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robin des bois
D'accord d'accord, je suis prêt à faire preuve d'oecuménisme...et d'ouverture d'esprit... Mais quand même, y avait pas de train en 1857 ...
le premier train de voyageurs a été mis en fonction en 1825…
Robins des bois : merci pour le texte de St François d'Assise...
Oui Ben, il est important d’éduquer nos enfants en gardant cet esprit…
Quelques citations de chefs amérindiens.
Le ciel au-dessus de nos têtes qui a pleuré des larmes de compassion pendant des siècles et des siècles, qui nous paraît immuable et éternel est soumis au changement.
Aujourd'hui est clair, demain il sera peut-être recouvert de nuages.
Chaque parcelle de ce pays est sacrée dans l'esprit de mon Peuple, chaque flanc de montagne, chaque vallée, chaque plaine, chaque bocage a été sanctifié par un évènement heureux ou malheureux survenu à une époque depuis longtemps révolue.
Les rochers eux-mêmes apparemment muets et mort transpirent sous le soleil le long du rivage silencieux et frémissant du souvenir important lié à la vie des miens.
Quand le dernier homme rouge aura disparu de la surface de cette Terre et que le souvenir des miens sera devenu un mythe parmi les hommes blancs, ces rivages s'animeront des morts invisibles de ma tribu ; et quand les enfants de vos enfants se croiront seuls dans les champs, les boutiques ou dans le silence des bois sans chemin, ils ne seront pas seuls...
La nuit, quand les rues de vos villes seront silencieuses et que vous les croirez désertes, elles seront remplies des multitudes de revenants qu'elles contenaient jadis et qui aiment encore ce beau pays.
L'homme blanc ne sera jamais seul.
Qu'il soit juste et traite mon Peuple avec bonté, car les morts ne sont pas sans pouvoirs.
Morts, ai-je dit ? Il n'y a pas de mort. Seulement un changement de mondes ".
CHEF SEATTLE, INDIEN DWAMISH, Déclaration faite à Port Elliott, 1855
Le Lakota était rempli de compassion et d'amour pour la Nature, et son attachement grandissait avec l'âge.
C'est pourquoi les vieux Indiens se tenaient à même le sol plutôt que de rester séparés des Forces de la Vie.
S'asseoir ou s'allonger ainsi leur permettait de penser plus profondément, de sentir plus vivement.
Ils contemplaient alors avec une plus grande clarté les Mystères de la Vie et se sentaient plus proches de toutes les Forces Vivantes qui les entouraient.
Le vieux Lakota est un Sage. Il savait que le coeur de l'homme éloigné de la Nature devient dur. Il savait que l'oubli du Respect dû à tout ce qui pousse et à ce qui vit amène également à ne plus respecter l'homme.
Aussi maintenait-il les jeunes sous l'influence de la Nature.
STANDING BEAR
Chef OCETI SAKOWIN OYATE LAKOTA
La vie dans un tepee est bien meilleure. Il est toujours propre, chaud en hiver, frais en été, et facile à déplacer.
L'homme blanc construit une grande maison, qui coûte beaucoup d'argent, ressemble à une grande cage, ne laisse pas entrer le soleil, et ne peut être déplacée ; elle est toujours malsaine.
Les Indiens et les Animaux savent mieux vivre que l'homme blanc.
Personne ne peut être en bonne santé sans avoir en permanence de l'air frais, du soleil, de la bonne eau.
Si le Grand Esprit avait voulu que les hommes reste au même endroit, il aurait fait le monde immobile ; mais il a fait qu'il change toujours, afin que les Oiseaux et les Animaux puissent se déplacer et trouver toujours de l'herbe verte et des baies mure.
L'homme blanc n'obéit pas au Grand Esprit. C'est pourquoi nous ne pouvons être d'accord avec lui.
FLYING HAWK, Chef OCETI SAKOWIN OYATE OGLALA