je pense notament a la façon de traité les investiseurs étranger,
et la façon dont la thailande les décourages avec des méthode digne de la mafia(il a qu'a voir le millieu de la nuit qui est tenu par deviné qui en thailande, et les condition pour resté en thailande a l'anné qui change tous les mois). m'enfin bon les étrangers iront dépensé leur argent ailleur , au vietnam par exemple
Je crois que je me suis mal exprimé et/ou qu'on m'a mal compris.
Moi non plus, je ne suis pas né au Vietnam et je n'y ai vécu que quelques mois chaque année entre 1991 et 1996 puis y ai fait un bref séjour en avril-mai 2007.
Je ne conteste pas que les villages se modernisent, que les vietnamiens mangent mieux .
Ce que j'écris c'est que si le pays Vietnam s'enrichit, les vietnamiens, dans leur ensemble, s'appauvrissent, eux;
le niveau de vie s'est très certainement élevé mais beaucoup moins que le coût de la vie;
nous pouvons, d'ailleurs,faire un // avec la situation en France depuis le passage à l'€; les prix ont flambé mais les salaires sont restés quasiment aux niveaux qu'ils avaient en 2001;
la classe ouvrière française ainsi que ce qu'on appelle la "petite bourgeoise" s'appauvrit;
de plus en plus de français n'ont plus les moyens de se payer une mutuelle complémentaire par ex.
Au Vietnam, nous n'en sommes pas encore à savoir si on pourra se payer une mutuelle; ce n'était qu'un exemple pour étayer mes propos.
Non, pas du tout. Deux phénomène opposés ont le même effet :
1 la récession en France dont l'une des causes est les 35h entraine une baisse de la productivité. Ce qui entraine des délocalisations d'où une seconde baisse de productivité globale ; en incorporant les chômeurs. Or produire plus cher entraine la hausse des prix sans hausses de salaire.
2 Au Vietnam la croissance qui est même plus élevée que les chiffres officiels est accompagnée d'une hausse de la productivité et entraine une forte hausse des revenus. Les salaires semblent parfois ne pas augmenter mais en réalité, les gens ont changé de métier et ont été remplacé par des migrants de l'exode rural et des jeunes issu de la croissance démographique (ils étaient nés avant les restriction des naissances)
Une des 2 hausses des prix est bonne car c'est le seul moyen d'avoir des salaires plus justes et l'autre est mauvais signe : La France s'appauvrit.
ceci n'est pas une pipe
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Heu c'est quand même très très vite dit!!!
-1°: la meillleure productivité est obtenue actuellement par la Chine - et certains pays asiatiques qui imitent la Chine et n'hésitent pas à faire travailler des gamins et à traiter des adultes en esclaves...
. Cà c'est de la "productivité rentable".. Mais un modèle hors Déclaration des Droits de l'Homme, bien sûr .. et même très loin des idéaux communistes chers à l'Oncle Hô
. Ramenée à la productivité horaire, la France est au 3 ème rang (çà vient de sortir!!!)..
Donc, en fait le tout est de "bouffer les mêmes rillettes et de partager les mêmes valeurs dans le domaine de l'argent !!!!!"
-2°: "Vietnam : paradis sur terre"!!! Je veux bien mais çà se saurait.!!!!.
. Pays communiste brûlant les étapes pour adopter " l'ultra-libéralisme thatchérien": y a pas de miracle..
Certains s'enrichissent à toute vitesse .. beaucoup plus vite que l'immense majorité des Vietnamiens.. CQFD : les écarts de richesse deviennent énormes au Vietnam.
Et c'est très dommage... pour l'oncle Hô.... qui a quand même laissé à ses Héritiers "un appareil Etatique et militaire très très puissant", détourné de sa vocation première.. à savoir l'indépendance du Pays et l'amélioaration de vie de son "petit peuple.."
Je pense honnêtement qu'il ne doit pas reposer en paix!!!
Oui le Vietnam s'enrichit mais avec des écarts de richesse beaucoup trop conséquents..
J'ai beaucoup d'admiration pour l'Oncle Hô... qui lui même avait beaucoup d'admiration pour la Révolution française... et sa nuit du 4 Août!!!
Là, je suis tout à fait d'accord avec toi, et si tu permets, je le complète en ajoutant ce que tu aurais peut-être oublié : "créant ainsi des phénomène inquiétantes comme par exemple, prostitution, drogue, dépression et même suicide".
Comme dans mon cas : Au début des années 90, je voulais acheter un 3 pièce dont le prix affiché était 300,000 francs, mais puisque mes papiers n'étant pas en règle, j'étais donc obligé de renoncer à cet achat en faveur d'un autre acheteur qui en profitait pour faire baisser un peu le prix. Il n'y a pas si longtemps, le mec m'a annoncé qu'il venait de vendre cet appart au prix de 310,000 euros. Imaginez, à l'époque où cet appart coûtait 300,000, mon salaire était à 8000 Fr. et maintenant ce même appart a été revendu à un prix de 310,000 euros, mais mon salaire net ne dépasse même pas 1500 euros. Voyez-vous qu'il y a un grand déséquilibre entre le revenu et le coût de la vie ?
Bon courage à tous. :kimouss:
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
Alors que la Chine fait baisser le standard social mondial, je n'ai jamais entendu un ouvrier vietnamien s'en plaindre. Ils admirent
Ben oui ça fait 20 ans d'ultra-libéralisme. Par exemple on ne paye pas d'impôt sur les plus values car elle sont même pas déclarées ops: Le charbon et l'essence subventionnés profite aux riches surtout. L'électricité étant l'exception : il y a un tarif progressif qui aide les pauvres.Pays communiste brûlant les étapes pour adopter " l'ultra-libéralisme thatchérien": y a pas de miracle..
Personne n'a eu une vie plus dure que cet homme là : Défenseur de la cause juste de la décolonisation, il a sacrifié toute sa vie pour son pays et à sa mort l'a laissé en guerre et partiellement occupé.Et c'est très dommage... pour l'oncle Hô.... qui a quand même laissé à ses Héritiers "un appareil Etatique et militaire très très puissant"
Les Vietnamiens s'enrichissent mais les classes moyennes et les riches s'enrichissent plus vite.
En Europe, il me semble que pauvres et classes moyenne s'appauvrissent.
ceci n'est pas une pipe
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Donc je ne me suis pas trompé... !!!
En Asie du Sud-Est:
- on critique les méfaits du Colonialisme des XIX et XXe siècles
- et on "admire" les bienfaits du grand frère Chinois au XXIe siècle, tout en pouvant constater "de visu" les retombées de son Néo-Colonialisme sur cette région du Monde:
cf l'article récent qui suit:
La Chine, nouveau prédateur en Asie du Sud-Est
LE MONDE | 03.09.07 | 15h27 • Mis à jour le 03.09.07 | 15h27
BANGKOK CORRESPONDANT
uand, en juin, les premières fumées de l'année parvinrent à Singapour, les quotidiens de la ville-Etat titrèrent : "La saison du nuage (the haze) est de retour". A plusieurs reprises, un immense nuage gris a obscurci le ciel pendant tout l'été entre l'île de Bornéo et le sud de la péninsule malaise. La fumée provient de l'incendie des fûts laissés debout lors des coupes de pans entiers de forêt à Bornéo, à plus de 1 000 kilomètres à l'est de Singapour, ainsi qu'à Sumatra. La mise à feu des restes de clairière permet aux populations semi-nomades de pratiquer la culture sur brûlis, et la fabrication, destinée à la vente, de charbon de bois.
Si la surexploitation des forêts tropicales ne date pas d'hier en Asie du Sud-Est, le facteur nouveau, provoquant une visible accélération du processus, est l'émergence de la Chine. La section chinoise de Greenpeace a affirmé en avril que ce pays était, de loin, le plus gros importateur au monde de merbau, un bois précieux qui ne se trouve plus aujourd'hui que dans l'île de Nouvelle Guinée, partagée entre l'Indonésie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée. La plus grande partie de l'importation du merbau se fait illégalement, avec de fausses écritures en douanes indonésiennes ou malaisiennes.
Essence de luxe, le merbau semble en voie de totale disparition. Son prix brut en Chine a presque triplé en trois ans. Ce bois, utilisé notamment en parquet et en mobilier, est manufacturé en Chine avant d'être réexporté presque entièrement vers de grands distributeurs.
Certains groupes de défense de l'environnement estiment que l'Indonésie perd chaque année l'équivalent de la surface de la Belgique en forêt tropicale, essentiellement de façon illégale, et pour la majeure partie au profit de la menuiserie industrielle chinoise. Les coupes sauvages privent Djakarta d'un revenu de 4 milliards de dollars par an.
En outre, après la Malaisie, qui a connu ce phénomène dans les années 1980, l'Indonésie est en proie à la "fièvre de l'huile de palmier". Les perspectives que celle-ci offre en matière de biocarburant et autres dérivés ont conduit à transformer des pans entiers de forêt en plantations de palmiers, y rendant irréversible la déforestation.
La police et les douanes indonésiennes ont beau réussir régulièrement des saisies spectaculaires, les Nations unies ont évoqué, début 2007, la possibilité que la totalité des terres basses des îles indonésiennes de Bornéo et de Sumatra soit privée d'arbres d'ici à 2022.
En Birmanie, les exportations légales d'essences tropicales représentent 427 millions de dollars par an, soit 15 % du total des exportations du pays. Mais, selon Global Witness, les exportations illégales s'élèvent à 300 millions de dollars annuellement, dont 95 % à destination de la Chine. La totalité de la zone frontalière sino-birmane est désormais glabre, et les exploitants de tout poil s'enfoncent plus avant en territoire birman.
Francis Deron
Article paru dans l'édition du 04.09.07.
ou si vous préférez celui-là:
Reportage
Les pillards de la forêt cambodgienne
LE MONDE | 03.09.07 | 15h27 • Mis à jour le 03.09.07 | 15h27
KRATIE (CAMBODGE) ENVOYÉ SPÉCIAL
e Kratie, sur la rive orientale du Mékong, dans le centre du Cambodge, une magnifique route file vers le nord en direction de la frontière laotienne. Elle l'atteindra, sur l'autre rive, une fois achevé un nouveau pont franchissant le fleuve. C'est "la route chinoise", construite depuis plusieurs années par les ingénieurs civils de la République populaire. Quelque 1 000 kilomètres plus au nord, l'ouvrage rejoindra le réseau de routes réalisé par Pékin, depuis la fin du XXe siècle, au Laos septentrional, pour finalement atteindre la frontière de la province chinoise du Yunnan.
C'est, de loin, la voie de communication la plus moderne du Cambodge et du Sud laotien. Un outil idéal de désenclavement pour les échanges terrestres avec le sud de la Chine et, pour celle-ci, un accès routier direct au port cambodgien de Kompong Som (Sihanoukville), sur le golfe de Siam.
Mais, pour l'heure, les premiers utilisateurs de cet axe n'ont guère en tête le développement de cette contrée déshéritée, qui vit principalement des ressources du Mékong, modérément navigable en cette partie de son cours. Ce sont surtout les prédateurs de la forêt tropicale qui se sont installés. Des centaines de cahutes de bambou sur pilotis sont apparues sur les bas-côtés. Elles abritent des hommes armés d'instruments de coupe de bois et leurs familles. Un peu plus loin, on les voit recevoir les instructions de leurs employeurs. Objectif : organiser des campagnes de déforestation plus ou moins légales et bien éloignées des promesses faites à la communauté internationale par le gouvernement en vue de préserver la forêt tropicale.
En juin, l'ONG Global Witness, basée en Grande-Bretagne, a produit un rapport accablant, de près de 100 pages, principalement consacré aux pratiques en matière d'exploitation de la rente forestière par les réseaux affairistes entourant le premier ministre, Hun Sen, l'homme fort du royaume. Intitulé ironiquement "Les arbres généalogiques du Cambodge", le rapport met en cause plusieurs proches de M. Hun Sen : son épouse Bun Rany ; un cousin Dy Chouch (dit Hun Chouch) ; divers membres de la parentèle, couples amis, relations d'affaires... et le ministre de l'agriculture et des forêts, Chan Sarun.
Global Witness avait été autorisée, par le gouvernement, à ouvrir une représentation au Cambodge afin d'officier en qualité d'observateur indépendant, sur le terrain, des efforts consentis en 1999 par M. Hun Sen, sous la pression des instances internationales, en vue de mettre de l'ordre dans cette activité lucrative.
"Au vu de la détérioration de la situation au plan de sa sécurité, (l'ONG) a fermé son bureau de Phnom Penh en septembre 2005." Les informations du rapport recueillies par ses employés et volontaires expliquent cette mesure : c'est une fresque noire où s'accumulent pratiques de népotisme, attributions illégales de droits, intimidations musclées, enlèvements physiques de rivaux, assassinats d'agents d'ONG. Le tout forme un faisceau convergeant vers une cabale de "barons du bois", occupés à piller l'une des dernières réserves d'essences tropicales précieuses.
La rapidité du phénomène est frappante. Selon la FAO, le Cambodge aurait perdu 30 % de sa forêt primaire entre 2000 et 2005. La surface boisée totale du pays, selon des experts cités par d'autres sources, serait passée de 75 % dans les années 1980 à moins de 50 %. Faux, réplique M. Hun Sen : elle était, dit-il, de 58 % en 1997 et était déjà remontée à 61 % en 2002. Le premier ministre y voit le résultat de sa politique ayant permis de mettre fin à l'insurrection des Khmers rouges, au pouvoir de 1975 à 1979, eux-mêmes grands prédateurs forestiers - mais aux moyens réduits. Comme en d'autres pays, la forêt tropicale cambodgienne, temple de biodiversité, a nourri le cycle guerre- contrôle des ressources-guerre...
Aujourd'hui, les choses sont plus institutionnalisées. En deux décennies, des compagnies aussi puissantes qu'opaques - Cherndar Plywood, Mien Ly Heng, Kingwood Industry, Everbright CIG Wood - ont mis la main sur les exclusivités d'exploitation. Elles associent souvent des acteurs locaux aux intérêts d'affaires régionaux : Singapour, Indonésie, Taïwan, et, nouvelle venue, la Chine populaire. De temps à autre, l'une est énergiquement persuadée de céder ses intérêts à une nouvelle firme montante. Lia Chun Hua en a notamment fait les frais. D'origine chinoise, l'ex-directeur exécutif de Kingwood, est retenu en otage, depuis août 2002, au siège de sa compagnie, à une vingtaine de kilomètres au nord de Phnom Penh. Il serait toujours en vie après avoir signé tous les papiers cédant les avoirs de la firme à Seng Keang, ex-épouse du cousin de M. Hun Sen et amie de la femme du premier ministre...
Les volumes débités peuvent être considérables. En mai 2004, selon l'ONG, le ministère de l'agriculture a ainsi commandé à un exploitant de Taïwan une quantité de fûts d'arbres précieux permettant de recouvrir l'équivalent de 1 580 courts de tennis. Ce bois était destiné à fabriquer le mobilier et décorer la nouvelle Assemblée nationale.
Des schémas gouvernementaux sont montés de toutes pièces, hors du contrôle du Parlement, pour asseoir le système, selon Global Witness. Une plantation d'hévéas de Tumring a été inaugurée en fanfare, en 2001, au coeur de la forêt de Prey Long, au centre nord du pays, la plus vaste forêt d'essences à feuilles persistantes en basses terres d'Asie du Sud-Est. Six ans plus tard, la "plantation" n'a pas produit une goutte de résine de caoutchouc mais la forêt est très entamée. Pourtant, M. Hun Sen avait assuré à la population conviée à la cérémonie d'ouverture : "Jamais je ne vous escroquerai !" En 2006, l'exploitant principal, la Colexim (associée à une firme Okada, du Japon) et le gouvernement préparaient des plans pour de "nouvelles plantations d'hévéas" dans le secteur.
Sur environ 5 000 km², Prey Long est à la fois un vaste réservoir de biodiversité et un régulateur hydraulique important à proximité de l'immense lac Tonle Sap, poumon écologique et économique du Cambodge. Selon des experts de la Banque mondiale, le taux d'exploitation de la forêt cambodgienne est plus de cinq fois supérieur à celui qu'elle peut supporter.
En aval des coupes légales ou sauvages, tout un échafaudage de prestations (transformation partielle, transports, export) s'est monté, souvent à l'aide de sous-traitants. Au coeur de ce dispositif, selon Global Witness et d'autres sources indépendantes, la Brigade 70, une unité militaire inféodée à M. Hun Sen, qui loue à bon prix ses camions pour les transports illicites, entre autres services. Un "syndicat criminel multi-activités", affirme l'ONG.
En juin, le rapport a fait une victime collatérale. Pour en avoir publié des extraits, le quotidien Cambodge Soir a été fermé. C'était le seul quotidien d'informations générales financé par la francophonie dans la région.
Francis Deron
Article paru dans l'édition du 04.09.07.
Passionnant tout çà..(y compris le dernier alinéa du 2ème article de presse!!!) et réjouissant pour les générations futures de ces pays de l'Asie du sud-Est !!!
Le Vietnam majore le salaire minimum à partir de janvier prochain
Le gouvernement vietnamien prévoit de rajuster à la hausse le salaire minimum des employés du secteur public de 450.000 dôngs à 540.000 dôngs/mois à compter du 1er janvier 2008, a annoncé lundi devant l'Assemblée nationale le Premier ministre Nguyên Tân Dung.
Le gouvernement a cependant demandé de poursuivre les mesures destinées à gonfler la caisse nationale des salaires, d'appliquer systématiquement la Loi sur la pratique d'épargne et la lutte contre la gabegie, afin que ce rajustement ne soit pas une cause de l'inflation.
Cette mesure est soutenue par la Commission financière et budgétaire de l'Assemblée nationale qui a également approuvé l'augmentation par le budget de l'Etat de dépenses de 28.400 milliards de dôngs pour l'exécution de la réforme salariale en 2008.
Dans son rapport présenté aux députés, la commission a encore donné son accord à la majoration des indemnités salariales pour les cadres et fonctionnaires administratifs de tous les échelons, et recommandé d'accélérer les réformes administratives.
Lundi, le ministère du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales a soumis au gouvernement un projet selon lequel le salaire minimum augmentera depuis le 1er janvier 2008 de 20 % à 38 % dans les entreprises domestiques, et de 13 % à 15 % dans celles à investissement direct étranger.
Source : AVI - 23/10/2007
C'est mieux que rien mais pas assez suffisant..allez encore un petit effort..
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