Dans ce cas, je ne sais pas ; Faut surement faire comme dit Thuong19
Mais ce qui est sûr c'est "vợ đẻ dữ lắm" Une femme qui vient d'accoucher est féroce, pire que les chiennes qui viennent de mettre bas. Il ne faut pas l'approcher sans se munir d'un gourdin pour se défendre au cas où elle attaquerait.
Bonsoir à tous,
Voilà les versions vietnamiennes de tes chansons RdB, je les ai trouvé sur internet, la deuxième est la version complète s'il me semble bien:
CÔ LÄ (*)
La cigogne craquette, vole vole
Vole doucement au-dessus des grilles du palais
S'envole vers les rizières
ô, vous villageois, ô, villageois !
Le savez-vous ? (bis)
Cò lả
Con cò là cò bay lả í a
lả lả bay la
Bay từ là từ cửa phủ bay ra là ra cánh đồng
Tình tính tang là tang tính tình
Cô mình rằng ấy anh chàng ơi
Rằng có biết biết hay không, rằng có nhớ là nhớ hay không?
(Dân ca Đồng Bằng Bắc Bộ)
http://www.youtube.com/watch?v=eB6W8x2bycM
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A Dông Dâng, il y a la rue Ky Lua
Il y a la jeune Tô Thi ,il y a la pagode de Tam Thanh
Mademoiselle, ô, vous mademoiselle !
Le savez-vous ? (bis)
Qui veut aller à Lang Son avec moi ? (bis)
Mes parents, celà en valait la peine pour que je vienne au monde
Ô jeune homme ! Ô, mademoiselle !
Le savez-vous ? (bis)
Đồng Đăng có phố Kỳ Lừa
Đồng Đăng có phố Kỳ Lừa
Có nàng Tô Thị có chùa Tam Thanh
Ai lên xứ Lạng cùng anh
Bõ công bác mẹ sinh thành ra em
Tay cầm bầu rượu nắm nem
Mải vui quên hết lời em dặn dò
Gánh vàng đi đổ sông Ngô
Đêm nằm tơ tưởng đi mò sông Thương
Vào chùa thắp một tuần hương
Miệng khấn tay vái bốn phương chùa này
Trong chùa có một ông thầy
Có hòn đá tảng, có cây ngô đồng
Cây ngô đồng không trồng mà mọc
Cái rễ tơ hồng chẳng dọc thì ngang
Cái qủa dưa gang trong vàng ngoài trắng
Cái qủa mướp đắng trong trắng ngoài xanh
Khi nào anh lấy được nàng
Để anh mua gạch Bát Tràng về xây
Xây dọc anh lại xây ngang
Xây hồ bán nguyệt cho nàng rửa chân
Cò rửa thì rửa chân tay
Chớ rửa lông mày chết cá ao anh
Có chết thì chết cá mè ranh
Đừng chết cá trắm, chép mà anh bắt đền.
Nhà anh có một cây chanh
Nó chửa ra ngành nó đã ra hoa
Nhà anh có một mẹ gìa
Nấu cơm chẳng chín, quét nhà chẳng nên,
Ăn cỗ thì đòi ngồi trên
Đũa son, bát sứ mang lên hầu bà
Của bà bà để trong nhà
Mèo gìa ăn vụng, mèo con chịu phần
(Ca dao Viet Nam)
Dernière modification par vanvanvan ; 14/05/2010 à 21h45.
merci vanvan duom adore ce chanteur et comique la chanson ces une contine pour les enfant c'est quoi la traduction bisous a tous
Ce que vous êtes pinailleur !!!
En tout cas, même si je ne suis pas " un local", j'éprouve une satisfaction profonde - au travers des différences d'âge et de pays - à partager les mêmes textes que Mme DédéHeo : je trouve que nous avons bon gôut tous les deux!!!
Sur cette berceuse donc, et pour Mme DédéHeo, ce texte qui n'est pas de moi :
Née à Dông-Dâng, cette chanson est réputée dans tout le pays.
Interprétée par les enfants, elle est fréquemment reprise par les adultes pour se donner du courage dans les travaux des champs, notamment pour la cueillette du riz.
Au sommet de la montagne Hon Vong Phu, un rocher évoque la forme d'une femme debout avec son enfant dans les bras. Il a inspiré une des légendes préférées des Vietnamiens, celle de Tô Thi.
Jadis, deux jeunes orphelins vivaient ensemble jusqu'au jour où le frère ainé, dans un accès de colère frappa d'un coup de couteau la tête de sa jeune soeur. La croyant morte, l'ainé eut peur et partit se réfugier dans une province lointaine. Plus tard, il épousa une belle jeune fille de son goût. Tous deux s'aimaient tendrement et la femme mit au monde un fort beau garçon. Un jour, peignant les cheveux de sa femme, le mari découvrit sur sa nuque une grande cicatrice. Et quand elle lui raconta ce qui s'était passé dans son enfance, l'homme s'aperçut que son épouse n'était autre que sa propre soeur.
Pris de remords, et pour mettre fin à cette situation incestueuse, il s'engagea dans l'armée du seigneur Nguyen et prit la mer vers le sud .
Chaque soir, la femme accompagnée de son jeune enfant venait s'asseoir sur la falaise pour guetter le retour de son mari.
Des années passèrent, le mari ne revint pas. Un beau jour, arrivée au sommet de la montagne, épuisée et restée debout, les yeux rivés à l'horizon, elle fut changée en pierre, immobile dans son éternelle attente.
La chanson évoque aussi la pagôde de Tam Thanh, située dans une gigantesque grotte, un des hauts lieux du culte bouddhiste.
merci robin des bois pour cette legende je ne connaisais pas salut tout le monde y a t'il beaucoup de comptine au vietnam
Bonjour Carlosphan, RDB et autres forumeurs(ses)
cette histoire me rappelle la légende de la montagne de l'attente:
la Montagne de l'Attente
peu avant d'arriver à Lang Son, le voyageur qui monte le delta vers le Haut Pays remarque, à droite de la vieille route mandarine, une petite montagne isolée.
Au sommet se dresse un rocher qui rappelle la forme d'une femme debout, un enfant dans ses bras;la ressemblance devient frappante vers le soir, quand le soleil approche de l'horizon.
c'est le "Nui Von Phu", " la Montagne de la femme qui attend son mari". Et voici ce que l'on raconte:
Autrefois , dans un village de la haute région, vivaient deux orphelins, un jeune homme de vingt ans et sa soeur, qui n'en avait que sept. Seuls au monde, ils étaient tout l'un pour l'autre.
Un jour un astrologue chinois de passage consulté par le jeune homme sur leur avenir, lui dit:
Si tels sont les jours et les heures de vos naissances, vous épouserez fatalement votre soeur. Rien ne pourra détourner le cours du destin.
La terrible prédiction épouvanta le jeune homme, le hanta jour et nuit. A la fin affolé, il prit une résolution extrême:
Un jour qu'il allait couper du bois dans la forêt, il emmena sa soeur avec lui. Profitant d'un moment où elle avait le dos tourné, il l'abattit d'un coup de hache et s'enfuit.
Il était délivré de son obsession, mais pendant quelque temps l'horreur de son crime le poursuivit. Il changea de nom, recouvra peu à peu la sérénité, et finit par s'établir à Lang Son.
De nombreuses années passèrent. Il se maria avec la fille d'un commerçant. Elle lui donna un fils et le rendit très heureux.
Un jour pénétrant dans la cour intérieure, il trouva sa femme en train de sécher ses longs cheveux de jais, assise en plein soleil. Elle lui tournait le dos et ne l'avait pas vu entrer. Au moment où elle faisait glisser le peigne sur la chevelure lisse qu'elle soulevait de l'autre main, il découvrit au dessus de la nuque, une longue cicatrice.
Il lui en demanda l'origine. Après avoir légèrement hésité, elle raconta son histoire en pleurant:
je ne suis pas la vraie fille de celui que j'appelle mon père, mais seulement sa fille adoptive. Orpheline, je vivais avec mon grand frère, qui était toute ma famille. Il y a quinze ans, il me blessa d'un coup de hache et m'abandonna dans la forêt. Je fus sauvée par des brigands. Peu de temps après, sur le point d'être pris, ils s'enfuirent de leur repaire, où l'on me trouva.
Un commerçant, qui venait de perdre sa fille, eut pitié de moi et me recueillit...je ne sais pas ce qu'est devenu mon frère et je n'ai jamais pu m'expliquer son geste... Nous nous aimions beaucoup.
Le visage de la jeune femme était baigné de larmes.
l'homme maîtrisa son émotion, lui fit préciser le nom de son père, celui du village natal.
Quand il n'y eut plus de doute possible, il réussit à garder pour lui l'épouvantable secret. Mais il eut honte et horreur de lui même et se sentit incapable de continuer la vie commune. Il inventa un prétexte pour s'éloigner.
Pendant les six mois que devait durer son voyage, sa femme attendit résignée. Mais le délai était passé depuis longtemps et elle était toujours seule avec son enfant.
Chaque soir elle le prenait dans ses bras et grimpait sur la montagne, pour guetter de loin le retour de l'absent. Arrivée au sommet, elle restait debout, les yeux fixée sur l'horizon. Elle fut changée en pierre et c'est ainsi qu'on peut encore la voir, droite sur le ciel, immobile dans son éternelle attente.
Nombreux sont les vers inspirés par la Montagne légendaire. En voici quelques-uns, autant qu'il en reste dans une traduction:
Jour après jour, mois après mois, année après année
Penser et penser, croire et croire, attendre et attendre...
Si loin , à mille lieues, ami le sentez -vous,
Au soleil dans la nuit, par le vent, sous la pluie,
Ce coeur tout d'or durable et cette pierre constante?
Dernière modification par Ti Ngoc ; 15/05/2010 à 17h14.
Visiblement c'est la m^me légende...
j'avais pas vu !!
pour vous dédommager du préjudice , je vous offre ceci :
[ On s'aime, j'enlève mon chapeau, ogué, ogué... pour te le donner.
De retour à la maison, je mentirai à mes parents.
Sur le pont, ogué, ogué ... sur le pont, ogué,
Vouh ! le chapeau s'est envolé !
On s'aime, j'enlève ma bague, ogué, ogué... pour te la donner.
De retour à la maison, je mentirai à mes parents.
Sur le pont, ogué, ogué...sue le pont, ogué.
Plouf ! la bague est tombée !
On s'aime, j'enlève ma chemise, ogué, ogué...pour te la donner.
De retour à la maison, je mentirai à mes parents.
Sur le pont, ogué, ogué... sur le pont, ogué.
Vouh ! La chemise s'est envolée ! ]
Cà vous dit ?
A première vue un "hit" vietnamien
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