Ma proposition est toujours d'actualité ! Après avoir payer l'endettement de 1700 milliards, il m'en reste 4300 milliards ... Je rectifie : 8 millions de personnes en France pourraient être aidés et pas 28 millions comme j'avais annoncé 20 janvier dernier. Par famille de 4 personnes je donnerais 300 000 (200k pour le logement, 50k pour l'entreprise et 50k pour l'épargne), avec contre partie bien sûr ! Soit 600 milliards et il me reste 3700 milliards pour une caisse de solidarité et pour le monde entier ...
Dernière modification par dokuan ; 07/03/2012 à 12h25.
Bonjour Dokuan, à toutes et à tous,
J'aimerais bien faire partie des 8 millions de personnes et nous sommes 4...
Mais je doute fort que tu sois élu comme président un jour, car aucun parti politique n'acceptera ton programme...
Ceci dit, si tu es élu président, garde un poste dans ton gouvernement pour moi...quelque chose comme "Ministre du temps libre" !
Avec tous mes profonds respects, cher président !
NVTL
Non je ne veux pas être président mais j'aimerais gérer tout l'argent qui dorme ... je ferais travailler 2 millions de familles cela participe à la croissance ! Je donne la gratuité du transport public. Je note que François Hollande mettra à la disposition des collectivités locales tous les terrains libres de l'Etat pour qu'elles puissent construire des logements, qu'il baisse le salaire du président de 30% et de ses membres au gouvernement ... NVTL, tu sera la première famille bénéficiaire sans problème !
La dette publique française 1700 milliards, elle aurait été 180 milliards seulement ...
UPR-DJAMELITO: L’ARNAQUE de la Dette Publique
Sur ce topic , j'ai déjà eu l'occasion d'appeler l'attention des forumeurs F-V sur le fameux "Capitalisme d'Etat Chinois" ,
- qui permet à certains leaders Chinois de vouloir donner des leçons d'Economie à la France ..
- et qui fait même envie à certains de nos hommes politiques et/ou capitalistes occidentaux parmi les plus fûtés ..(cf Raffarin and C° et leurs voyages d'études)
Pile poil, un article tout frais tout nouveau sur le sujet :
- sur ce lien :
En Chine, la grogne monte contre le capitalisme d'Etat - LeMonde.fr
- cet article fort intéressant par les temps qui courent, je trouve :
En Chine, la grogne monte contre le capitalisme d'Etat
| 07.03.12 | 15h40
Les entreprises publiques chinoises sont invitées à redistribuer une partie de leurs profits.ASSOCIATED PRESS/GREG BAKER
La pression monte contre les grandes entreprises publiques chinoises, accusées de profiter amplement des ressources de l'Etat sans reverser leur dû à la société en contrepartie. L'influente patronne de presse progressiste Hu Shuli a donné le ton, au moment où se tient la session annuelle de l'Assemblée nationale populaire, occasion de faire entendre les griefs de saison : "A défaut de redressement, le capitalisme d'Etat chinois pourrait bien devenir un capitalisme de copinage."
Un autre assaut est venu de Zong Qinhong, le patron du groupe privé Wahaha, qui a appelé à briser les monopoles étatiques au profit du secteur privé. "Le gouvernement reçoit trop et le peuple trop peu", a lancé, samedi 3 mars, sur la chaîne Bloomberg, M. Zong, qui est tout de même la deuxième fortune du pays.
Trois décennies de réformes ont vu des pans entiers de l'économie passer aux mains du privé, le Parti communiste chinois (PCC) prenant soin d'intégrer en parallèle les nouveaux entrepreneurs pour en faire des membres plutôt que des concurrents aigris. Le PCC a en revanche gardé le contrôle direct dans de multiples domaines qualifiés de "stratégiques", selon l'acception la plus extensive possible du terme, tels que les banques, les opérateurs de téléphonie mobile ou les partenaires imposés aux marques étrangères dans l'automobile. Le département de l'organisation du PCC nomme les cadres dans ces entreprises aux noms commençant par "China" autant qu'il attribue les postes dans les ministères et gère les passerelles. Les grands groupes opèrent souvent en oligopoles.
La question devient des plus politiques dès lors que les "masses" se sentent exclues. "Le peuple commence à être un peu agacé de voir ces entreprises donner peu à la société en retour de leurs privilèges", constate Zhang Jun, le directeur du Centre d'études économiques de l'université de Fudan, à Shanghaï. Selon lui, le PCC doit se faire à l'idée qu'il a plus à gagner à maintenir une économie efficace et à régler les mécontentements qu'à conserver ce contrôle. "Au fond, la décennie écoulée n'a pas vu la seconde vague de réformes économiques attendue", estime le professeur Zhang.
Le débat est relancé suite à la publication par la Banque mondiale, le 27 février, d'un rapport de 464 pages insistant sur la nécessité de réformes économiques, dont une "diversification graduelle de la propriété" des entreprises publiques. L'institution pourra toujours être soupçonnée de se faire le chantre d'un libéralisme économique malvenu en terre socialiste, le rapport a toutefois reçu le soutien de Li Keqiang, l'homme promis au poste de premier ministre au printemps 2013, illustration de la prise de conscience du besoin de changement au sein du PCC.
SCANDALES DE CORRUPTION
Le rapport appelle notamment à augmenter les dividendes reversés à l'Etat par ces groupes publics dont le gouvernement central garde systématiquement la majorité des parts. Peu compétitifs au lendemain des réformes engagées par Deng Xiaoping, il fut longtemps toléré qu'ils ne reversent qu'environ 10 % de leurs gains - et parfois rien - au budget national, le temps de se renforcer. Mais les voilà désormais aptes à investir massivement jusqu'en Afrique ou au Brésil.
Pour Gao Xu, analyste chez Everbright Securities, les cadres placés dans ces entreprises "peuvent toujours prétendre qu'ils ont besoin de liquidités pour bloquer tout changement". Sans risquer d'être démis de leurs fonctions puisque "les affectations sont politiques". Un autre économiste, dans une banque publique, relève : "Le système est réticent à la réforme pour la simple raison que c'est par le biais de ces entreprises que le Parti conserve la mainmise sur l'économie."
Il n'en faut pas moins donner des gages. Le patron de China Mobile, Wang Jianzhou, a ainsi déclaré, lundi 5 mars, qu'il n'était "pas opposé" à transférer un peu plus à l'Etat que les 15 % de dividendes actuels. Empêtré depuis deux ans dans des scandales de corruption, l'opérateur aux 655 millions de cartes SIM est bien placé pour connaître les limites de la relation incestueuse entre l'Etat et les affaires. Dernier en date à tomber, son directeur exécutif est détenu depuis le 28 février. Avant lui, le vice-président du groupe a déjà été condamné pour avoir reçu l'équivalent de 900 000 euros de pots-de-vin. Au sein de son entreprise, il était également secrétaire du PCC.
Harold Thibault
Article paru dans l'édition du 08.03.12
Dernière modification par robin des bois ; 07/03/2012 à 19h37.
La prime de chauffage des sénateurs dont le président est un socialiste.
""" Et si on supprimait la prime individuelle de chauffage des fonctionnaires du Sénat pour économiser 3,4 millions d'euros par an ?
Dans la série ""cherchons des économies"", on tombe parfois sur des perles.
Selon le magazine Capital : les fonctionnaires du Sénat sont payés trois fois plus cher que leurs collègues de l'État""... Comment expliquer un tel écart ?
En raison d'une accumulation de primes dont bénéficient ces fonctionnaires bien spécifiques.
Un seul exemple : le versement d'une prime individuelle... de chauffage !
Non seulement l'intitulé prête à sourire (y a-t-il des problèmes de chaudière au palais du Luxembourg ?), mais le calcul de cette prime laisse rêveur : elle est indexée sur les cours du pétrole.
Comme ceux-ci sont régulièrement à la hausse, il fallait s'y attendre : la prime a littéralement explosé.
""Elle est passée de 1500 euros par an en 2000 à 4035 euros en 2011"", selon Capital.
En la supprimant, l'État économiserait donc 3,4 millions d'euros par an.
Dans la même série, un sénateur touche une prime informatique de 1000 Euros par mois .... une honte ......... ils doivent changer d'ordinateur tous les 15 jours ........... ou alors ils les revendent à bas prix .....
Le Sénat c'est aussi: - 6,7 milliards placés en actions, en obligations et dans l'immobilier.
- Une retraite pleine au bout de deux mandats
- Sans compter divers avantages "sociaux".
Ainsi, première aberration, le Sénat récupère la CSG pour enrichir sa propre caisse sociale !!! dont les remboursements sont singulièrement généreux pour tous.
Notamment en ce qui concerne les lunettes, les soins dentaires et même les médicaments, remboursés, sans exception, à 90%.
Demandons-nous pourquoi nos gouvernants, tout parti politique confondu, ne veulent pas appliquer à eux-même les bonnes solutions pour diminuer la dette .
Plus il y a de déficit et plus les dépenses de nos élus sont indécentes, à croire qu'en désespoir de cause ils veulent mettre le pays au fond du trou .
Il y a un bon coup de balai à donner, de tout bord politique... """
(DSK l'avait dit avant l'affaire Nafissatou Diallo)
Pas vérifié mais, c'est ce qu'on entend dans les médias.
""" Avec la crise de la dette en Grèce, les observateurs du monde entier découvrent un système fiscal et politique très avantageux pour les habitants. Compilation de ces aberrations fiscales qui ont conduit le pays tout droit vers la crise.. Les exemples commencent à circuler, ils sont accablants.
Les impôts…, c'est quoi ça ?
On sait que la majorité des Grecs ne paient pas ou peu d’impôts. Début juillet, la ministre grecque de l'emploi citait l'’exemple d'’un couple possédant 2 résidences, 2 voitures et un voilier de 10 mètres.
- « J'’ai la déclaration sous les yeux ; ce couple déclare 19.300 euros par an et paie 9 euros d’impôts » déclarait-elle.
Ce que l’'on sait moins, c'’est qu'’il existe aussi de nombreux privilèges fiscaux. C'’est le cas des armateurs Grecs. Ils bénéficient d'’une immunité qui interdit les contrôles fiscaux. Autrement dit, impossible de vérifier leurs comptes.
Parlons aussi de l'’Église orthodoxe. Immensément riche, l’Église est le premier propriétaire foncier du pays mais exonéré d'’impôts ! Le gouvernement a essayé de taxer les produits dérivés comme les cierges, sans succès. Officiellement, l'Église a fait dire qu’elle ne vendait plus rien ...
Des morts qui touchent leur retraite…
On vient de découvrir que plus de 4500 Grecs touchent leur retraite alors qu'’ils sont morts depuis des années. Dans ce pays de 10 millions d'’habitants, on a recensé 9000 centenaires. C'’est six fois plus qu'’en France ! Le gouvernement a lancé une enquête pour vérifier s'’ils étaient toujours en vie…. En effet, il s’'est avéré que certaines familles ne déclaraient pas la mort de leurs proches pour toucher les pensions.
Sur une petite île grecque, le ministère de la santé vient de reconnaitre que plus de 600 habitants sur 2000 recevait une allocation parce qu'’ils étaient aveugles.
Le vice-ministre a reconnu que c'’était un peu « bizarre ». Oui, vice-ministre parce que dans le gouvernement de Papandreou chaque ministre a un vice-ministre. Et aussi un ou plusieurs secrétaires d’'état, soit un gouvernement de 40 membres. En France, ils sont 34 et c'’est déjà beaucoup.
En Grèce, pas de cadastre !
Autre aberration, la taxe foncière sur les propriétés. Elle n'’est payable que si la maison est terminée. Résultat, les maisons sont volontairement inachevées mais habitées. En plus, le gouvernement ne peut rien vérifier puisqu'il n’'y a pas de cadastre. Personne ne sait qui habite où. Pourtant, un fonctionnaire astucieux s’est mis en tête de de retrouver les propriétaires qui habitent les maisons, grâce à leurs factures d’'électricité. Peine perdue, les agents de l’'EDF local se sont mis en grève dénonçant « un racket gouvernemental ».
Et nous payons pour les Grecs afin qu'ils restent dans l'Euro avec nos impôts plus lourds et des remboursements moindres.
Allez savoir pourquoi certains Belges et Français ne sont pas contents ? """
Après la Grèce, l'Italie ? l'Espagne ?
Dernière modification par Danang ; 09/03/2012 à 21h15.
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