape de la course.
Telefonica, skippé par Iker Martinez, était suivi par Groupama 4 (Franck Cammas), Camper (Chris Nicholson) et Puma (Ken Read). Le voilier américain avait recollé au trio de tête après une option malheureuse dans l'est. Abu Dhabi (UAE/Ian Walker) n'était pas loin derrière mais Sanya /Mike Sanderson) était décroché et pointait à 212 milles derrière Telefonica.
A moins de 10 milles du littoral vietnamien, les quatre premiers bateaux rencontraient des conditions de navigation difficiles, avec du vent sur le nez et une mer très abrupte. Les voiliers souffraient et leurs équipages aussi, la vie à bord étant très inconfortable.
Ce sont les "montagnes russes", a confié l'équipier média de Telefonica Diego Fructuoso. "Nous avons près de 30 noeuds de vent, a-t-il dit. Prendre un petit déjeuner sans en mettre la moitié par terre est une mission impossible. Idem pour dormir ou aller aux toilettes..."
"Il fait chaud, c'est humide et extrêmement violent à l'intérieur", a renchéri Amory Ross, son homologue à bord de Puma.
Les équipages des VO70, des monocoques de 21,50 m tout carbone, ménagent leurs montures, veillant notamment à ne pas retomber trop brutalement derrière des crêtes de vagues très escarpées. Pour compliquer encore un peu plus les choses, les équipages doivent veiller aux filets de pêche, chalutiers et autres embarcations pas toujours éclairées la nuit.
A 17h00 heure, Telefonica se trouvait encore à quelque 412 milles (environ 750 km) de Sanya. L'ensemble de la flotte progressait à 11-12 noeuds.
Positions à 17h00 heures
1. Telefonica (Iker Martinez) à 412,6 milles de l'arrivée
2. Groupama 4 Franck Cammas) à 10,8 milles du premier
3. Camper (Chris Nicholson) à 18
4. Puma (Ken Read) à 27,1
5. Abu Dhabi (Ian Walker) à 28,9
6. Sanya (Mike Sanderson) à 212,4
Dernière modification par DédéHeo ; 19/03/2012 à 17h00.
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