La peur de l'uniforme, confisque leurs véhicules, qu'ils rentrent à pieds et passe au poste pour payer l'amende, tu verra si les comportement n'évolue pas; A Camau, les conducteurs s'arrete tous au feu rouge, ils n'aiment pas trop la marche forcé. Pour le permis de conduire, bientot tous le monde devra l'avoir, car rouler sans maitriser son véhicule vous etes un danger pour vous comme pour les autres...n'est ce pas Benp;D
Choco BN, pour votre phrase Loyd 342 a bien répondu, avec l'age cela risque de s'aggraver, dommage vous avez l'air d'etre quelqu'un de cultivé, comme quoi parfois la culture n'est pas suffisant pour etre à l'abris de la vulgarité
Dans le fond, tu as un peu raison, Bao Nhan... Mais c'est vrai que cette fois-la, tu as peut-etre ete un petit peu trop loin...
Si les flics font leur boulot et arretent de boire de la biere, on pourra peut-etre enregistrer un changement dans les comportements... J'attends de voir... Meme un vietnamien peut comprendre qu'il vaut mieux mettre 50 000 vnd dans un bon casque que de payer 150 000 vnd d'amende tous les deux mois... Encore que... La conduite sans casque est tellement ancree dans leur esprits, comme le souligne Mike a juste titre...
Sois heureux en rendant les gens heureux !
Ne fais jamais aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse...
Et, histoire d'en rajouter une couche et d'insister sur l'interet du casque, je rappelle ce qui m'est arrive, il y a deux mois...
J'ai conduit pendant une semaine sans casque... Je suis prudent, meme si je ne savais pas encore conduire, donc je pensais que cela irait...
Je comptais quand meme m'acheter un casque sous peu...
Un dimanche, alors que je rentrais avec mes courses (je voulais les ramener a la maison, puis m'acheter enfin ce fameux casque !), je me suis fais rentrer dedans par un vietnamien qui avait grille son feu rouge.
Vu que j'etais quasiment a l'arret, j'ai pris le choc de plein fouet ! J'ai valdingue comme une merde au-dessus de ma Jolly Jumper (dans ces cas-la, cela ne sert a rien d'etre baraque, muscle etc...).
Le mec s'est barre...
Moi, j'ai delire tout le reste de cette journee, avec le bras droit bloque, le pied gauche de la taille d'une patte d'elephant, et un traumatisme cranien...
J'ai encore la cicatrice, et je vous jure que j'ai eu du bol...
Souvenez-vous surtout, j'ai deja pas mal insiste dessus, que meme si vous conduisez bien et etes prudent, VOUS N'ETES JAMAIS A L'ABRI D'UN CONDUCTEUR MALADE QUI FERA PRESQUE EXPRES DE VOUS RENTRER DEDANS !
Le danger, c'est les autres...
Et meme sur les routes sures... J'ai eu plusieurs accrochages (sans gravite, mais les accrochages sont la norme, au Vietnam...) tout pres de chez moi, parce que les autres conducteurs veulent toujours aller plus vite, depasser quand ils ne le peuvent pas, griller tout le code de la route...et provoqier des accidents...
Mettez un casque, cela n'arrive pas qu'aux autres... Et un accident peut etre grave meme a 30 km/h (meme a l'arret, vous avez bien vu...).
C'est pourtant pas complique...
Sois heureux en rendant les gens heureux !
Ne fais jamais aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse...
Dans le fondops: quel fond? Le fond de la betise. Le danger c'est les personnes qui n'ont pas passé de permis pour circuler, cela réduira un peu les accidents. Le danger, c'est ceux qui n'ont jamais roulé et se lance sur la route en disant "advienne que pourra"
Cliché: Flic=canettes de bière...il y en a qui leve le coude ok et toi Benp=coca= gros américain;D, viens par chez moi, il confisque le véhicule quelle que soit la faute et c'est éfficace, ils respectent les feux...à part certains jeunes...pour l'amende de 150 000 vnd d'amende pourquoi que tous les 2 moisops:
Le danger, c'est les autres...:tdr1::tdr1::tdr1: L'enfer aussi... et sur Saigon, meme si tu as priorité au feu regarde avant de t'engager. Que cela soit içi ou en France, cela m'a sauvé pas mal de fois...surtout le samedi soir. Le choc a dut etre violent...il s'est sauvé à piedsops: à moins qu'il était plus lourd que toi...je parle du véhicule car commes tous le monde le sait les vietnamiens sont petits, pas costauds et que leurs femmes ont une démarche de canard:tdr1:
Concernant les accidents de la route : chaque jour au Vietnam, on compte à peu près 40 morts, et les blessés graves ainsi que légères s'avèrent apparemment incalculables. Cela veut dire que dans 20 ans, une importante partie de la population sera constituée de personnes invaldes ou à mobilité réduite causée par des accidents de la route.
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
Bonjour
Oui effectivement chaque accident est a deplorer, mais ma perception est differente, d'apres ce que j'ai lu, il y a trois deces, et autant de blesse par
jour a saigon, et compte tenu de la circulation, (3 millions de motos bien sur elles
ne roulent pas toutes en meme temps mais il y en a un paquet, on est bien
d'accord !!) et bien je me dis que finalement (au vue de l'infrastructure routiere et du mode de conduite bien particulier !!) statistiquement ce n'est peut etre pas pire qu'ailleurs, en particulier dans les pays riches qui avec des moyens autrement plus consequent, n'ont pas plus efficacement regle le probleme.
Amicalement.
Source : http://news.autoplus.fr/Accidents-au...-inquiete.htmlL'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) s'inquiète du nombre d'accidents de la route au Vietnam. En effet, les routes vietnamiennes font plus de 30 morts par jour, surtout chez les deux roues. D'après le Comité national de la sécurité routière, il y a eu plus de 14 000 accidents en 2006, qui ont abouti à plus de 12 300 décès, soit un chiffre en augmentation de 10 % par rapport à 2005. La tranche d'âge la plus touchée est celle des 15-24 ans qui représentent 20 % de la population, mais 40 % des victimes. Ces accidents coûteraient quelque 885 millions de dollars au Vietnam (650 millions d'euros). L'une des principales mesures préconisée par l'OMS, est le port du casque. Il faut savoir qu'au Vietnam, plus de 18 millions de motos sont enregistrées... Nelly C.
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
Source : http://lecourrier.vnagency.com.vn/de...REPLY_ID=32206Les accidents de la route continuent de tuer
En moyenne, les accidents survenus sur les routes vietnamiennes coûtent la vie à 30 personnes par jour. Contraste avec d'innombrables règles et arrêtés censés sanctionner les transgressions du Code de la route.
Le plus grand hôpital de Hô Chi Minh-Ville, Cho Rây, soigne une centaine de traumatismes crâniens par jour, directement liés aux accidents de la route.
Dès que le diagnostic présente des complications considérées "légères", une opération est nécessaire et le patient passera au moins 10 jours à l'hôpital, que l'on peut traduire par une facture d'au moins 15 millions de dôngs pour les frais d'hospitalisation et de soins.
Alors imaginer lorsqu'un traumatisme crânien est diagnostiqué grave. De 6 mois à un an d'hospitalisation, pour des frais dépassant une centaine de millions de dôngs.
Les familles des accidentés et la société en général payent aussi les conséquences de cette insécurité routière. Si beaucoup de familles se ruinent pour sauver la vie d'un des leurs, les accidents de la route ont aussi des répercussions sur la société, le développement économique et scientifique. "La plupart des personnes atteintes de traumatisme crânien ont entre 20 et 40 ans. Nombreux d'entre elles sont ingénieurs, architectes, scientifiques, médecins ", explique Vo Van Nho, chef de la faculté de chirurgie de l'hôpital Cho Rây, fort d'une expérience de milliers d'opérations du crâne et témoin de nombreux morts.
Cause principale : l'irresponsabilité
Selon le Comité national de sécurité routière, le pays possède la triste moyenne de 30 morts par jour sur les routes. Et encore plus alarmant, cette tendance est depuis quelques temps à la hausse.
"Tandis que les règles et arrêtés sanctionnant les infractions du Code de la route sont innombrables, le nombre d'accidents routiers ne diminue pas ", constate le chirurgien Vo Van Nho. Il faut dire que les causes des accidents sont nombreuses : taux d'alcool excédentaire, Code de la route aux oubliettes (non respect des limites de vitesse, feux rouges brûlés), infrastructures routières très moyennes, moyens de transport défaillants. Mais pour le chirurgien Vo Van Nho, la cause principale est ailleurs. Pour lui, les organismes et agents chargés de verbaliser les transgressions routières sous estiment l'importance de leurs fonctions en ne prenant pas conscience des conséquences de ces accidents. " Ils ne remplissent pas bien leur responsabilité ", conclut le médecin.
Lorsqu'en mars 2003, l'arrêté gouvernemental traitant des violations au Code de la route, les organismes concernés furent pris de zèle, l'appliquèrent à la lettre, et comme par miracle le nombre de morts et de blessés diminua considérablement. Mais au fur et à mesure, l'attention et le sérieux des agents se relâcha, faisant même preuve d'une certaine indulgence à l'égard des chauffards pour finalement avoir fait de cet arrêté une belle illusion, car aujourd'hui la situation est la même qu'avant l'arrêté.
"Je ne suis pas d'accord avec la façon dont on mène les campagnes de sécurité, où pendant deux mois c'est tolérance zéro puis ensuite on revient à la normale ", indique le médecin Vo Van Nho avant de s'interroger: " Pourquoi ne les réalisons-nous pas sérieusement et régulièrement ? "
Au chirurgien Nho, la conclusion. Quand règles et arrêtés entreront vraiment dans la vie des habitants, les accidents de la route diminueront enfin durablement. Pour cela, la loi doit fixer des sanctions sévères contre les fonctionnaires transgressant les règles. Visant tout particulièrement les agents de transport pour qu'ils remplissent leurs tâches avec sévérité et application. " Plus ils seront sérieux, plus ils aideront les citoyens à se créer de bonnes habitude, contribuant ainsi au développement d'une société moderne et civilisée ", constate le médecin.
Mai Hoa/CVN
( 03/3/06 )
Source : http://lecourrier.vnagency.com.vn/de...REPLY_ID=36810Circulation : une situation qui empire
Chaque jour, 67 personnes décèdent ou sont blessées sur les routes vietnamiennes. Des chiffres angoissants et qui ont tendance à s'accroître.
Sur les 7 premiers mois de l'année, 8.734 accidents de la circulation ont déjà été enregistrés, coûtant la vie à 7.414 personnes et en blessant 6.712 autres, révèle le Comité national pour la sécurité des transports. La majorité des accidents se produisent sur les routes, dont 58% sur les nationales. En moyenne, on dénombre 42 accidents par jour pour 67 morts et blessés. Une situation qui est à son paroxysme, provoquant de vives inquiétudes au sein de la société.
Le comportement irresponsable des conducteurs est responsable de 78% des accidents, dont 40% dus aux excès de vitesse et près de 8% à une importante alcoolémie. Seulement 0,1% des accidents de la route sont liés aux défauts des infrastructures. Plus de 73% mettent en cause des motos et 21% des voitures. Pour les causes indirectes, on relève principalement l'augmentation constante du nombre de véhicules en circulation.
Selon la police de la circulation de Hô Chi Minh-Ville, plus de 1,25 million d'infractions au Code de la route ont été sanctionnées l'année dernière. Les cols du Centre et du Tây Nguyên connaissent pour leur part des accidents catastrophiques. Début août, un autocar qui serpentait sur le col d'An Khê, nationale 19, province de Binh Dinh, a soudainement basculé dans un gouffre suite à une rupture de ses freins. Douze personnes sont décédées et 49 autres grièvement blessées.
En avril 2005, un cas similaire s'était produit sur le col de Lo Xo, au niveau de la province de Kon Tum. Bilan : 31 morts et un nombre considérable de blessés. Gia Lai est pour sa part toujours considérée comme l'un des "points noirs" sur la les routes les plus meurtrières du pays. Depuis le début de l'année, près de 200 accidents y ont été comptabilisés (80 de plus qu'à la même période l'année dernière), faisant 177 morts et 175 blessés.
Alarme aussi pour les chemins de fer. Selon la Compagnie de gestion ferroviaire de Sài Gon, 23 collisions sont déjà survenues sur la ligne Binh Thuân (Centre) - Hô Chi Minh-Ville (Sud). Treize passagers y ont laissé leur peau tandis que 14 autres étaient blessés.
Hông Nga/CVN
( 24/08/06 )
Source : http://www.croix-rouge.fr/goto/actua...etnam-secu.aspEn 2006, la ville de Hanoi a recensé plus de mille accidents de la circulation ayant fait 500 morts et 700 blessés. On dénombre en moyenne deux morts pour trois accidents corporels au Vietnam. Dans ce pays, comme à l’échelle régionale asiatique, la sécurité routière est devenue un problème de santé publique, tant le constat est alarmant. L’augmentation exponentielle de 15% du nombre de deux roues chaque année au Vietnam, n’est pas accompagnée d’une augmentation du nombre d’agents routiers, d’infrastructures routières, aucune sensibilisation des jeunes sur les risques d’une conduite imprudente n’a été mise en place, pas plus que des services d’urgence adaptés ou de loi obligeant le port du casque en ville. Autant de facteurs qui augmentent les risques d’accidents.
C’est dans ce contexte que depuis octobre 2004 la Croix-Rouge française a mené un programme intégré de sécurité routière, en collaboration avec la Croix-Rouge vietnamienne et avec le soutien du ministère des Affaires étrangères. Conformément aux objectifs fixés par la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la mission consiste à mobiliser les autorités locales et la population, à mener des campagnes de sensibilisation et à former des volontaires secouristes afin d’améliorer la prise en charge des personnes accidentées.
Le programme couvre à ce jour quatre districts de Hanoi, quatre zones correspondant au point de départ des routes nationales particulièrement meurtrières.
Naissance d’un réseau de secouristes
Reconnue pour son expertise dans le domaine des premiers secours, la Croix-Rouge française a dans un premier temps mis en place un solide réseau de volontaires secouristes vietnamiens, amenés à intervenir auprès des personnes accidentées. Ils sont aujourd’hui 1 420 à avoir reçu une formation aux gestes qui sauvent. De par leur profession (petit commerce, restauration, etc.), ces volontaires sont souvent les premiers à arriver sur les lieux de l’accident puisqu’ils vivent aux bords des routes 24/24h. La Croix-Rouge vietnamienne compte par ailleurs aujourd’hui 35 formateurs - formés eux-mêmes par des instructeurs français - et 21 postes de secours. Tous disposent d’une trousse de secours et d’un livret de secourisme comprenant un volet spécifique sur la sécurité routière.
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
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