Vélib à Sài Gòn ?

tu es sur de ton coup? si tout le monde si met oui, mais tout seul au derrière des 4×4 et autres joyeusetés, je suis pas persuadé.

par contre pour le romantisme la…

Bah, on a bien vu (re?)venir la mode des mobylettes bling-blingisées, alors pourquoi pas le vélo? Il suffit de vendre des vélos hors de prix, et tout le monde se jettera dessus.

sur le vélo?????:biggthumpup::biggthumpup:

Ca peut marcher tant les Saigonnaises (et Saigonnais) n’aiment pas le port du casque le soir.
Mais il faut 2 choses essentielles :

1. que ce soit un velo d’un prix hors d’atteinte pour le « nha que » de base,
2. que la mode soit lancee par les vedettes locales et la jeunesse doree,

Sinon non,

PAUVRE HO CHI MINH VILLE:cray:

Je sais, c’est triste, mais on n’a jamais lance une mode en en confiant la promotion aux pauvres.
C’est toujours les locomotives de la societe qui assurent le lancement d’un produit : meme (et surtout) quand ce produit ne leur est pas directement destine.
C’est desolant, mais c’est comme ca.

Je pense, donc tu suis! (devise du Parisien)

Ha non! faut pas que les Bo Bo (bohèmes/bourgeois pour les non initiés) débarquent à HCMV…ils vont faire grimper le prix de l’immobilier encore plus haut que ça ne l’est déjà!
On pourrait les appeler les bò bò (les vaches qui s’trainent!!! pô gentil Con Trai!) Hi! Hi! Des bò bò sur des xè dap. MdR!!

:je_sors:

Bonjour Tom Sawyer du Mississipi ,ça fait mal aux fesses de s’assoier comme ça.:wink2:

« Trả lại em yêu, khung trời đại học, con đường Duy Tân, cây dài bóng mát … »
Bonjour,

Si quelqu’un trouve cette chanson, s’il vous plaît ….la poste sûr le forum.
J’aime trop!

Voilà mon vélo, je l’ai rebaptisé Iron horse. En fait, c’est un vélo hightech de fabrication hollandaise.

Tu rigoles Con Trai, ils sont déjà ici sur des xè dap, vont au marché Bio, et envahissent « les quartiers populo » qui deviennent des quartiers chics et le prix de l’immobilier grimpe, grimpe, grince grince…ssssssssssssssssssssssssssssssse

salut em Chantalngoc,:friends:
même à Hanoï, on retourne au vélo, grâce à la flambée des prix du carburant.
Et puis pas de casque, alors on garde sa permanente (sous sa casquette ! )

C’est maintenant l’heure des bicyclettes – 30/05/2008
[IMG]http://lecourrier.vnagency.com.vn/news/Image/2008/05/Decouverte/Facettes%20de%20vie/Facettes%20de%20vie/4412.f01as.JPG[/IMG]

Il y a quelques jours, il épargnait encore pour acheter une voiture. Aujourd’hui, on le voit aller au travail en bicyclette. Quel miracle a-t-il eu lieu ?

Depuis cette « horrible » nouvelle : le prix de l’essence a atteint plus de 14.000 dông le litre, les jeunes citadins se tournent et se retournent dans leur lit, sans pourvoir fermer les yeux, en réfléchissant à leurs problèmes financiers. Aller à pied ? Trop fatiguant ! Prendre une mototaxi ? Trop cher ! Un problème insoluble.
Tout à coup, l’image de la bicyclette apparaît. Une solution « romantique » et « pratique ».
Truong Công Tu, journaliste à la Télévision du Vietnam, fait étalage de son nouveau véhicule : « Dernièrement, j’ai bien gagné et c’est pourquoi décidé de changer de véhicule, pour un Reebok ».
Ses amis ont d’abord pensé que Reebok était un nouveau modèle de quatre-quatre d’une marque connue. Mais en réalité, c’est un… vélo. Il ne s’agit pas là de difficultés financières mais de désir.
« Mon nouveau vélo est d’importation et c’est le plus moderne. Je ne dois pas dépenser trop de force pour pédaler », confie Tu.
Il y a plus d’un mois, Trân Khanh Hung, cadre de la société de télécommunications Intercom, a acheté un deux-roues qui, selon lui, possède une forme simple mais est très beau. Les jours où il ne doit pas rencontrer des clients, il pédale jusqu’au travail.

« Il y a 5 raisons pour lesquelles j’ai choisi une bicyclette. Premièrement : ma maison est proche de mon bureau. Deuxièmement : je peux économiser l’argent de l’essence. Troisièmement : on se différencie des motocyclistes sur la route. Quatrièmement : je peux revivre ma jeunesse du temps quand j’étais élève et, enfin, pourquoi ne pas s’offrir cette liberté de loisir », dit Hung.
Il ajoute que beaucoup de ses amis qui, l’un diplomate, l’autre directeur, ont acheté un vélo. Parmi eux, quelques-uns ont même acheté des vélos à l’étranger à 1.000-2.500 dollars. Ils ont un poids très léger, de 4 kg, et peuvent être pliés.
Pour sa part, C.H, enseignant à l’Institut des relations internationales, raconte : « Pendant une année de travail au Danemark, j’ai vu beaucoup de jeunes européens rouler à vélo. Une image romantique et sympathique. Alors, en retournant au Vietnam, j’ai décidé d’en acheter un ». Maintenant, tous les jours, il prend son véhicule dans la rue, fier de ne pas rejeter de la fumée et du bruit.

Un week-end avec les deux-roues
Après la fin de leur deuxième semestre, un groupe de 8 étudiants de l’Institut bancaire décide de faire un pique-nique au temple Dô, province de Bac Ninh, à bicyclette. Un long trajet mais rien ne peut émousser la détermination de ces jeunes. Prenant le bus, ils vont dans le vieux quartier pour y louer des vélos. Le parcours commence.
« Louer un vélo ? Ce n’est pas parce que nous n’avons pas de moto ou n’aimons pas prendre le bus, mais c’est parce que nous préférons la bicyclette », explique Lâm, un membre du club.
Une autre raison pour laquelle les jeunes citadins prennent souvent le vélo en banlieue : laisser les poussières et les fumées de la ville bruyante pour aller à la campagne respirer de l’air pur.
Pour les étudiants provinciaux arrivant à Hanoi, un des plaisirs après une semaine surchargée est de déambuler dans la ville à vélo. Binh, étudiant en première année de l’École polytechnique, raconte : « Ce n’est pas très intéressant de visiter les vieux quartiers de Hanoi en moto. Aller à pied ou en vélo nous permet de trouver la beauté des petites rues ».
Parlant du besoin grandissant des jeunes pour la location de bicyclette, Nguyên Huu Quân, patron d’un magasin de location au 70, rue Hàng Bac, s’exprime avec surprise : « Je loue des vélos depuis 1996 pour servir les touristes étrangers mais ces dernières années, la plupart de mes clients sont des étudiants. Pendant le week-end, le nombre de clients augmente subitement. Il y a des semaines où je n’ai plus de vélo à louer ».
Selon Quân, le prix de location d’un vélo est très raisonnable, de 15.000 à 20.000 dôngs par jour, c’est pourquoi ce service attire beaucoup d’élèves et étudiants.
D’après Khanh Hung, à l’avenir de plus en plus de jeunes s’achèteront un vélo car « garder une belle forme et contribuer à la protection de l’environnement. Alors, pourquoi hésitez-vous encore à prendre un vélo ? »

Hà Minh/CVN
(30/05/2008)

D’après Khanh Hung, à l’avenir de plus en plus de jeunes s’achèteront un vélo car « garder une belle forme et contribuer à la protection de l’environnement. Alors, pourquoi hésitez-vous encore à prendre un vélo ? »

Et surtout, il n’y a pas besoin de casque.

Cher Tôm
si j’habitais à Hanoî ma ville natale chérie ou à HCMV je me déplacerai surement à bicyclettes, j’habite dans une petite ville de France, il n’y a pratiquement pas de piste cyclable, les cyclistes et les piétons se font souvent renversés par les voitures, si ce n’est pas écrasés.
Je tiens à voir mes futurs petits enfants, alors le vélo pour moi c’est en ballade à la campagne pendant le week end ou les vacances.
Chantalngoc:jap:

Coucou chi Namnam,

Tes désirs sont des ordres ma chère :bigsmile: hihihihihi voici la chanson de Pham Duy:wink2:

YouTube – Tr? L?i Em Yêu

Em Kim Sang:bye:

Bonjour Tôm,

Très franchement, je suis partante pour le vélo à HCM ou à Hanoi déjà pour le bien fou de l’environnement (pas ou moins de pollution), économiquement c’est un coût moindre par rapport à un scooter ou moto et financièrement plus d’essence à payer vu le prix de la baril en ce moment partout dans le monde… le seul soucis, c’est le nombre d’accident corporel que cela va engendrer étant donné qu’au VN le respect du code de la route reste à désirer. Le port du casque a été un grand pas pour ses locaux….

Pour moi l’idéal c’est de pouvoir circuler en vélo et être en ao dai tout le temps… c’est mon kiff !!!! :Vietnam:

En France, je me déplace souvent en vélo le week end avec mes enfants car nous avons des pistes cyclables , avec la verdure autour, des parcs protégés. Pourtant , c’est en région parisienne … mais j’y suis attachée à ma seine et marne.:friends:
Donc j’opte plus pour le vélo ou la marche que la voiture…

Merci mille fois à toi Kimsang.

Cette chanson est me tient vraiment à coeur!
Ca me fais bien de l’écouter.

« Trả lại Namnam ,con đường đại học ,con đường Duy Tân ,cây dài bóng mát. « ẹnjoy Namnam ,bon weekend.:whistle3::friends:

tôm;55823 wrote:

et après tu t’étonnes des accidents … Je te conseille plutôt le áo bà ba :

beaucoup plus pratique pour le vélo, que je trouve très élégant et séduisant, même si certains le trouvent nhà quê. En tout cas, il faut éviter à tout prix le đồ bộ à grosses fleurs fushia sur fond vert-guimauve

Cher Tôm,

Je pense que les accidents sont plutôt liés au fait que personne ne respecte le code de la route au VN mais je ne pense pas que le ao dai ou le ao ba ba change à quelque chose sinon c’est juste une question d’habitude.

Mais j’aime le ao dai et j’en mets très souvent : en France , dans les manifestations viêtnamiennes..pour la messe vietnamienne tous les dimanches matin et c’est idem au Vietnam. J’ai passé quelques jours à Quang Ngai avec mes parents et j’étais en ao bà ba. Le côté esthétique c’est un choix de couleurs, mais il faut se l’avouer que c’est une tenue très pratique dans laquelle tu es super à l’aise.

Kim Sang:bye:

Salut tôm,
C’est vrai, personne ne dis « chouette, je vais m’y mettre ».
Mais mon cher tôm, c’est peut -être parce que personne s’y est déjà mis avant que ce soit une mode . Personne utilise son vélo pour faire ses courses quand son sac à dos et ses sacoches peuvent contenir les achats. Personne utilise son vélo quand les trajets n’empruntent pas des côtes de montagne.
Personne se déplace à vélo lorsque ses jambes peuvent fournir (50 km maxi).:bye:
En attendant, voilà encore des vélos sympas .

Merci Anh Thuong pour les photos
pour les phaps c’est folklorique…

pour les transporteurs d’objets, avec tous mes respects:jap:

Tu voulais peut-être dire certains plutôt que personne, non? C’est marrant parce que ça ressemble à la traduction directe d’une structure vietnamienne avec ai… :wink2:
Si c’est le cas, alors je suis tout à fait d’accord avec toi. Même à Paris on est un certain nombre à ne pas avoir de voiture et à rouler à vélo. L’idéal serait évidemment que tout le monde s’y mette, et d’élargir les ridicules pistes cyclables. Elles font à peine un mètre de large, contre trois ou quatre mètres dans les villes chinoises. Pour ma part, j’ai abandonné mon titre de transport parisien (super cher, 540 euros/an!) car on va quasiment aussi vite à vélo qu’en métro. Je fais exception quand il pleut, c’est tout. Je trouve quand-même que rouler à vélo à Paris est moins suicidaire qu’à Hanoi, même si les conducteurs de voitures parisiens ne sont pas des modèles d’intelligence…

Totalement faux !

Un avion moderne consomme 3-4 litre de kérosène par 100 km et par passager (en admettant qu’il soit plein à 75 %). C’est à dire pratiquement deux fois moins qu’une voiture moderne. Si l’on admet que la voiture a un taux de remplissage de 1,2 à 1,6 passagers (moyenne européenne), la voiture, consomme en moyenne, environ entre un quart et deux tiers de plus qu’un avion par passager.

Je ne veux pas me faire le défenseur acharné du transport aérien (totalement inutile à mon avis pour des distances inférieures à 800-1000 km et s’il n’y a pas de mers à traverser), mais il faut bien en revenir aux faits et à la réalité, débarrassé de propagande.

Et puis, vous vous voyez faire Paris-HCMV en bus ?

Et malgré sa largeur qui ne nous permettant pas de dépasser aisément d’autres cyclistes, pourtant il n’est pas rare qu’il y ait des piétons qui viennent emprunter notre minable piste pour se balader tranquillement en délaissant leur trottoire aux vendeurs, sans parler de certains cyclistes qui roulent à contre sens.

Une fois, au beau milieu de la piste longeant le boulevard de Magenta, une nana entrain de marcher nonchalamment, alors, j’ai appuyé sur la sonnette pour signaler ma présence. Mais elle continuait comme si la piste a déjà changé de statut. J »ai donc décidé d’avancer un peu plus, mais comme c’était trop près d’elle que son talon a touché la roue avant de mon vélo. Là, elle s’est tournée brusquement et en voyant ma gueule qui dénonce sans ambiguïté que je suis un étranger, alors en se fixant dans mes yeux, elle lance sa première phrase : « Mais ici, c’est pas chez-vous ah Monsieur. » Alors, je lui ai dit que ce n’est pas une question de chez-vous ou de chez-moi, mais les pistes syclables étant faites pour les cyclistes Madame:D…

Je n’abandonne pas encore complètement le transport en commun, mais au moins, avec le vélo, je suis plus sûr de pouvoir arriver à l’heure au travail et sans avoir besoin de quitter chez-moi plus tôt le jour où il est prévu qu’il y a de la perturbation sur des routes. Sinon, quand je me sens fatigué, je peux faire du vélo jusqu’à la gare et ensuite je continue en RER en y montant mon vélo avec moi, et une fois arrivé à la gare du Nord, je descends mon vélo et continue pour me rendre au travail. Mais, c’est vrai, avec le vélo, on peut faire pas mal d’économies, comme par exemple, tu n’as plus à payer pour l’assurance, l’entretien et la révision etc. de ta voiture.

BN

Salut frère singe,
Non Non, c’est sciemment que j’avais utilisé « personne« .
Personne c’était moi . Mais maintenant qu’il y a Bao Nhan, thuong19 et Frère Singe qui utilisent le vélo (lorsque c’est possible) à la place de la voiture, Tôm peut-être satisfait. On pourra mettre « personne » au pluriel, mais le linguiste que tu es trouvera que « personne » n’a plus le même sens si on met un « s ».
Quant à l’utilisation du vélo en Région Parisienne, je suis sceptique ; mon petit-beau-fils s’est fait voler 4 vélos. Habitant St Maur (commune un peu bourge quand-même), Il allait à vélo jusqu’au RER pour se rendre à Paris. Deux fois vol avec agression, et deux fois l’antivol sectionné.
Maintenant il va au RER à pied.:wink2:

petit aparté
A Hué, pendant notre séjour, alors que je pédalais péniblement sur un vélo tout pourri en direction de la cité impériale, un conducteur de cyclo, me dit dans un large sourire »souris, on est en train de te filmer! »
Pliée de rire, j’ai failli provoquer un accident, tellement la situation était drôle:
un gros touriste allemand ou nordique, immortalisait une scène de rue avec une locale:hahahaaaaaaaaaaaaaaa!:rofl::lol:
j’étais accoutrée d’un débardeur rose, d’un pantalon à motifs africains, une banane (saccoche) autour de ma taille,des lunettes de ski!(je n’avais pas eu le temps d’en acheter d’autres…) et le chapeau conique sur la tête!

Autant pour moi, après relecture, le sens de personne était assez clair.

@Bao Nhân
En effet, je partage parfois ton envie de renverser les passants qui marchent sur la piste, mais je me ravise. Moins on fait le parisien, mieux on se porte.
Par contre, ces gros ‘@`[{# qui garent leur bécane en plein sur la piste, ça s’est gonflé!

A propos de pollution, je précise que le plus important n’est pas de faire du vélo, mais plutôt de ne pas acheter de voiture. Car l’empreinte écologique d’un automobiliste qui conduit un vieux tacot qui fume n’est que peu de chose par rapport à l’empreinte écologique de la voiture elle-même au moment où elle sort de l’usine (rapport à l’énergie qui a été nécessaire à toutes les étapes de sa fabrication). Enfin si j’ai bien compris…