Buuhoa, ta remarque me fait penser à une petite anecdote historique, authentique ? J’ai quand même un doute, encore que plausible (elle aurait été rapportée par Voltaire).
La scène se passe dans un salon parisien au XVIII siècle, salon peuplé de beaux esprits qui font assauts de bons mots.
L’un des invités s’adresse à la maîtresse de maison en ces termes : « Madame, vous êtes comme cette tasse, vous êtes pleine de bon thé ».
Aussitôt le salon s’émerveille de ce trait d’esprit.
Cela tombe dans l’oreille du capitaine des gardes suisses qui se promet d’en faire son profit.
C’est ainsi que quelques jours plus tard, dans un autre salon, le capitaine s’adresse à la maîtresse de maison : « Mâtame, fou zete gome zet dasse, fou zetes bleine de pon kafé ».