Discussion: Le pays prêt à accueillir les Viêt kiêu

Envoyé par sieutom

Envoyé par Anh Minh

Bonjour,
Il serait intéressant de faire un coin lecture ou livre sur le Viêt Nam

Anh Minh oi,

Cette section existe sous le nom de 'culture générale' : http://forumvietnam.free.fr/index.php?board=2.0
Mais peut-être Mike pourrait-il faire une sous-section livres ?

Il serait d'ailleurs à mon avis mieux de les y laisser plutôt que sur le fil des VK...

Je ne souhaite pas trop multiplier le nombre de rubriques ou de sous rubriques au risque de se perdre dans les méandre de Forum Vietnam ..

Anh Minh

Il serait intéressant de faire un coin lecture ou livre sur le Viêt Nam

Comme la majorité est contre, j'ai supprimé mon message. Je croyais que vous aimez lire les livres traitant sur le Vietnam, j'avais tout faux. Mes excuses.
A.M.

Comme la majorité est contre, j'ai supprimé mon message. Je croyais que vous aimez lire les livres traitant sur le Vietnam, j'avais tout faux. Mes excuses

Je crois qu'on s'est mal compris.. :cry:

Bien sur qu'on aime les livres..
Si tu souhaites traiter d'un bouquin bien précis et pouvoir en discuter, n'hesites pas..la rubrique "culture" est faite pour ça..

La diaspora vietnamienne s'exprime sur le Projet de rapport politique du comité central du Parti
02/23/2006 -- 20:45(GMT+7)

Hanoi, 23 février (AVI) - Nombre des résidents vietnamiens à l'étranger (Viêt kiêu) se sont exprimés mercredi à Hanoi sur le Projet de rapport politique du comité central du Parti communiste du Vietnam pour son prochain Xe congrès national, recommandant de faire valoir la force de grande union nationale et d'engager la diaspora vietnamienne dans l'oeuvre d'édification nationale.

Il convient d'avoir un député Viêt kiêu à l'Assemblée nationale du Vietnam pour représenter la diaspora vietnamienne forte de quelque 3 millions de personnes vivant dans 90 pays et territoires, dont la majorité aux Etats-Unis, en France, en Australie, au Canada et en Allemagne, a proposé Nguyên Tai Phuong, un Vietnamien des Etats-Unis.

La présence d'un Viêt kiêu à l'Assemblée nationale, qui s'ajoute au statut actuel de membre du Comité central du Front de la Patrie du Vietnam, aidera les Viêt kiêu à mieux comprendre leur pays natal ainsi qu'à refléter leurs pensées et aspirations envers le Parti et l'Etat, a-t-il justifié lors d'une conférence organisée par le Comité des Vietnamiens d'outre-mer.

Les politiques sur les Viêt kiêu adoptées par le Parti et l'Etat ont beaucoup encouragé les enfants éloignés de la Patrie ces derniers temps, favorisé leur visite et leur investissement dans le pays natal, a plaidé de son côté Dang Thi Loi, présidente de l'Association de liaison des Viêt kiêu originaires de Hai Phong.

Le Parti et l'Etat devraient accélérer plus vigoureusement la réforme administrative, simplifié les formalités pour les Vietnamiens d'outre-mer et élaborer de nouvelles politiques capables de les exhorter à promouvoir leur potentiel et à contribuer plus activement au développement socio-économique au Vietnam, a-t-elle ajouté.

Même avis chez Nguyên Hoai Bac, un Vietnamien du Canada, qui a estimé que le Parti et l'Etat devaient en finir avec la course aux beaux rapports de mérite et les mouvements restés sans écho, ces "maladies" qui risquent de porter atteinte au système politique, à l'économie vietnamienne, aux dépens de la réputation du Parti.

Il a encore qualifié de judicieuse l'évocation dans le Projet de rapport politique la permission aux membres du Parti de s'engager dans des activités économiques privées, comme tous sont "membres de la société" vietnamienne. - AVI

Agence vietnamienne de l'information.

Les Viêt kiêu, partie inséparable du peuple

Résidant en Australie, le docteur des sciences économiques Nguyên Van Tuân a montré sa satisfaction devant l'annonce du PC et du gouvernement vietnamiens qui considèrent les Viêt kiêu comme membres du peuple vietnamien. Il s'est félicité des changements positifs dans les politiques gouvernementales appliquées aux Vietnamiens d'outre-mer.
Questionné sur le projet de rapport politique du 10e Congrès du Parti, M.Tuân propose de mettre l'accent sur les activités d'information pour permettre aux Vietnamiens de l'étranger de mieux comprendre ces améliorations et souhaite que le gouvernement vietnamien en applique davantage pour que les Viêt kiêu puissent travailler avec le pays natal.
Pour sa part, le docteur-professeur de musicologie, Trân Van Khê, Viêt kiêu de France, a réaffirmé la justesse des politiques de valorisation des Viêt kiêu pour la grande solidarité nationale. Les formalités d'entrée au pays natal pour les Viêt kiêu sont de plus en plus simplifiées. Selon Trân Van Khê, l'État devrait mettre en valeur les contributions des Viêt kiêu au pays dans divers domaines. Il a souligné la haute signification du titre d'"Honneur du Vietnam" réservé aux meilleurs Viêt kiêu pour leur rôle de liaison entre le Vietnam et les pays étrangers.

Hoàng Long/CVN
( 13/03/06 )

Source : le courrier du Vietnam

Mike, tout ces "bla bla" me rapelle un duo de Dalidda et Alain Delon... si, si j'étais mataqué de cette chanson "paroles, paroles..." Je ne sais pas si c'est vraiment le titre exacte. Mais bref, ici nous avons l'habitude.

Je trouve que c'est une excellente idée !!!! et un très bon modèle pour tous les autres pays à l'égard des diasporas.

Envoyé par calimero

Mike, tout ces "bla bla" me rapelle un duo de Dalidda et Alain Delon... si, si j'étais mataqué de cette chanson "paroles, paroles..." Je ne sais pas si c'est vraiment le titre exacte. Mais bref, ici nous avons l'habitude.

Chào à tous

Lors de mon passage à Hà Nôi, j'ai eu l'occasion de faire la connaissance d'un ingénieur qui avait fait des études en Roumanie et en France, travaillant actuellement dans une compagnie d'exploitation pétrolière.

Répondant à mes questions sur les conditions réservée aux Viet kieu voulant rentrer travailler au pays natal, il a dit : à votre place, je ne rentrerais pas. Car les soi-disant bonnes conditions réservées aux Viet Kieu, cela oui OK, mais pas n'importe quel Viet kieu que ceux qui ont fait preuve d'une détermination farouche pour rehausser le prestige du pays, quelque soit par leurs brillantes études jusqu'à activités professionnelles menées avec brio pendant leurs exil, et leur but de rentrer pour contribuer au développement du pays natal n'est point motivé par l'argent, car ces intellectuels ou hommes d'affaire ont déjà de belle vie dans leurs pays d'adoption.

Je pense qu'il avait raison, car beaucoup d'entre nous, après des décennies errant dans un (des) pays étrangers et malgré le piston de la part des états qui nous (sauf moi) ont accueilli pour qu'on puisse refaire notre vie dans la nouvelle patrie, on se trouve toujours sans grande fortune ni diplome (certains même pas de femmes) et après tout, on décide de rentrer. Une fois au pays et quelques temps après, tous nos maigres économies dont une partie provient de la sécu, grace aux combines apprises sur place, est épuisé. Nous revoilà, en train de se plaindre qu'on est mal considéré dans notre pays ancestral....

A+

Envoyé par Bao Nhân

Une fois au pays et quelques temps après, tous nos maigres économies dont une partie provient de la sécu, grace aux combines apprises sur place, est épuisé. Nous revoilà, en train de se plaindre qu'on est mal considéré dans notre pays ancestral....

Ah ouais ? Tiens je ne connaissais pas sous ce jour choco-BN ! Toi en train de filouter la Sécu ? Ah la la, y'a plus de jeunesse... :lol!:

Alors quand un VK se fait serrer à la frontière avec tout ses kilos de médocs, que doit-on en penser ? (cf. la grosse histoire louche d'août dernier)

Ou alors les étudiants de 21 et 23 ans inscrits au centre de français de Caen qui ont escroqué la SNCF de 100 000 €, très forts ceux-là aussi mais made in VN

Après ils vont se plaindre qu'ils sont mal considérés dans leur pays d'accueil...

[aïe aïe aïe je sens que je viens de mettre le feu aux poudres, tous aux abris !!! ]

...car beaucoup d'entre nous, après des décennies errant dans un (des) pays étrangers et malgré le piston de la part des états qui nous (sauf moi) ont accueilli pour qu'on puisse refaire notre vie dans la nouvelle patrie, on se trouve toujours sans grande fortune ni diplome (certains même pas de femmes) et après tout, on décide de rentrer. Une fois au pays et quelques temps après, tous nos maigres économies dont une partie provient de la sécu, grace aux combines apprises sur place, est épuisé. Nous revoilà, en train de se plaindre qu'on est mal considéré dans notre pays ancestral....

Bonjour Boa Nhan
« C’est trop injuste ! » :no: dit Calimero. Ais je dis que je me lamentais de ma situation au Vietnam ? Je suis ici depuis plus de 3 ans. Je ne faisais qu’un constat ! Tes allusions me font rire jaune. Au sujet des femmes, en France ou ailleurs, ça va je n’ai pas trop eut à me plaindre…Pistonné !?! Pour etre en France ? Il faut que tu arrête de
Le Vietnam a besoin des compétences, c’est un fait. Juste une question, cela ne leur serait il pas moins coûteux de former des élites sur places plutôt que de les envoyer à l’étranger ?
L’école Centrale était en pourparler depuis longtemps avec le Vietnam et la Chine. Celui de la Chine est opérationnel. Si il y a des anciens de central sur ce forum, qu’ils demandent au Président de Central pourquoi il n’y a pas encore d’école d’ouvert au Vietnam ?

lettre d’information numéro 2 - octobre 2005 École Centrale Paris

Les Ecoles Centrale à la conquête de la Chine :
l’inauguration de l’Ecole Centrale de Pékin et la
première rentrée des élèves

[i]16 septembre 2005, 13H00 : cérémonie officielle
d’inauguration de l’Ecole Centrale de Pékin,
dans le cadre des festivités de clôture de
l’Année de la France en Chine, par Monsieur
Christian Poncelet, Président du Sénat, des
représentants des autorités chinoises et
françaises, de Monsieur Li Wei, Président de
l’Université Beihang et de Madame Nicole Bru,
marraine de la première promotion, dont la
fondation est le partenaire privé principal.
Aux 250 invités présents, s’ajoutaient les
108 élèves de la première promotion. La fanfare
de l’Ecole Centrale Paris était venue tout
spécialement à Pékin, pour assurer l’animation
de la manifestation.
Un succès exceptionnel ! Le représentant des
élèves chinois a clôturé ainsi son discours de
manière tonique : “A présent, il n’y a pas un
instant à perdre, au travail !”...

La première rentrée : le 5 septembre 2005 à 8H00, les 108 élèves, dont un tiers de filles, de la première
promotion de l’Ecole Centrale de Pékin ont commencé leur formation à l’Université Beihang.
Cette Ecole d’ingénieurs généraliste francophone a été créée en 16 mois à la demande du ministère
chinois de l’Education avec l’aide des ministères français
de l’Education nationale et des Affaires Etrangères, du
Comité d’Honneur de l’Année de la France en Chine et de
la Fondation Nicole Bru.
Le succès du recrutement a dépassé toutes les espérances
des responsables du projet : les demandes ont été
nombreuses (pour 10 places réservées aux lycéens
pékinois, 80 élèves des deux meilleurs lycées de la ville ont
déposé leur candidature)
et le niveau des candidats retenus est exceptionnel.
Les étudiants sont formés depuis leur baccalauréat (GaoKao) jusqu’à
leur diplôme d’ingénieur. La formation intensive de 6 ans (3 ans de
classes préparatoires et 3 ans de cycle ingénieur) prépare des
ingénieurs de haut niveau, polyvalents, trilingues (chinois, français,
anglais) qui prendront rapidement des responsabilités dans les
entreprises en Chine comme en France.