Dans cette campagne, les Socialistes tirent très bas :
Il nous ressortent par démagogie le Sarko davant la crise :
Le Bling Bling, une Rolex de rappeur pauvre, le Fouquet, le sommet de lancement de l'Union pour la Méditerranée, qui s’est tenu à Paris le 13 juillet 2008, pour un coût exorbitant.
On est plus en 2008 !!!!!!!!!!!!!!!!
Sarko est vulgaire, sa femme est très classe belle et pas vulgaire et baisable...
Le ministre Roland Dumas était très classe et pas Bling Bling : les botes à 20 000 Francs 1980 = 20 000 € 2012 ça ne brille pas.
rappel : un café 1980 = 1 Franc 20 ; 50 centime à la machine à café
Sa maitresse est très vulgaire mais baisable mais pas vraiment belle ; elle n'est pas Bling Bling.
Employée par la société Elf-Aquitaine en qualité d'intermédiaire, de 1989 à 1993, elle a été impliquée dans l'affaire Dumas, survenue en marge de l'affaire Elf et l'affaire des frégates de Taiwan.
Christine Deviers-Joncour, ancienne maîtresse de Roland Dumas, a été condamnée à trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis, et 1,5 million de francs d'amende pour « recel d'abus de biens sociaux ».
La justice a conclu que « son embauche par Elf, en 1989, sans qualification professionnelle ni expérience des affaires, ne s'explique que par la relation qu'elle entretenait avec Roland Dumas ».
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Eva Joly va s’intéresser à cette affaire alors qu’elle travaillait, depuis août 1994 sur le renflouement du groupe Bidermann par Elf[9]. Le 7 novembre 1997, Christine Deviers-Joncour, est mise en examen pour « abus de biens sociaux, recel et complicité » par les juges Eva Joly et Laurence Vichnievsky. Les deux magistrates la soupçonnent d’avoir bénéficié d’un emploi de complaisance au sein du groupe. Elles s’interrogent aussi sur les conditions d’acquisition, en 1992, pour 17 millions de francs, d’un appartement qu’elle occupe, rue de Lille, à Paris[10].
Le 2 décembre 1997, Eva Joly découvre la commission de 45 millions de francs versée par Alfred Sirven depuis les fonds d’Elf. Puis grâce à une dénonciation anonyme elle comprend que celle-ci est revenue à Christine Deviers-Joncour[3]. On dira plus tard que cette lettre anonyme avait pour but de détourner les juges du volet principal de l’affaire[11]