Discussion: Qui est responsable de la dette de la France ?

Envoyé par robin des bois

La question la plus importante, dans une union de soi-disant états européens démocratiques, est de savoir définir la priorité et la raison d'être de l'U.E:

- est-ce le " management poliltique de l'UE", prenant en compte les différents systêmes politiques de chaque pays tels qu'ils existent.

autrement dit : " l'art de mener les affaires des pays composant cette union", tout comme les Grecs pratiquaient autrefois "l'Art de mener les affaires de la Cité"
(et c'est çà la véritable définition de la "Politique" depuis la nuit des temps !!!)

- est-ce une simple question de pognon et de tiroirs-caisse , dont la gestion est bel et bien confiée à "un organisme et à un mécanisme technocratique européens", sous influence du ou des pays les plus puissants du groupe ?

La question la plus importante, dans une union de soi-disant états européens démocratiques, est aussi de « respecter la démocratie ». La règle de l’unanimité a jusqu’à présent permis à une minorité de bloquer tout le monde. C’est donc une règle à la fois inefficace et anti-démocratique.

L’UE possède déjà un Parlement élu de manière démocratique, il suffit de lui laisser déterminer « les priorités de l’Union ». Que cette priorité soit « une simple question de tiroir-caisse » c’est son problème, puisque c’est ce Parlement qui représente les Peuples Européens.

Envoyé par dannyboy

L’UE possède déjà un Parlement élu de manière démocratique, il suffit de lui laisser déterminer « les priorités de l’Union ». Que cette priorité soit « une simple question de tiroir-caisse » c’est son problème, puisque c’est ce Parlement qui représente les Peuples Européens.

La France et le Vietnam, vieilles connaissances depuis "l'indochine de Papa" ou le "célèbre Pâté GIAP de Dien bien Phu", n'ont pas, que je sache, d'UFV- ou union des Etats franco-vietnamien" - et pourtant il y a de nombreux citoyens français au Vietnam et de nombreux Vietnamiens ou Français d'Origine vietnamienne en France ..

Dans l'intérêt bien compris de leurs ressortissants réciproques, que croyez-vous qu'ils aient fait en premier ?

Plutôt que l'UFV - et un franco-dong - ils ont commencé par passer des conventions bi-latérales en tant que de besoin :

- autrefois par exemple sur la nationalité, la couverture sociale etc ... devenues caduques avec le temps

- des nouvelles ar ex. sur l'adoption, les relations fiscales, le mariage-mixte .. etc etc

Un certain pragmatisme pour résoudre les réalités du terrain et les intérêts tout à fait légitimes de leurs concitoyens : et là c'est bien et même très bien : RAS

Dans le même orde d'idées, citez-moi svp quelques exemples européens de conventions en matière de :
- fiscalité
- harmonisation sociale
- non-concurrence déloyale en matière économique entre ces pays soi-disant unis ?...
et que sais -je encore...


ps : je viens d'écouter attentitvement le discours de Marine LEPEN :
remarquable au niveau du contenu en vue de l'objectif à atteindre : prendre le pouvoir en passant par l'Assemblée nationale .

Instinctivement, je revois la procédure de conquête du pouvoir de Hitler, décrite dans "Apocalypse Hitler".. (y compris dans la durée de la harangue : plus de 60' !!)

Pour moi, le 6 mai ne sera d'ores et déjà qu'un épiphénomène ; et j'ai honte de ce qui nous attend aux législatibes de Juin ....

(Marine votera personnellement "blanc le 6 "et "bleu marine en juin " au cas où vous ne le sauriez pas encore ; mais ses électeurs restant libres de leurs choix, il semblerait qu'ils seront incités en sous-main a voter Hollande pour accentuer la pâtée de Nicolas .. et pour que la récolte de Marine en Juin soit encore meilleure . Il y a une certaine suite dans les idées !!!)

Dans ces condituions, vos "théories financières ", même puisées aux meilleures sources , vous pouvez les ranger d'ores et déjà quelque part que par décence je ne nommerai pas :
le gros problème est désormais ailleurs .... (voyez donc ce qui se passe aussi aux PB )

Quant au modèles financiers asiatiques ... voir l'article du Monde SVP

Envoyé par robin des bois

Ah oui, j'en suis fort aise .... et auriez vous SVPl'extrême obligeance de remonter quelques mois dans le temps pour nous ressortir le refrain économique du fameux couple de chanteurs de charme MERKOZY ?

A vous l'honneur RdB. juste pour mesurer le décalage du discours politique.Du moment que les intérêts nationaux sont menacés ,il faut prendre des mesures nécessaires.
Je suis tombé sur un texte relatant la révolution du petit mais courageux peuple Islandais qui a renversé son gouvernement pour avoir livré mains liées toute sa population à la finance internationale. (Texte à lire avec du recul, car je ne puis vérifier le sérieux du blog.) Mais une chose est sûre c'était bien l'Islande qui avait la première connu des problèmes avec sa dette.

Sans nouvelles d’Islande : Pourquoi ?

(texte qui circule sur le Net)

Europe supranationale - Incroyable : la

Si quelqu’un croit qu’il n’y a pas de censure actuellement, qu’il nous dise pourquoi on a tout su au sujet des actes prédateurs de l'ordre mondial en Egypte, en Syrie ou en Lybie et pourquoi les journaux n’ont absolument rien dit sur ce qui se passe en Islande :

- Le peuple souverain a fait démissionner un gouvernement au complet,

- Les principales banques ont été nationalisées et il a été décidé de ne pas payer la dette qu’elles avaient contractée auprès de banques de GrandeBretagne et de Hollande, dette générée par la mauvaise politique financière des dirigeants corrompus,

- Une assemblée populaire vient d’être créée pour réécrire la Constitution.

Et tout cela, pacifiquement.

Toute une révolution contre le pouvoir qui a conduit à cette crise. Voilà pourquoi rien n’a été publié pendant deux ans.

Les citoyens européens doivent prendre exemple et cesser d'être des victimes face aux oppresseurs financiers et politiques.

Brièvement, voici ce qu'il faut faire, comme les Islandais l'on courageusement faits :

- 2008 : La principale banque du pays est nationalisée. La monnaie s’effondre, la bourse suspend son activité. Le pays est en banqueroute.

- 2009 : Les protestations citoyennes contre le Parlement font que des élections anticipées sont convoquées et qu’elles provoquent la démission du Premier Ministre et, en bloc, de tout le gouvernement. La situation économique désastreuse du pays persiste. Par le biais d’une loi scélérate, il avait été proposé à la Grande Bretagne et aux Pays-Bas le remboursement de la dette par le paiement de 3.500 millions d’euros, montant que paieraient mensuellement toutes les familles islandaises pendant les 15 prochaines années à un taux d’intérêt de 5%.

- 2010 : le peuple descend à nouveau dans la rue et demande que la loi soit soumise à référendum. En janvier 2010, le Président refuse de ratifier cette loi et annonce qu’il y aura une consultation populaire. En mars, le référendum a lieu et le NON au paiement de la dette remporte 93% des voix.

Pendant ce temps, le gouvernement a entamé une investigation pour régler juridiquement les responsabilités de la crise. Les détentions de plusieurs banquiers et cadres supérieurs commencent. Interpol lance une enquête et tous les banquiers impliqués quittent le pays.

Dans ce contexte de crise, une assemblée est élue pour rédiger une nouvelle Constitution qui reprend les leçons apprises de la crise et qui se substitue à l’actuelle qui est une copie de la constitution danoise.

Pour ce faire, on a recours directement au peuple souverain. On élit 25 citoyens sans filiation politique parmi les 522 qui se sont présentés aux candidatures. Pour cela, il faut être majeur et recueillir le soutien de 30 personnes.

L’assemblée constituante commence ses travaux en février 2011 afin de présenter, en partant des avis collectés dans les diverses assemblées qui ont eu lieu dans tout le pays, un projet de Grande Charte. Elle doit être approuvée par l’actuel parlement ainsi que par celui qui sera constitué après les prochaines élections législation.

Voici, en bref, l’histoire de la Révolution Islandaise à mettre en œuvre en France :

- Démission en bloc de tout un gouvernement

- Nationalisation des banques

- Référendum pour que le peuple puisse se prononcer sur les décisions économiques fondamentales

- Emprisonnement des responsables de la crise et réécriture de la constitution par les citoyens.

Nous a-t-on parlé de cela dans les médias européens ? En a-t-on parlé dans les débats politiques radiophoniques ?A-t-on vu des images de ces faits à la TV ?Bien sûr que non !

Le peuple islandais a su donner une leçon à toute l’Europe en affrontant le système et en donnant une leçon de démocratie au reste du monde

Je crois que tu es tombé sur un blog d'Extreme Gauche...
L'Islande, c'est une population d'environ 320 000 habitants, comme la Charente (Angoleme, Cognac) et la moitié de la Charente Maritime.
La Tunisie, un petit pays qui a dépassé le cap des dix millions d’habitants en 2005... alors la comparaison avec le Primptemps Arabe est assez stupide.
Leur banques ont fait de l'exelent travail spéculatif en investissant massivement dans les subprimes (cotées AAA+++ car l'immobilier, ça baisse jamais et en plus c'est américain) ; les Islandais gagnent bien à cette époque.
2ème mensonge par ommission: Island n'est pas dans l'€uro, alors ils peuvent toujours demander à leur banque centrale de faire tourner la planche à billet ; pourquoi ça ne marche pas ?

Envoyé par DédéHeo

Leur banques ont fait de l'exelent travail spéculatif en investissant massivement dans les subprimes (cotées AAA+++ car l'immobilier, ça baisse jamais et en plus c'est américain) ; les Islandais gagnent bien à cette époque.
2ème mensonge par ommission: Island n'est pas dans l'€uro, alors ils peuvent toujours demander à leur banque centrale de faire tourner la planche à billet ; pourquoi ça ne marche pas ?

D'une part, l'Islande étudierait la possibilité d'entrer dans l'euro depuis cette crise de 2008

D'autre part , la situation s'améliore assez rapidement : cf SVP

- sur ce lien ,

Leçons de la crise islandaise: laisser les banques faire faillite

- cet article : (mais y en a plein d'autres "non gauchistes" pour "DédéHéo le droitiste"!!!)

Leçons de la crise islandaise: laisser les banques faire faillite

07.11.2011

Le spectaculaire rétablissement économique de l'Islande , au bord de la banqueroute il y a trois ans, enseigne qu'un gouvernement doit laisser les banques faire faillite plutôt que de s'attaquer au contribuable, relèvent des analystes.L'île de l'Atlantique nord a vu ses trois plus grandes banques s'effondrer à l'automne 2008 dans le sillage de la crise mondiale et de la faillite du géant financier américain Lehman Brothers.
Les banques sont devenues insolvables en quelques semaines et Reykjavik n'a pas eu d'autre choix que de les laisser faire faillite et de demander une aide de 2,25 milliards de dollars au Fonds monétaire international (FMI).
Après trois années de sévères mesures d'austérité, l'économie du pays montre aujourd'hui des signes de bonne santé malgré la crise financière qui menace désormais de faillite la Grèce puis l'Italie, le Portugal et l'Espagne.
"L'enseignement qui peut être tiré de la sortie de crise par l'Islande c'est qu'il est important de faire supporter le moins possible le coût de la crise financière par le contribuable et par les finances du gouvernement", explique à l'AFP l'analyste Jon Bjarki Bentsson, de la banque Islandsbanki.
"Cela a plutôt bien marché pour nous", remarque M. Bentsson, même si, dit-il, l'Islande n'avait pas vraiment d'autre choix, le gouvernement étant dans l'incapacité d'aider des banques démesurément grandes par rapport à l'économie du pays.Les actifs du secteur bancaire islandais étaient onze fois plus élevés que le produit intérieur brut (PIB) du pays.
Le prix Nobel d'économie américain Paul Krugman partage l'avis de M. Bentsson.
"Là où tous les autres ont renfloué les banques et laissé les citoyens en payer le prix, l'Islande a laissé les banques aller à la faillite et a, en fait, augmenté son filet de protection social", a-t-il récemment écrit dans le New York Times.
"Là où tous les autres étaient occupés à essayer de rassurer les investisseurs internationaux, l'Islande a imposé temporairement des contrôles sur les mouvements de capitaux afin de se laisser une marge de manoeuvre", explique-t-il.Lors d'une récente visite à Reykjavik, Paul Krugman a aussi souligné que l'Islande devait remercier sa monnaie, la couronne, pour sa récupération économique.
"Le rebond économique de l'Islande démontre les avantages d'être hors de la zone euro", a-t-il affirmé.Mais le cas islandais ne peut pas être directement comparé à ceux de la Grèce et de l'Italie."La grande différence entre, notamment la Grèce, l'Italie aujourd'hui et l'Islande en 2008, c'est que cette dernière était frappée par une crise des banques causée par l'effondrement d'un secteur bancaire hypertrophié tandis que les autres pays sont affectés par une crise de la dette souveraine qui a débordé dans le secteur bancaire européen", explique M. Bentsson.
"En réalité, dit-il, la situation de la dette en Islande était solide avant la crise".L'ancien Premier ministre islandais Geir Haarde, au pouvoir en 2008, poursuivi actuellement par une cour spéciale pour sa gestion de la crise, est convaincu que son gouvernement a bien réagi en laissant les banques aller à la faillite."Nous avons sauvé le pays de la banqueroute", avait affirmé en juillet dernier à l'AFP M. Haarde, âgé de 68 ans.
"C'est évident si vous observez notre situation maintenant et que vous la comparez à l'Irlande, sans parler de la Grèce", disait-il ajoutant que ces deux pays européens endettés "ont commis des erreurs que nous n'avons pas faites (...) Nous n'avons pas garanti les dettes extérieures du système bancaire".

Trois ans après la crise, l'Islande se porte plutôt bien: pour la première moitié de 2011 elle a enregistré une croissance de 2,5% et elle table sur 3% pour l'ensemble de l'année.



AFP

Hahaha !
"L'enseignement qui peut être tiré de la sortie de crise par l'Islande c'est qu'il est important de faire supporter le moins possible le coût de la crise financière par le contribuable et par les finances du gouvernement", explique à l'AFP l'analyste Jon Bjarki Bentsson, de la banque Islandsbanki.
""Là où tous les autres étaient occupés à essayer de rassurer les investisseurs internationaux, l'Islande a imposé temporairement des contrôles sur les mouvements de capitaux afin de se laisser une marge de manoeuvre", explique-t-il.(le prix Nobel d'économie américain Paul Krugman)ors d'une récente visite à Reykjavik

Non mais quels crétins ! il faut etre Prix Nobel d'économie pour dire des anneries pareilles ! et l'analiste LOL

leur banques ont emprunté à l'etranger, comme elles font faillite, elles ne remboursent rien !!!

"2,25 milliards de dollars au Fonds monétaire international (FMI)." pour 320 000 habitants et les focs, pas mal !

Une particularité de ce pays : De l'electricité a ne pas savoir quoi en faire (ils importent de la bauxite du bout du monde pour faire de l'aluminium (Ils ont un enorme barrage hydroélectrique)
De l'énergie geothermique ideme (vous avez entendu parler du volcan MachinMachieque )
Des resourses halieutiques délirante à cause des droits de peche autour de leur île ETC

Les autres doivent bosser pour acheter leur pétrole et pleurer pour aller à la pêche

Alors faut vraiment etre un crétin pour extrapoler à la Grece ou à l'Espagne, l'exemple Islandais (qui a baisé tout le monde)

Envoyé par DédéHeo

Hahaha !
"Alors faut vraiment etre un crétin pour extrapoler à la Grece ou à l'Espagne, l'exemple Islandais (qui a baisé tout le monde)

Heu SVP ...vous savez lire un texte dans son entier .. et en faire la synthèse ???

Envoyé par robin des bois

Heu SVP ...vous savez lire un texte dans son entier .. et en faire la synthèse ???

J'avais survolé la fin, avant la conclusion c'est un tel tissu d’âneries
Le dirigeant islandais se moque du monde (normal!) et le Prix Nobel est vraiment un âne !

Imaginez un pays dont la population est comme Nantes sans sa communauté urbaine mais moins nombreuse que celle de Nice.
Mais il possède un énorme barrage hydroélectrique sur un fleuve bien plus puissant que la Loire qui lui fournit 10 ou 100 fois trop d’électricité.
Avec ça, cette ville moyenne a sur ses terres une énorme centrale nucléaire qui tourne sans combustible qui fournit les habitants en eau chaude illimité ; aussi dangereux mais bien moins chère : C'est des volcans.

Mais en plus, il possède un domaine de pêche grand comme le Golfe de Gascogne (en exclusivité)

Comme ils ne save pas quoi faire de leur excédent d’électricité, ils ont construit une énorme usine d'aluminium ; il suffit de vider des cargos de bauxite d'un coté et il ressort de l'autre des lingots d'Aluminium dont le prix est surtout lié au coût de la grande quantité d’électricité (10 kilowatt pour 1 kilo, je crois) et la bauxite brésilienne, le prix, c'est le même pour tout le monde.

Donc les gens là n'ont pas besoin de faire des économies.

"En réalité, dit-il, la situation de la dette en Islande était solide avant la crise" explique M. Bentsson.
Ah ? Sans blagues ?

ils sont si riche qu'ils placent leurs économies dans leurs 4 banques locales et ne veulent pas rentrer dans l'€uro de peur de se faire plumer par les Européen du Sud.

Là dessus, les gens de certains pays voisins (Surtout Angleterre et Hollande) placent aussi leurs économies dans leur banques.

Leur banquiers ne font pas vraiment une magouille contrairement à ce qui est dit dans l'autre article mais ils place dans les emprunts américain à haut risque mais grand rapport (mais coté AAA+++ et garantit sur l'immobilier USA)

A la toute premier crise, des subprime, leurs 4 banques font faillite.

"Nous avons sauvé le pays de la banqueroute", avait affirmé en juillet dernier à l'AFP l'ancien Premier ministre islandais Geir Haarde, au pouvoir en 2008, âgé de 68 ans.
"C'est évident si vous observez notre situation maintenant et que vous la comparez à l'Irlande, sans parler de la Grèce", disait-il ajoutant que ces deux pays européens endettés "ont commis des erreurs que nous n'avons pas faites (...) Nous n'avons pas garanti les dettes extérieures du système bancaire".

Au 31 juillet 2008, la dette nationale extérieure de l'Islande se montait à 9 553 milliards de couronnes islandaises, plus de 80 % étant détenus par les banques, alors que le produit national brut du pays s'élevait à 1 279 milliards en 2007.

C'est pas la dette du pays, c'est la dette de leur banques, alors on les met en faillite et on se fait traiter de voleur, de terroriste, pas grave

En plus le FMI leur donne 2,25 milliards de dollars ; c'est à dire 7000 $ par habitant ! Trop fort le FMI, c'était DSK ?

Conclusion ultra stupide de l'article "Ils ont bien récupéré"

Envoyé par DédéHeo

J'avais survolé la fin, avant la conclusion c'est un tel tissue d'anerie
Le dirigeant islandais se moque du monde (normal!) et le Prix Nobel est vraiment un âne !


A la toute premier crise, des subprime, leur banque font faillite.
(...) Nous n'avons pas garanti les dettes extérieures du système bancaire".

C'est pas la dette du pays, c'est la dette de leur banques, alors on les met en faillite et on se fait traiter de voleur, de terroriste, pas grave En plus le FMI leur donne 2,25 milliards de dollars ; c'est à dire 7000 $ par habitant ! Trop fort le FMI, c'était DSK ?

Conclusion ultra stupide de l'article "Ils ont bien récupéré"

Vous ne seriez pas plutôt du genre "Financier proche de son tiroir-caisse" (cf Margaret "I want my money back")

plutôt qu' un "Politicien à la grecque ancienne"!!!

je ne suis pas convaincue par l'argumentation de DDHeo tout simplement parce que je n'ai pas la compétence en culture économique pour le faire-mais je me méfie de ceux qui assoient leurs logique sur des arguments d'experts qui peuvent être démentis par d'autres experts...quand j'ai entendu parler de l'islande je me suis souvenue de la phrase de Rousseau sur la Corse "ce pays étonnera l'Europe"bien evidemment ce pays a engendré que Napoléon..mais un tout petit pays (même nombre d'habitants)qui assigne en justice ses élus et ses banquiers .cela étonne l'Europe...je crois que c'est un exemple mobilisateur(bien que n'étant pas dans zone euro etc.et donc ayant des circonstances atténéuantes à son indocilité.)donc je disais au-delà des expertises comptables - -l'islande a prouvé que la démocratie n'est pas un blang seing.Je réponds au passage à un intervenant qui disait grosso modo:c'est voté,c'est la démocratie..Oui Hitler a été élu mais dès sa prise de pouvoir tout le système démocratique a été vérrouillé:chasse à la gauche et tous les opposants..donc la démocratie est un mouvement permanent vers la démocratie,et non une soumission ,même aux urnes..