Je trouve Mehlang Chang excellente son analyse économique sur la France est excellent
Je trouve Mehlang Chang excellente son analyse économique sur la France est excellent
quand on est homme politique,on prend des décisions qui engagent des responsabilités; par ailleurs on s'expose.
les hommes politiques doivent avoir un comportement exemplaire et ne doivent pas présenter de déficience à un moment donné ou un autre, car ça peut retentir sur la vie politique.
on ne peut avoir à la tête de l'Etat quelqu'un qui fasse n'importe quoi.
Le Très Vénérable Professeur chinois Phang Soa Baï Zhou qui dit exactement le contraire de son collègue Vénérable Professeur Mehlang Chang
Le Vénérable Professeur Meïh Lang Chang après avoir abusé de la gastronomie française
Selon le Très Vénérable Professeur Phang Soa Baï Zhou, son sympathique collègue, le Professeur Zang Luu Meïh Lang Chang est à coté de ses pompes.
Est-ce qu'il a expliqué pourquoi ? Lui il ne peut dire que bu bien de la France ...
Peut_être touverez_vous des indices après lecture de l'article ci-dessous:
Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé
| 29.02.12 | 17h38 • Mis à jour le 02.03.12 | 09h05
Dans un climat politique où il est tant question d'opposition entre les "élites" et le "peuple", voici une étude qui devrait faire couler beaucoup d'encre. Et pour cause : des chercheurs américains et canadiens documentent, dans l'édition du lundi 27 février de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. C'est-à-dire, exprimé de manière un peu plus directe, que plus vous êtes riche, plus vous êtes susceptible de vous comporter de manière moralement lamentable.
L'équipe américano-canadienne menée par Paul Piff (université de Californie à Berkeley) a quelques arguments. Les chercheurs ont mené pas moins de sept protocoles expérimentaux différents, qui concluent tous dans le même sens.
"CUPIDITÉ"
Le premier est simple : il s'est simplement agi de se poster à un carrefour et d'observer les véhicules pris en flagrant délit de refus de priorité. La deuxième expérience, très semblable, a quant à elle consisté à relever les situations dans lesquelles un piéton engagé sur un passage ad hoc se fait couper la route par une voiture. Dans les deux cas, les chercheurs ont classé les véhicules en cinq catégories, des épaves roulantes (groupe 1) aux berlines de luxe (groupe 5). Résultat : près de 30 % des véhicules du groupe 5 forcent le passage aux voitures prioritaires, un taux quatre fois supérieur aux groupes 1 et 2, et trois fois supérieur aux groupes 3 et 4. Corrélation quasi identique pour le respect dû aux piétons...
Mais, direz-vous, ce n'est pas parce qu'on a une belle voiture qu'on est nécessairement riche. Ce qui n'est pas faux. Aussi, les chercheurs ont complété ces deux expériences par d'autres, menées en laboratoire. A chaque fois, une centaine d'individus ont été invités à prendre connaissance de divers scénarios ou situations : atteinte d'un objectif au prix d'une entorse à la morale, captation d'un bien de manière indue au détriment d'un tiers, mensonge au cours d'une négociation, caution d'une faute dans le cadre professionnel. Puis les participants ont rempli un questionnaire répondant à la question de savoir dans quelle mesure ils seraient prêts à reproduire ces comportements. A chaque fois, une corrélation entre le statut social des participants et leur capacité à enfreindre l'éthique est mise en évidence.
Une dernière expérience a consisté à placer près de 200 personnes devant un jeu informatique de lancer de dés : une somme d'argent leur était promise si le score atteint après cinq lancers était élevé. Mais, bien sûr, le jeu était pipé et le score ne pouvait excéder 12 points. Ceux qui ont rapporté des scores supérieurs aux expérimentateurs ont donc triché. Même en tenant compte de nombreux paramètres comme l'ethnie, le sexe, l'âge, la religiosité, l'orientation politique, il n'y a rien à faire, "la classe sociale prédit positivement le fait de tricher". A quoi tient ce lien entre hauteur sociale et bassesse morale ? En partie, répondent les chercheurs, "à une perception plus favorable de la cupidité".
Stéphane Foucart
Bonjour à vous
Oui mais celui-là , je vous l'avais sorti tout frais le jour même de sa parution le 29/02 (cf la page n°6 de ce même topic )
Pour ma part, plus que de longs discours sur "la dette", vue par de soi-disant " Spécialistes Financiers" qui me paraissent en réalité plus fervents des jeux de hasard comme le Loto ou l' Euromillion,
ces seuls mots me ravissent l'âme : Justice Sociale et Justice Fiscale ... dans une France républicaine
Sur ces bases là, je suis prêt à me serrer encore la ceinture ..
Car , il y a ceci qui est la réalité d'aujourd'hui ..
(et pour participer bénévolement sur Nantes à un service "d'Urgence Sociale ", çà crève les yeux .. et le coeur, surtout quand on y côtoie des "jeunes et des femmes" véritablement désemparés et d'une gentillesse extrême)
- sur ce lien :
Dans les permanences d'lus, la dtresse sociale des "invisibles" - LeMonde.fr
- cet article ...un peu long peut-être pour certains :
Dans les permanences d'élus, la détresse sociale des "invisibles"
| 04.03.12 | 17h36 • Mis à jour le 04.03.12 | 20h50
Depuis quelques années et plus encore ces derniers mois, avec la crise qui redouble, les élus locaux sont sollicités par une population qu'ils n'avaient pas l'habitude de rencontrer dans leurs permanences. De plus en plus de jeunes, de travailleurs pauvres, de femmes seules, mais aussi de cadres, ou bien encore des retraités, viennent demander de l'aide dans les mairies et les conseils généraux.
Certes, la crise n'est pas nouvelle. "Les gens subissent la hausse du chômage depuis plusieurs années", rappelle Pierre Cohen, maire (PS) de Toulouse. Et toutes les catégories sociales ne sont pas touchées. Dans la Ville rose, "les cadres de l'aéronautique sont relativement épargnés", remarque le député de la Haute-Garonne.
Mais ceux qui, jusqu'ici, se sentaient à l'abri redoutent d'être exclus, tandis que les plus démunis ont de moins en moins l'espoir de s'en sortir. Du coup, les élus sont confrontés à la "désespérance" des uns, disent-ils, et au "pessimisme" des autres. Aujourd'hui, "en plus des populations très précaires, ceux qu'on voit dans nos permanences, ce sont les petites classes moyennes, cette France des invisibles, ces modestes "plus"", qui ne venaient guère, jusqu'ici, aux guichets des services sociaux, raconte Marie-Françoise Pérol-Dumont, présidente (PS) du conseil général de la Haute-Vienne.
A force, les élus voient leur rôle évoluer. Ils se définissent eux-mêmes comme des "protecteurs", comme "le dernier bouclier social", mais aussi comme des "intercesseurs", et ils se découvrent un rôle de "soutien moral".
"Quand je reçois les gens, ici, je ne sais jamais dans quel état psychologique je vais en sortir", dit Jérôme Guedj, 40 ans, qui tient pourtant des permanences depuis quatorze ans. "La dureté des situations est de plus en plus grande !" confie ce socialiste, président du conseil général de l'Essonne.
Entre la boucherie et le coiffeur, une affiche de François Hollande signale la permanence de M. Guedj au milieu du centre commercial de Massy. Ce jour-là, il bruine sur les hautes barres d'immeubles alentour. Chantal Duditlieux franchit la porte du local pour la première fois. "On n'a jamais rien demandé, aucune aide à qui que ce soit. Mais on se décourage", explique cette habitante de 63 ans. A côté d'elle, son fils Benjamin, 28 ans, cherche un emploi depuis la fin de ses études de droit. Hébergé par sa mère, il vit avec un revenu de solidarité active (RSA), depuis 2009, de quelque 400 euros mensuels. Ensemble, ils sont venus plaider auprès de M. Guedj une remise gracieuse du conseil général, qui réclame à Benjamin un trop-perçu de RSA.
Avant eux, ce jour-là, est entrée dans la permanence Marie-Hélène Sylla, 61 ans, mère de 9 enfants. "Je n'ai rien, M. Guedj, plus de revenu", a-t-elle glissé avec pudeur. D'une voix douce, cette ancienne secrétaire a raconté qu'elle emprunte à une amie "de quoi payer" son loyer, le temps de toucher sa retraite, qui ne lui est toujours pas versée.
Le logement, singulièrement en Ile-de-France, est devenu l'un des premiers motifs de démarche auprès des élus. "Il y a dix ans, dans mes permanences, sur dix habitants, j'avais huit demandes d'emploi, constate Stéphane Beaudet, maire (UMP) de Courcouronnes, dans le même département. Aujourd'hui, sur dix, huit vont me demander un logement."
"Les gens me demandent essentiellement des logements", confie Didier Paillard, maire (PCF) de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). "Ils sont dans des situations de plus en plus dramatiques", assure l'édile communiste, encore sous le choc, un samedi, dans sa mairie déserte. Trois jours plus tôt, une mère de 6 enfants s'est immolée dans les murs de l'hôtel de ville. En errance depuis des années, expulsée pour loyers impayés et violences, elle attendait en vain un nouveau toit.
Depuis 2007, la mairie a été le théâtre de deux autres tentatives d'immolation pour des motifs similaires. "Injuste et révoltant !" s'exclame M. Paillard. "Ce drame est injuste d'abord pour la personne. Il est injuste aussi pour Saint-Denis, la ville qui construit le plus grand nombre de logements dans la région", souligne le maire.
Aux dossiers de logement s'ajoute l'inflation des demandes d'emploi. "Il n'est plus rare que des gens, dans la rue, me glissent le CV de leur enfant qui cherche un boulot", raconte Jacqueline Gourault, maire (MoDem) de La Chaussée-Saint-Victor et sénatrice du Loir-et-Cher. "Je n'ai pas la prétention de faire concurrence à Pôle emploi !" plaisante Frédéric Valletoux, maire (UMP) de Fontainebleau (Seine-et-Marne). Pourtant, dit-il, "il m'arrive de plus en plus souvent d'intervenir pour pousser un CV dans une entreprise".
Face aux institutions de plus en plus méfiantes, "on est là pour mettre de l'huile dans le système", commente M. Valletoux. A la demande de commerçants ou de particuliers qui peinent à obtenir un crédit, le maire de Fontainebleau décroche volontiers son téléphone pour appeler des banques.
"Pour toutes les populations, on est maire à tout faire !" finit par s'agacer M. Beaudet. "Même le petit-bourgeois vient me voir pour que j'intervienne auprès de France Télécom ou de La Poste parce qu'il a un problème !" raconte le maire de Courcouronnes, conseiller régional d'Ile-de-France.
S'ils sont de plus en plus sollicités, les élus savent aussi que certains publics rechignent à toute démarche. Parmi eux, les jeunes des cités, dont une partie s'est résignée à ne plus chercher d'emploi, ou des étrangers sans papiers, qui ont peur, ou encore, tout simplement, des familles qui ont honte de leur situation.
Pour détecter ces "oubliés", les élus vont au-devant d'eux. A Courcouronnes, un bus de la mairie stationne devant les écoles maternelles, et les parents peuvent venir y exposer leurs difficultés. Chaque premier jour du mois, Mme Pérol-Dumont tient sa permanence au marché de Bellac. "Des femmes seules sans ressources viennent me voir, raconte la présidente du conseil général de la Haute-Vienne. Des retraités me confient qu'ils n'ont plus les moyens de payer la maison de repos de leurs parents."
Autre lieu d'observation pour les élus, Les Restos du coeur. "C'est dans ce genre d'endroit qu'on voit que la société laisse de plus en plus de monde au bord de la route", observe Adeline Hazan, maire (PS) de Reims. A Noël, "j'ai même rencontré un ancien agent de la mairie, retraité, et sa femme venir chercher un colis pour offrir un dîner de réveillon à leurs enfants", se souvient-elle, émue.
A force de voir les "plus démunis s'enfoncer" et les "plus modestes décrocher", les élus ne cachent plus, parfois, leur sentiment d'impuissance. "Ça fait dix ans qu'on bosse comme des cinglés, qu'on essaye d'aider les familles avec les moyens microscopiques qui sont les nôtres. Malgré nos efforts, je regarde la population s'appauvrir", se désespère le maire de Courcouronnes. "Nous n'avons, nous, les élus, d'autre pouvoir que de mettre des serpillières sur des incendies", se désole Mme Pérol-Dumont. "On a parfois l'impression d'être devant un puits sans fond", avoue le maire de Toulouse.
Ce n'est pas faute de chercher de nouveaux filets de protection. Face à la hausse du coût du logement, la ville de Reims a modifié le mode de calcul de ses aides financières. Le montant des versements est fonction du poids des charges de logement et de chauffage dans les dépenses des habitants, et non plus seulement de leurs déclarations de revenus. Le département de la Haute-Vienne a créé un fonds pour combler les impayés de cantines. En Essonne, le conseil général finance des maisons de retraite.
Mais c'est aussi, paradoxalement, auprès de la population que les élus trouvent l'antidote à leur découragement. "Sans doute parce qu'ils se sentent eux-mêmes fragilisés, les gens stigmatisent moins les SDF", constate M. Cohen. "On observe des élans de solidarité envers les plus pauvres qu'on ne voyait pas avant", assure le maire de Toulouse. A Saint-Denis, M. Paillard voit "le retour d'un besoin de collectif, d'une envie de construire ensemble". Dans certains quartiers, raconte-t-il, les habitants se sont spontanément regroupés pour organiser la garde des enfants des parents qui partent faire des ménages à Roissy très tôt le matin. "Les gens ont la volonté de s'en sortir ! Ils ont la niaque ! C'est ce qui nous sauve un peu !" sourit soudain le maire de Saint-Denis, dans son bureau à l'ombre de la basilique.
Béatrice JérômeArticle paru dans l'édition du 04.03.12
Dernière modification par robin des bois ; 04/03/2012 à 22h30.
2 articles débiles !
Regardez les 190 commentaires :
LeMonde.fr : Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouv - LeMonde.fr
Langelot 10h29
et donc chasser les trop riches de France en les taxant à mort est une excellente idée ! Ceux qui resteront seront les plus sympas.
baal 03/03/12 - 16h06
Franchement, c'est une batterie de test à deux balles. Ca ne prouve rien. Ridicule.
Méthodologie 03/03/12 - 09h59
Cette étude pourrait être complétée par une enquête scientifique sur la fréquentation des call girls. On observerait que ce sont les plus riches qui en consomment le plus...
jean-paul pham 02/03/12 - 18h00
En ce moment les hyper riches de Neuilly Auteuil Passy sont affolés du risque d'avoir un "rouge" (comme les gens du 16ième disent) et sont prets à passer des valises pleines de billets de banque en Suisse, des controles sévères de douane devront etre établis aux frontières avec la Suisses(frontières terrestres et aéroports, controles "volants" en tout point du territoire (donc y compris en plein Paris..ou Lyon par exemple) Répondre
Guy Levy 03/03/12 - 10h10
On est en 2012,pas en 1981,l'espace schengen est une réalité "la libre circulation des personnes et des BIENS" d'où l'importance d'avoir une politique fiscale sans gros écarts.Les Médias ne donnent pas les élèments pour savoir pourquoi certains riches préfèrent la Belgique,par exemple,et nous éclairer. Ensuite,qui va surveiller les transferts Belgique- la Suisse? Haiti et République Dominicaine,une seule ile,2 politiques,un raccourci saisissant,vous ne trouvez pas ???
JR Bé 02/03/12 - 14h04
Cette pseudo étude sert les desseins de Hollande pour attiser la haine des riches et gruger la foule. Il en appelle à la solidarité, à la justice sociale, à la haine des riches et des autres en excitant les puissants moteurs que sont la jalousie et la convoitise des fruits de la réussite d'autrui, de façon à leurrer son électorat sur les véritables causes de son infortune
Almape 02/03/12 - 21h04
Avec ce genre de méthode, on peut prouver que tous les coiffeurs sont homos ou hétéros. Mais bon, les statistiques c'est comme les bikinis, ça cache l'essentiel, mais ça donne des idées, disait quelqu'un, surtout sur ceux qui les réalisent.
Dernière modification par DédéHeo ; 05/03/2012 à 06h47.
"L'État blessé", le livre qui accable Sarkozy
À l'heure des bilans d'un quinquennat qui s'achève, je recommanderais vivement l'ouvrage de Jean-Noël Jeanneney, dans la collection Café Voltaire de Flammarion. Cet ouvrage n'est pas un de ces libelles de campagne électorale dont les mots d'auteur, les leçons de morale et la verve pamphlétaire font la nature. C'est un livre sobre, descriptif et néanmoins accablant pour le président sortant. L'objet en est la manière dont celui-ci a abaissé l'État par des pratiques inconciliables avec les traditions républicaines, que nous ont léguées notamment Gambetta, Clémenceau, Jaurès et de Gaulle.
Michel Winock: "L'État blessé", le livre qui accable Sarkozy
C'est un vrai livre de Le Quesnoy (les riches) !
C’était rigolo ce président métis qui parle si mal le français. Dans les année 90, je n'avais que la radio rfi ondes courtes pour m’informer. A l'entendre, alors ministre de l'Intérieur, je croyais qu'il était un rejeton Groseille de la branche d'Afrique du Nord
Sarkozy ou son cousin, le 2eme à gauche à coté de la mère GroseilleLa Vie est un long fleuve tranquille (1988)
90 minutes Comedy IMDB: 6.8/10
Director: Étienne Chatiliez
Cast: Benoît Magimel, Valérie Lalande, Catherine Hiegel, Daniel Gélin, Hélène Vincent, André Wilms, Christine Pignet, Maurice Mons, Catherine Jacob, Tara Römer
Dans une petite ville du nord de la France, deux familles nombreuses, les Le Quesnoy et les Groseille, d'origines bien différentes, n'auraient jamais du se rencontrer. Mais c'était sans compter sur Josette, l'infirmière devouée du docteur Mavial, amoureuse et lasse d'attendre qu'il quitte sa femme. Dans un moment d'égarement la douce infirmière a échangé deux nouveau-nés, un Groseille (les pauvres) contre un Le Quesnoy (les riches), pour se venger de la vie et du docteur. Comprenant que Mavial ne l'épousera jamais, elle révèle le-pot-aux roses aux deux familles...
La famille Groseille
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