Si je ne me trompe pas : dans les années 80, on a déjà vu une Franco-Vietnamienne au journal de 20h00.
Si je ne me trompe pas : dans les années 80, on a déjà vu une Franco-Vietnamienne au journal de 20h00.
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
Attention ! Celle-là, elle connait notre forum, je crois qu'elle s'y est même déjà inscrite, mais je ne me souviens plus son pseudo, c'est une amie du photographe Chicco, elle est d'ailleurs sur son album.
Concernant la journaliste de 20h00 qui était assez connue dans les années 80, je crois qu'elle se prénomme "Virginie".
Bảo Nhân : fascination, impression and passion
Salut Philippe,Envoyé par Philippe;41026
[I
Tes explications sur le constat est convaincant. Et désolé de te dire que ton point de vue n'est pas personnel, et je suis sur de ne pas être le seul à le partager.:kimouss:
philippe, je crois que ta reaction est elle même englobée par "la mentalité vietnamienne"(ou peut etre asíatique)..quand on fait des images au viet nam on se rend compte que par exemple le "droit de l'image"(ici prégnant:tu demandes l'autorisation ,la persónne peut percevoir des droits etc..)est hors sujẹt..pour mon bonheur- car qu'est ce qu'une image, n'est ce pas?Mais cette question n'a rien à voir avec les quotas et la discrimination posítive qui elle est une question politique....La discrétion des asiatiques à ce sujẹt doit nous interroger avec le mode particulier de leurs sentiments sur ce qu'ils considèrent terre d'accueil(étant entendu que la vraie terre est celle des ancêtres)..;bref des questions máis les difficultes de mon clavier ne me permettent pas de plus amples developpements pour l'instant car je dois passer trop de temps à corriger lés mots.
Bonjour Thuong19 et Mai.
Mai : ton intervention me manquait. Il me semble que ton clavier n'arrange rien à ta prose, car elle est syntaxique impénétrable par mes pauvres neurones. J'ai beaucoup de mal. A la vérité, je n'ai pas l'habitude de lire souvent... c'est de ma faute !
Ton message ne me laisse pas indéfférent, c'est le moins que je puisse dire. puor être plus pragmatique, je me permettrais de répondre à ton message qui m'étonne non dans la forme, mais dans le fond, ce qui me pousse à engager une réaction tout aussi personnelle pour préciser ma pensée première, à l'aune de ce que tu nous a aimablement répondu.
Si ma réflexion devait être mise sur le compte d'une gêne ou pudeur typiquement vietnamo-asiatique, ce serait certainement pas au niveau du rapport à l'image, mais sur celui de la revendication, je pensais que cela était plutôt clair de ma part.
Personnellement, cela ne me gêne pas d'être à la TV ou de voir des Asiatiques à la TV. Ce qui me gêne, c'est cette démarche communautarienne (pour ne pas aller jusqu'au mot communautariste) ou multiculturaliste d'inspiration philosophiquement plus libérale américaine (libéral dans le sens américain de "liberal", ou progressiste) que républicaine. Je suis donc moins proche des gens qui disent défendre la thèse de la diversité institutionnelle peu importe sur quelle base on calibre cette diversité (John Rawls, Walzer, etc) que de nos vieux auteurs républicain XIXe tel que Michelet par exemple. L'horizon individuel ne doit pas être seulement celui des intérêts particuliers et de la reconnaissance première des différences, mais avant tout celui du citoyen inscrit dans un horizon de pensée et d'action collectif dont le cadre est celui de la "res publica". On est là pour vivre ensemble, au delà de nos différence, pas pour claironner sa différence et la faire valoir... et surtout l'inscrire dans des processus d'évolution inégalitarisante.
Je ne saisis aucune des deux cohérences discursives :
- interne : est-ce que tu pourrais expliquer un peu plus l'articulation entre "droit à l'image" et "quotas/discrimination positive/questino politique" ?
- externe : je n'ai pas trop compris avec ce que je disais.
En revanche, tu questionnes le problème sur son essence. il est politique et je suis amplement d'accord avec toi. Mais je n'en suis pas resté là, j'ai préféré parler des moralité de projection de cette question politique sur le plan pratique et socio-psychologique. Les quotas et la discriminations positive sont un débat que nous n'arrivons pas à éviter, c'est un fait. Car la question politique, une fois posée sur table, entraîne des questions de praxis : quid des modalités ? d'où le débat aux USA qui s'exporte en France.
Que veux-tu dire par là ? Que ne pas revendiquer, cela revient à reposer l'attachement du peuple asiatique sur le sol français ?
Si oui, je retourne la question ainsi : ne pas oser revendiquer, n'est-ce pas la preuve d'une pudeur et d'un respect vis-à-vis de cette terre d'accueil justement ? Chacun a son mode de fonctionnement, et la pudeur est plutôt (ou la pusillanimité), à mon avis, une règle de courtoisie certes très asiatique, à comprendre comme telle, et non comme un moindre attachement me semble-t-il.
On compatit ! Loin de nous la volonté de te pousser au crime avec ton clavier !
PS : heureusement que j'ai trouvé un endroit pour pouvoir écrire calmement sur le net vu que je suis démuni chez moi...
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