Si c'est d'Israël dont il s'agit, le propos est bizarre.
L'homme et son père,
la fille et sa mère,
la bru et sa belle-mère.
Je ne lis pas :
Entre le frère et son frère, ni entre la soeur et sa soeur, ni entre le fils et sa mère, ou encore entre la fille et son père
J'ai l'impression qu'il s'agit de gens ayant entre eux des relations autorité particulieres.
Je pense que Jésus comprend que le message des Evangiles risque fort de remettre en cause ces relations.
Le message risque de faire éclater le statu quo familial.
37 Qui me préfère père ou mère ne vaut pas pour moi. Qui me préfère fils ou fille ne vaut pas pour moi.
Il ne s'agit pas de la maison Israël, mais bien de la famille de chair et de sang.
Dernière modification par HUYARD Pierre ; 16/03/2011 à 09h22.
Bonjour,
J'en ai la meme lecture, je pense qu'il s'agissait plus d'une mise a l'epreuve de la foi,
que de la condamnation d'un peuple.
Quand a la notion de parti unique, pour celui qui a la foi, il y a evidemment l'acception
a ce systeme (qui n'est pas forcement une dictature)
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